vendredi 16 mars 2018

LA POLÉMIQUE S'AMPLIFIE ENCORE PLUS, AUTOUR DE LA PRÉSENCE DES FORCES SPÉCIALES AMÉRICAINES EN ALGÉRIE.

N'EN POURRAIT-ON EN VOIR DANS CETTE POLÉMIQUE EN INTERNE DE L’ALGÉRIE, LES PRÉMICES DE CONFIANCE RENOUVELÉE ET AMPLIFIÉE PAR LE PEUPLE ALGÉRIEN A L'OFFRE D'AUTONOMIE 2007 SOUS TUTELLE ET SOUVERAINETÉ MAROCAINE DES PROVINCES DU SUD ?


       Malgré que le pouvoir Boutaflika continue de nier la présence des forces spéciales sur le sol algérien, les premiers enseignements montrent le contexte difficile qu'il vit sur fond de polémique. Tellement, il cherche à se justifier comme quoi il respecte la constitution, alors que des sources dignes de foi avancent qu'il y a des opérations montées par les GI dans le sud algérien et dans la toute la bande Sahel subsaharienne africaine et même au-delà. Évidemment, dans le but d'aider à éradiquer le terrorisme, dont il ne faut détailler les montages en kidnapping et en capturation des responsables exécutifs et leurs assistants proches. S'ajoutant en plus aux attaques des ''drones-prédateurs'' sur leurs groupements géolocalisés ici et là, que la nouvelle patronne de la CIA les aurait ordonnées et supervisées. N'est-ce pas qu'il y eut déjà 5 soldats GI de l'antiterrorisme qui sont morts dernièrement au Niger d'où en effet, si le pentagone et la CIA s’intéressent à l'Algérie c'est qu'il y a danger imminent au niveau des accès-passoires terrestres dans tous le Sud algérien ? Et qu'il faut surveiller par des dispositifs et équipements modernes, à l'instar de la capacité d'épiage maintenant reconnue du Maroc dont on peut deviner comment. En cela, aujourd'hui, avec l'arrivée de Mike Pompeo au DEA et Gina Haspay à la tête de la CIA, ne pourrait-on dire c'est là une opportunité de faire de cette présence des forces spéciales une étape pour chasser le Polisario de Tindouf comme le demande avec insistance le peuple algérien ? Notamment pour que les USA ne vivent plus l'expérience du coup de main que cette entité fantoche ait donnée dans l'attaque de leur Ambassade à Benghazi. Dont, la légèreté et la faiblesse de la candidate malheureuse à la présidentielle  2016 Hillary Clinton en avait payé le prix en tant que Secrétaire d’État.

       D'ailleurs, à ce propos, les Généraux algériens ont peur d’être poursuivis pour assistance au terrorisme, après avoir accordé logistique au Polisario désormais très impliqué dans ce machiavélisme de la terreur ? Déjà, apparemment, le Trésor américain étudie la possibilité de geler indirectement les avoirs de certains parmi-eux. Et, donc, quelles que puissent être les raisons qui sont à l'origine de l'acceptation d'ouvrir en catimini l'espace aérien terrestre et maritime aux forces spéciales américaines, on ne peut pas dire qu'il n'y a pas dans ce sens de la part de Donald Trump une cohérence avec son discours de Riyad. Soient, des messages forts adressés au peuple dans toutes ses composantes politiques syndicales socioprofessionnelles et société civile. Comme quoi, rien ne va plus dans l'architecture sécuritaire algérienne face au terrorisme, que les services de renseignement algériens civils et militaires eux-mêmes ont nourris et soutenus des années durant, d'abord avec Taoufiq puis Tartag sous l’œil perfide de Gaid Salah. En tout cas, aujourd'hui, l'on peut dire que leurs manipulations et gesticulations de leur protoplasme tindoufien ne sont plus en phase. Bien sur, sans donner des détails sur les manœuvres utilisées par le Polisario pour l'objectif de l'intrusion des terroristes dans la Zone Tampon sous le regard de la Minurso. Et dont l'UA et l'UE, en ont pris tardivement conscience du danger, même sachant que le Maroc est le seule rempart plausible. N'est-ce aussi, une preuve retournable contre les caciques du pouvoir Boutaflika, laquelle est savamment appuyée et expliquée par l’intelligentsia comme quoi ils ont failli et n'ont pu attirer l'adhésion du peuple à leur projet chimérique ? D'ailleurs n'en pourrait-on en avancer que ce sont là, des prémices pour plus de confiance dans le futur à l'offre d'autonomie marocaine 2007 ?

