mercredi 31 janvier 2018

A L'UA, 2018 SERA L’ANNÉE DE LÉGITIMATION DES PROPOSITIONS DU ROI DU MAROC SUR LES MIGRATIONS PAR-DELÀ LES GRILLES DE L’ALGÉRIE.

N'EST-CE LA, LE VRAI DÉPASSEMENT DE L'APPROCHE MALFAISANTE TRÉBUCHANTE ET DISSONANTE JUSQU’À L'INTOX DU POUVOIR BOUTAFLIKA ?

       L’avènement de la diplomatie marocaine a fini par arriver à marquer l'UA. Tellement, elle est maintenant, qu'on ne le veuille ou pas, définie comme sa caractéristique dans l'avenir. Lui conférant l'aptitude à évoluer pour satisfaire ses nouvelles exigences exprimées et/ou implicites. Parce qu'actuellement, après le Sommet de l'UA 28-29 Janvier 2018 au réalisme précis et concis par les réformes engagées, on ne parle plus seulement de la qualité de l'action du Roi Mohamed VI mais de la hauteur de vue du message-management mettant l'homme et la femme africain(e) au centre vital de ses propositions sur les migrations. Une démarche qui, désormais, s'impose comme une priorité incontournable et aussi le meilleur levier pour relever ce challenge qui n'est pas resté dans l'indifférence des relais médiatiques internationaux. Surtout, à un moment où les contributeurs de l'UA commençaient à désespérer de la kermesse des souhaits sans lendemain, à chaque Sommet. Alors, que faut-il comprendre de ce pas, si ce n'est l'espoir prend forme, encore relatif certes, mais il se dessine pour crever l'abcès des xénophobes et des débatteurs controversés. Autrement dit, c'est fini le temps des discours tendancieux trébuchants et dissonants de l'Algérie avec ses lobbys au sein de l'UE à propos des flux migratoires en Afrique. Dès lors qu'elle passe avec la Libye au yeux même des africains, pour l'asphyxiante de la flemme de la renaissance de la solidarité avec l'Afrique dont le rêve sans frontières se construit.

       De toute évidence, n'est-ce pour cela il aurait fallu pour Ouyahya Messahel Laamama Cherqui et toute la clique derrière faire appel aux tests politiques d'identification du sérieux des propositions du Roi du Maroc pour la création d'un observatoire sur les migrations à Rabat ? Au lieu de pratiquer ce qu'ils appellent sournoisement l'éblouissement de leurs obligés au sein de l'UA et l'UE, par leurs dérapages itératifs successifs à l'égard du Maroc. Et, dont ils pensent que c'est un indicateur de confiance inestimable pour la sauvegarde de leur manœuvre-intox  au CPS qu'ils ne contrôlent plus. Jusqu'à vouloir en aveugler certains  des commentateurs africains et européens des Centres d’Études Stratégiques qui, par ailleurs, semblent aujourd'hui revenir à bons sentiments envers la stratégie du Roi du Maroc Mohamed VI. Mais, pourquoi ne savent-ils pas, que rester sur cette concurrence malsaine par leur indiscrétion de se mettre sous les feux médiatiques qu'ils sont dans leur marché des contradictions jusqu'à se décrédibiliser à l'international ? C'est vrai, ils croient avoir la formule lucide en restant sur leur position sans être polis, alors que ce sont la coordination et la concertation inter africaines qui prévalent pour garantir l'impact des propositions royales. D'autant plus, les objectifs sont clairs, dont le Roi n'en a pas manqué d'indiquer les lignes directrices, appelant à faire de sa démarche une constante pour l'activité et l’efficacité de l'observatoire.

       En effet, cette stratégie d'observance-observation créera des interrelations entre services des pays africains, à la fois en amont et en aval de l'accumulation du capital informatif et les perspectives de son exploitation au-delà des grilles de l'Algérie. Sachant que le Satellite Mohamed VI-A y sera de la partie car possède des caractéristiques élevées de surveillance sur le terrain, pour faire face à tout envenimement imprévu via les flux migratoires contraignants et sans déséquilibrer la stabilité de la Région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Il est même certain que l'observatoire renforcera la position de lutte anti terrorisme de l'UA qui, au demeurant, a du pain sur la planche et le choix du Roi Mohamed VI pour préparer cette plateforme n'est pas anodin. Surtout que tous les chefs d’États africains, au Sommet de l'UA à Addis-Abeba ont appelé à faire l'économie de la dilution des efforts et ont invité les chercheurs enseignants et universitaires africains à adhérer au montage rapide de l'observatoire. Soit, une option en plus de l’indépendance stratégique de l'UA qui réoriente et valorise ses atouts par la voix du Maroc dans le concert mondial. Espérons qu'elle fasse mouche ou boule de neige, et ce, pour montrer aux agents de Boutaflika qui circulent dans le monde, qu'ils se trompent lourdement à ne pas statuer à la légitimation de la logique du message que porte la missive royale adressé au Sommet fin Janvier 2018 sur les migrations, qu'elles soient économiques politiques climatiques voire pour des Etudes-formations-stages. A bon suiveur, bonne lecture !  

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