jeudi 29 mars 2018

LE DÉSAMOUR MAROC-ALGÉRIE DONT L'EXPLOITATION PAR LES C.E.P.S (CENTRES D’ÉTUDES ET DE PROSPECTIVES STRATÉGIQUES) FAIT PEUR A TOUTE LA REGION.

MAIS POURQUOI LES CONTES DE CETTE EXPLOITATION NE SE RACONTENT PAS MALGRÉ QU'ILS NE SE RENCONTRENT PAS SUR BEAUCOUP DE POINTS ?

       Dans le dossier du Sahara marocain, il est des prises de positions de certains lobbys qui frisent l'absurde si ce n'est le ridicule, car ne font que confirmer leur degré d'agressivité envers le Maroc en contresens de l'Histoire. D'ailleurs, leurs critiques infondées et matraquages médiatiques mensongers via presse sous leur emprise contre lui, ne dérogent pas à cette règle. D'autant que, maintenant, en plus de leurs attaques juridictionnelles de ces derniers temps, c'est une autre guerre qu'ils lui livre via des rapports de certains CEPS (Centres d’Études et de Prospectives Stratégiques) qui leur sont inféodés. Et ce, à propos de sa constance et sa détermination de rester souverain dans ses décisions géopolitiques, le tout dans une atmosphère internationale lourde en tensions entre les grands pays notamment ceux permanents au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU. N'est-ce pas, il suffit de décrypter leurs messages rendus dernièrement dans leurs rapports pour être marqué voire interpelé par le mystère de leur non transparence ? A ce propos, leurs contes ne sont-ils, si démentiels et si diaboliquement structurés parce que aussi raccordés, tous, rien qu'à l'idéal sournois de Boutaflika et son équipe de provoquer le doute la zizanie et attiser encore plus la tragédie dans la région ? Laquelle, heureusement, elle fut longtemps évitée entre les deux peuples frères algérien et marocain, car incarnant le destin exceptionnel de leurs identités communes à travers le temps. Symbole d'engagement et résistance au moment de la colonisation pour l'un et du protectorat pour l'autre, dont les tireurs de ficelles veulent en anéantir l'espoir encore s'y greffant aujourd'hui. Tellement, il s'agit pour eux, de modélisation de l’entrechoquement d'Histoires concurrentielles sous le thème ''Décalage'' par la mauvaise exploitation de ces rapports ambigus sur bien des choses. D'où ils conçoivent en aboutir à l'imparable ouvert sur l'inconnu dans toute la région Sahel subsaharienne africaine, comme l'aiment se réaliser les chroniqueurs de bas de gamme.

       Néanmoins, n'est-ce le vrai décalage qui ne se raconte nul part ailleurs, c'est quand on voit que ce régime boutaflikien aime le Polisario qui aime Aqmi qui coopère avec Daech qui soutient Boco Haram voire les Chababs et ainsi de suite... ? Quel dommage, que toute l'équipe dans sa composante civile et militaire à Ksar Lamradia, l'en a fait de ce montage de l'enfer sa priorité au détriment du développement du pays ! Ce qui démontre qu'elle est vraiment prise aux pièges de la non raison de par sa confusion des sens politiques militaires et diplomatiques et de la responsabilité. Parce qu'elle n'en a pas encore su que sa vanité interprétée de la sorte ne compte aucunement à l'international, en plus que ses bavardages à tire larigot exprimés ici et là ne lui font occuper aucune place centrale dans l’échelle onusienne. Et, qu'elle est entrain d'acheminer le pays vers la déperdition de sa valeur ''État'', dont l'immaturité et l'aventurisme y sont pour beaucoup au vu qu'ils se rencontrent sur beaucoup de maladresses. A cet effet, c'est tout le peuple algérien qui est emprisonné, retenu en otage par les désirs narcissiques de cette équipe qui use du dispositif machiavélique de ces rapports émis par les Centres d’Études et de prospectives Stratégiques précités. Ne s'agit-il là, de la conséquence directe d'une gouvernance d'un président diminué par les maladies jusqu'à l'invalidité, s'appuyant sur une mémoire fléchissante non épurée voire sombre même avec quelques moments d'éveils furtifs ? On peut même dire, c'est bel et bien une épreuve pour tout le système politique algérien d'après la dernière déclaration de Ali Benflis, et dont effectivement le président tunisien Caid Essebssi n'en a pas mâché ses mots voyant l'année 2018 celle de la clarification vis-à-vis des voisins notamment le Maroc. 

       D'ailleurs, plusieurs raisons plaident dans ce sens, parce que des facteurs surdéterminants ont neutralisé toutes les lectures optimistes, et ce du fait de l'entrée d'autres enjeux eu égard de leur dangerosité ancrée dans l'irréel réalisable poussant à l'instabilité les scissions et les séparatismes. A cet égard, ce n'est pas un simple épisode de vie diplomatique de la région Sahel subsaharienne africaine qui s'annonce mais un moment délicat voire difficile. D'où l’importance de rappeler que l'Armée de Gaid Salah multiplie les signaux de continuer son ordre de marche avec plus d'agressivité sous forme de bras de fer déconcertants avec les voisins. Qu'évidemment, pour se faire, ces derniers se sont déjà dotés d'atouts de lutte anti terrorisme en s'engageant dans des initiatives organisationnelles tel le G5 Sahel. Certes, qui n'a pas été ne tache aisée notamment, face aux calculs pro polisariens du pouvoir Boutaflika qui a usé de tous les moyens de semer le discrédit sur cette initiative menée avec la France visant en premier à limiter les risques d'infiltration des terroristes. Alors, que peut-on dire du Coté Maroc, car si le Conseil de Sécurité de l'ONU à travers ses Résolutions reconnait le sérieux et la faisabilité aisée de son offre d'autonomie 2007, n'est-ce il n’empêche que cela ne peut se faire, avec dans les parages un tel voisin perturbateur, que dans le cadre de critères précis significatifs et permanents devant garantir la souveraineté intégrale sur ses provinces du Sud et pourquoi pas au-delà ? A bon entendeur, salut ! 

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