       Néanmoins, pourquoi d'autres sources mentionnent-elles par-ci par-là que le pouvoir Boutaflika voudrait seulement par la présence renforcée des GI sur le sol algérien, maintenir une pression sur les voisins notamment le Mali la Mauritanie la Tunisie et la Libye ? Mêlant de cette façon dans une contradiction criarde, le soi-disant non alignement au populisme patriotique de défense dont ce pouvoir en est porteur de belle lurette. D'autant plus, le faisant aussi, dans un but de développer un pole de refus de la France dont il n'accorde aucun crédit à sa contribution sécuritaire au G5 Sahel sans savoir que ça ouvre une opportunité aux apprentis-terroristes à sévir quand ils sentent qu'il y a relachement. Et oui, le Maroc n'est pas dupe pour tomber dans ce piège, reconnaissant que l'Histoire des vingt dernières années interpelle et appelle à agir par tous les moyens contre le terrorisme et non à critiquer pour critiquer. A l'évidence, s'il en est ainsi, c'est parce que l'idéologie et les valeurs véhiculées par ce pouvoir à Ksar Lamradia à Alger ne servent plus les normes de sécurité interne et, par conséquent, ne le préserve des dangers de Daech et Aqmi via polisario interposé. Très clairement, face à ces données, le peuple algérien est aujourd'hui préoccupé par la polémique qui s'amplifie jour après jour autour de la présence des forces américaines sur sont sol. N'est-ce pour cela, toutes les ambassades occidentales conseillent à leurs ressortissants résidents en Algérie et ceux désirant s'y rendre des mesures de prudence, dans plusieurs notes publiées sur leurs sites spécifiques Internet ? Parce que le quotidien n'est pas si simple à vivre entre les queues les bousculades rendant les gens des cibles aisées aux tireurs solitaires aux commandos aux kamikazes et aux voitures-béliers comme ce qui arrivé à Batna. 

       Voilà pourquoi ce n'est nullement participer à la polémique en interne de l'Algérie, que de dire, les médias libres trouvent que c'est une aubaine pour en finir avec ce pouvoir irrespectueux qui veut la paix tout en encourageant l'interventionnisme terroriste au sujet du Sahara marocain. Une stratégie de nature à insuffler le doute et encourager sciemment la terreur comme ce qui est arrivé dernièrement à Ouagadougou au Burkina Fasso. Par ailleurs, ne sachant que critiquer le Maroc en l'exhortant à adopter un profil bas dans l'affaire des séparatismes qui grondent en Kabylie à Mzab et dans le territoire Touareg du sud algérien, n'est nullement responsable. D'autant que le Maroc n'a jusqu'à présent fait le moindre commentaire sur la présence de l'Armée américaine même à Tindouf qui est couverte par une sévère censure de l'APS. En définitive, la question qui taraude les observateurs n'est-ce, ce choix d'avoir ces forces américaines sur le sol algérien, n'est-il fait avec l'un des partenaires politiques et économiques du Maroc ? Dont l'on ne peut imaginer qu'il ne soit réalisé sans concertation avec lui outre-Atlantique, et ce par la mise en œuvre d'un programme de lutte antiterrorisme avec diligence sérénité et pragmatisme dont les fruits seront partagés par tous. A cet effet, ne peut-on dire du récent passage de la mission américaine, après celle des congres-mans dans les provinces du sud du Maroc, qu'il évoque une différence significative d'approche entre le DEA avec Rex Tillerson le magnat du pétrole qu'avec Mike Pompeo le maitre du renseignement américain d'avant et le Pentagone ? A bon suiveur, bon décryptage !  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire