dimanche 6 janvier 2019

LE SYSTÈME BOUTAFLIKA EN ALGÉRIE, VA-T-IL EXPLOSER ?

L'ONU EST CONVAINCUE QUE LE SALUT DE L’ALGÉRIE RÉSIDE DANS LA FORME DE SA SAGESSE AVEC SON VOISIN ET ALLIÉ OBJECTIF QU'EST LE MAROC !

       L'Algérie depuis Boumedienne à Boutaflika, dans sa recherche d'une place primordiale à l'international,  a tout essayé pour écarter le Maroc. Primo, en s'opposant systématiquement à tous ce qu'il entreprend dans tous les domaines sans y parvenir. Secundo, en ne se résignant à la stature internationale du Maroc comme force qui prend compte des intérêts et nécessités de la stabilité de toute la région. Évidemment, aujourd'hui à l'ONU l'on sait que la perception égoïste-égocentrique du pouvoir Boutaflika, ne légitime aucunement sa fuite en avant dans les pourparlers de Genève. C'est ce que la Communauté Internationale appelle, tournant géostratégique au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU en faveur du travail diplomatique du Maroc. Notamment, dans le sens de son essence géopolitique par lequel il postule une vision moderne de ce qu'est vraiment le ''leadership régional et continental''. Contrairement au soi-disant ordre de suprématie de l'Algérie basée sur la dilapidation de la manne gazière-pétrolière, pour des fins inavouables entrainant et soulevant ici et là des tensions régionales. Aussi, l'impact géopolitique de la fermeture des frontières terrestres et maritimes Maroc-Algérie, après l'acte terroriste odieux de l’Hôtel Atlas-Asni à Marrakech en Aout 1994, n'est-il considéré du coté d'Alger comme rivalité de pouvoir au Maghreb en contrattaque à la justification du Maroc a l'époque.  N'est-ce là où reside encore la problématique de l'équilibre des forces Rabat-Alger, par rapport aux enjeux de l’interprétation des années durant des luttes des puissances entre-elles autour de la marocanité du Sahara ?

       Voilà pourquoi, candidement ignorants de ce que c'est véritablement le pouvoir algérien, certains chroniqueurs médiatiques soudoyés essayent de le montrer le nez fièrement levé par rapport a tous les voisins. Allant même jusqu'à donner l'impression que la mise en perspective de sa géopolitique au Grand Maghreb et sa prospection géostratégique en région sahélienne subsaharienne africaine, sont parfaitement cohérentes et equilibrees . En somme, un déni des réalités sur le terrain de leur part, en ne voulant pas les scruter de tous les cotés pour les détailler, par peur d'une déception au premier constat. En effet, n'est-ce la preuve que ces machiavéliques journaleux ne sont que le produit de la fusion-confusion d'in-considération du pouvoir Boutaflika à son voisin de l'Ouest ? Bien sur, à partir du retour triomphal du Maroc à l'UA, l'équipe autour de Messahel-Gaid Salah est rentrée dans la transaction à préparer le renseignement et la conduite des hostilités anti Maroc, en s'appuyant sur les éléments du contexte géographique du Sahara marocain. Comprendront ceux qui pourront ! A dire vrai, cela qu'on ne le veuille ou pas, montre que le dessein du destin de ce pouvoir signifie une prétention géopolitique comme projet de son existence voire de sa survie. Malheureusement pour lui, cela permet au Maroc par l'éveil de ses services et l'épiage technologique de haute définition résolutive dont il dispose, de décrypter en temps réel les desseins militaires du commandement de Gaid Salah. En perspective et dynamique de réaction adaptée et proportionnée par les FAR (Forces Armées Royales), à toutes les éventualités d'attaques surprises de l'armée algérienne quels qu'ils soient le moment le lieu et les circonstances.

       A l'évidence, devant les actes inadmissibles à répétition de son avorton Polisario en Zone Tampon surtout à Guergarate, que peut-on dire en conséquence à ce pouvoir haineux et rancunier si ce n'est chiche d'intervenir par la guerre contre l’intégrité territoriale du Maroc de Tanger à Lagouira ? Ainsi, à l'orée de l'improbable cinquième mandat d'Abdelaziz Boutaflika, on est obligé au Maghreb de se poser des questions et de se préparer au mauvais présage de l'avenir de l'Algérie. D'abord, par des analyses en profondeur des données sur les scénarios des successions plausibles, pouvant être conduites en référence soit à l'économie soit à l’ethno-interculturalité soit à la sécurité et lutte antiterrorisme. Puis par, ce que pense le peuple algérien frère, qui voit le marocain en plein accord et confiance en sa diplomatie s'attelant avec certitude à reconstruire un diptyque homogène qui part des conceptions d'une stratégie de défense sans concession et des raisonnements géopolitiques de codéveloppement gagnant-gagnant avec les pays qui le désirent. A cet égard, il faut le dire sans gêne, l'Algérie est dans un tourbillon où chaque jour suffit sa peine, tant elle est au bord de déclenchement d'un affrontement clanique sans merci entre les opérationnels actuels à Ksar Lamradia et les prétendants à la rénovation du système rouillé par le népotisme et ankylosé par la corruption endémique. Et qu'on ne nous raconte pas de bobards, comme quoi la Constitution algérienne serait respectée s'il advient qu'une disparition du président Boutaflika survienne au vu de son état de santé détérioré. A bon entendeur, salut !

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