jeudi 6 avril 2017

SAVOIR RESTER ZEN A L'ONU QUOI QU'IL ARRIVE FACE AUX AGACERIES RITUELLES DES ENNEMIS, N'EST-CE LA DEVISE DU NOUVEAU MAROC STRATÈGE ET IMAGINATIF ?

DANS LE DOSSIER DU SAHARA MAROCAIN APRES LA FORMATION DU GOUVERNEMENT DE L'ENTENTE-MÉSENTENTE, EST-CE VRAIMENT FINI LE TEMPS DES TRACASSERIES AU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L'ONU SANS VIOLATION DU DROIT, EN PLUS DES DOUCHES TANTÔT FROIDES TANTÔT CHAUDES AU CONSEIL DE SÉCURITÉ COMME PAR LE PASSÉ RÉCENT  AVEC OBAMA A LA MAISON BLANCHE ?

       Quel dommage, quelle déception et quelle perte de temps par l'ONU dans le traitement du dossier du Sahara marocain depuis 1975 ! Voilà ce que l'on peut dire à propos du déroulé du fil événementiel de cet imbroglio préfabriqué par l'Algérie pour en arriver à la situation actuelle, surtout après l’époque Ban Ki Moon influencé par Christopher Ross et dirigé du DEA avec Kerry-Reis-Power. Pourtant, pour les Nations-Unies le gouvernement du Maroc dans sa lutte sans merci contre le terrorisme pléthorique, est le seul pole sérieux qui propose une intégration réussie dans la régionalisation viable prometteuse et porteuse d'avenir. Et qui est déjà en marche, à laquelle le Conseil de Sécurité n'a d'alternative que d'y faire confiance pour éviter l'endormissement et l'enlisement par le retour au statu quo qui n'a que trop duré. De fait, à ce titre, le gouvernement Othmani avec Nasser Bourita aux affaires étrangères et la coopération internationale aidé de deux Secrétaires d'Etats Mounia Boucetta et Abdelkrim Benatiq, ne doit-il suivre la dynamique offensive tous azimuts enclenchée et accélérée directement sous l'égide et la bienveillance du Roi Mohamed VI ? Par une vraie politique de mobilité dont, toute la fabrication de sa légende diplomatique du temps présent ait fait du Maroc le pays géo-stratège froid performant et fécond en initiatives de hautes valeurs ajoutées pour le co-développement et le maintien de la paix en Afrique. 

       Aussi, il faut le dire, depuis l'arrivée d'Antonio Gutterres le 01 Janvier 2017 les observateurs les plus aguerris non corrompus, n'en perçoivent pour le moment au sein du Secrétariat Général aucune inertie rythmée inconnue, si ce n'est quelques fausses notes induites délibérément par des personnes malintentionnées. Non comme par le passé récent via un ciblage menaçant de l'intégrité territoriale, qui eut plongé la problématique du Sahara marocain en décélération-accélération à l'ONU selon des rythmes incompréhensibles non circonstanciés et donc condamnables. N'ayant évidemment pas abouti à aucune progression pour humainement géo-politiquement et stratégiquement combler les aspirations de retour à la mère-patrie le Maroc des séquestrés marocains dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs dans le Sud algérien. C'à quoi, combien le mieux pour le Maroc sans violation du Droit international c'est de ne se résigner, quoi qu'il arrive ! A même de se demander aujourd'hui, si c'est la non compréhension des données politiques qui ont pu mettre le traitement de son Sahara en faillite ou la manière dont Ban Ki Moon a pratiqué son interventionnisme désolant. Et ce, par rapport à la neutralité l'impartialité et l’indépendance des projets des Résolutions et leurs retombées sur les décisions résolutives du Conseil de Sécurité à la fin du mois d'Avril de chaque année depuis 2007. Autrement dit, aujourd'hui, ce ne sont pas des pays comme l'Algérie le Venezuela l’Uruguay et d'autres peu nombreux mais bien envahis de lobbys anti Maroc qui choisiront le cap de la Résolution attendue fin Avril 2017. Particulièrement, vis-à-vis de sa marche exutoire sa célérité exécutive et sa temporalité proactive d'initiatives ne s'y afférant pas à l'intention positiviste du Secrétaire Général. N'est-ce, en cela, c'est ce qui renvoie à la magnifique lecture de soutien de l'Ambassadrice Nikki Haley représentante permanent de l'équipe Trump à l'ONU qui préside le Conseil de Sécurité ce mois-ci, à l'effort du Maroc pour éviter l'escalade et maintenir les conditions de la paix à Guergarate ? Notamment, par rapport à la tendance actuelle des USA sans filouterie ni malveillance, à la reconnaissance du sérieux de la thèse d'offre d'autonomie 2007 marocaine dans la régionalisation élargie. Et ce, conséquemment par l’interprétation pragmatique de la question du Sahara marocain, à la fois vis-à-vis de l'infra-communication de la part du Maroc et des livraisons voire diffusion de contrevérités du coté des ennemis

      D'ailleurs, pour faire face, primo au renouvellement du concept global du refus de ces pays pour qu'ils ne doutent plus des chants du mépris des marocains patriotes à leur égard, ils doivent s'attendre à la projection d'une ombre de rejet envers leur agacerie-animosité par la Résolution prochaine fin Avril 2017. Secundo à leurs dénis des réalités sur le terrain d'où la chamaillerie s'élargit entre eux, ils doivent aussi savoir qu'aucune lumière ne brillera dans leur approche tendancieuse dans les Instances onusiennes. Dont les diplomates marocains à plusieurs reprises en ont montré qu'ils n'en veulent être placés en spectateurs, s'additionnant à l'indéfectible positionnement de soutien de la France l'Espagne CCG Inde Japon Canada. Conjugué de surcroît à celui évolutif pro Maroc de la Chine l'UA l'UE et pays de l'Amérique Centrale et du Sud avec en plus l'intention de la Russie ayant fait virer sa cuti comme un mauvais sort jeté dernièrement au Polisario. En clair, il y a une volonté onusienne perceptible qui s'imposera entre leurs désirs et leurs actes, si tant est qu'ils en auront, qui les invitera à la capitulation sans condition. Et donc, d'où soudain leur sournoiserie s'immobilisera et aucun automatisme idéologique d'entraide entre eux comme d'antan, ne suffira à désordonner la rupture du Conseil de Sécurité qui s'annonce en construction contre leur manière de penser à maintenir en vie le chimérique Polisario. Sans être capable de faire la différence entre l'habitude de parler sans frein en contradiction avec la charte des Nations-Unies et celle d'argumenter pour agir comme ce que fait la diplomatie marocaine à New York Genève Bruxelles et Addis-Abeba. Dont l'objectif, c'est de mettre fin aux agaceries rituelles politiciennes, qu'au demeurant longtemps passaient comme un clivage trans-politique en matière de la façon de vouloir conduire l'avenir de la région MENA-Sahel subsaharienne africaine.     

       Néanmoins, n'est-ce pour cela Antonio Gutterres en tant que Secrétaire Général des Nations-Unies n'a-t-il juré d'agir en défenseur de la légalité loin des clichés des intérêts des usurpateurs et manipulateurs qui lui rodent autour ? D'autant plus qu'à ce jour, on ne peut pas dire qu'il n'ait pas tenu parole que ce soit dans les interventions d'urgence ou de secours pour la sécurité se mettant à l'oeuvre en fonçant comme une locomotive dans le respect de l'esprit de la charte de l'ONU. Même si, une atmosphère de peur de circonspection et de désolation a pesé comme un quadrillage anti Maroc, parce que, des échanges informatifs pernicieux sur le Net à propos de son rapport pour le Conseil de Sécurité ont pris une importance considérable de parasitage divulgué de tricheurs et tireurs de ficelles comme un raz de marrée pour le torpiller. Comme quoi, lui aussi, n’échappe pas à cette manie des perturbateurs de sérénité des débats au sein de l'ONU, mentant ici exacerbant là car croyant ainsi maintenir leur pression sur lui pour ne pas perdre leur avantage d'alors l'ayant vécu durant les deux derniers mandats successifs de Ban Ki Moon. De toute façon, comme tout un chacun l'aurait remarqué, la quête de l'information vérifiée tient une grande place dans la vie des marocains et, ce n'est pas cette façon d'essayer de les manipuler en les bombardant de mensonges et contrevérités à l'issue de chaque huis clos au Secrétariat Général qui les perturberait. 

       A cet égard, ces manipulateurs, s'ils ne se ressaisissent pas ils risqueraient d'aller à la rencontre de leurs soutiens d'avant en l'occurrence l'équipe Obama le pouvoir algérien Christopher Ross et ses lobbys, au poste de garde de leurs rêveries anti Maroc en entendant cette fois-ci les cris et hurlements les vilipendant grandeur nature. En définitive, la vérité personne ne peut l'ignorer, c'est que ni ces manipulateurs ni les pays foncièrement fanatiquement anti Maroc n'auront les leviers de commande au sein du Conseil de Sécurité. Une démarche dont ils en rêvent d'avoir d'instinct les mêmes besoins d'accompagnement de la bascule de leurs tricheries de dénaturation de l'Histoire du Maroc, en se mettant en avant dans le même état d'esprit du DEA et la Fondation Kennedy. Aussi, pour Antonio Gutterres lorsqu'on occupe un tel poste pour conduire la destinée du monde, selon une feuille de route infaillible, n'est-ce pas qu'il sait quels événements peuvent, du jour au lendemain, faire basculer le destin d'une région dans l'horreur de la guerre ? Au sens où, pour sa part, il faut donner de soi pour recevoir à son tour du soutien et de la reconnaissance, parce que malheur à qui reçoit et ne rend pas ! N'est-ce en cela, on le voit déjà accroître sa capacité d'échanger pour dépasser la crise de la région Guergarate pour ce qui concerne le dossier du Sahara marocain, en se découvrant les dangers de la charge non pas tellement pour l’immédiat mais pour demain et après demain ? A bon suiveur, bon décryptage !

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