samedi 22 avril 2017

LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU FIN AVRIL 2017 SUR LE DOSSIER DU SAHARA MAROCAIN, SERA-T-ELLE D'AMPLEUR CLAIRE ET NETTE D'ENVOYER AU DIABLE LE POLISARIO ?


DANS CE CONTEXTE DIFFICILE, Y'AURAIT-IL UN DÉCLIC AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU POUR UNE SORTIE DE CRISE PAR LA VALIDATION DES CRITÈRES D’APPRÉCIATION D'ANTONIO GUTTERRESS DONNANT RAISON A L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE 2007 ?

       La question qui interpelle pour l'avenir proche, est-ce que le bourbier Guergarate s'ouvrirait-il vers le spectre de la guerre ou se verrait-il circonscrit par la Résolution du Conseil de Sécurité de l'ONU fin Avril 2017 ? D'autant plus, tout un chacun sait que le Polisario est absorbé par la tache du déni qui réveille son arrogance vis-à-vis du Conseil de Sécurité le faisant en conséquence glisser vers l'inconnu. A même jusqu'à en oublier que rejeter la demande du Secrétaire Général Antonio Gutterress de se retirer de la zone de séparation en respect des clauses du cessez-le-feu 1991 signé avec l'ONU, c'est confirmer une certaine aliénation dont il se trouve. Alors même qu'il y a une pression diplomatique contraignante le mettant en cause, et qui va au-delà du renversement de l'ordre des Résolutions avec leur arsenal juridique onusien assez vaste pour le stopper. A cet égard, après 42 ans d'obsession anti Maroc par le pouvoir algérien c'est quand même de la vie gâchée du Maghreb dont il s'agit d'où il commence en tant que système désuet à en récolter la facture des pompes funèbres concernant le creusement de sa tombe. Ce qui résume pourquoi il est aux abois avec un haut niveau de risque de déstabilisation géographique structurelle via séparatisme pléthorique grondant et sans appel qu'il vit. Qu'en plus se conjugue à la guéguerre entre factions qui le composent et le traversent, à la violence sociétale et ethnoculturelle qui le menacent pour arriver au désastre politique à peu près complet par sa faillite et sa perte.

       Néanmoins, de fait, comprenant parce qu'il ne sera pas surpris de voir en pleine période de Résolution fin Avril 2017 ses aspirations d'avoir un comptoir sur l'Atlantique pourrir et ses gesticulations se disloquer, il continue de s'armer et en même temps organiser des rondes soi-disant de garde le long de ses frontières avec le Maroc pour s'efforcer de montrer de l'assurance. Même si, pour lui, les déceptions l'amertume et la tristesse ne lui sont épargnées jusqu'à vouloir faire infiltrer les jihadistes hommes et femmes sous couverture de refugiés syriens, tellement, l'on peut en penser peut-être que sa vie est en chronicité de honte d'avoir contrarié le Maroc sur le recouvrement de sa souveraineté sur son Sahara pour rien. Comme si, aujourd'hui déjà mort, il contemple, avec amertume et désespoir, sa bérézina économique politique en Afrique et diplomatique irrémédiable auprès de toute la Communauté Internationale dont il n'y a plus rien à faire pour le ressusciter. Parce qu'avec le Polisario, tous les deux ils ont atteint le point de non retour, dès lors qu'en scrutant les parrainages au Conseil de Sécurité de l'ONU des résolutions des fins des mois d'Avril des dix dernières années, ils se disent aujourd'hui victimes de leur vision du monde. Alors qu'en fait, tout le monde le sait maintenant, ils sont impulsifs et rancuniers que le Maroc en soit devenu le seul prétendant sud-méditerranée digne de confiance au poste de chargé de vigilance et de sécurité dans le G5+5 de toute la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Ce qui montre, que les nouveaux soutiens sans ambages de la thèse marocaine d'offre d'autonomie 2007 au Conseil de Sécurité n'accueillent plus ni passivement ni activement les avances et les cadeaux de l'Algérie s'essayant de les pousser à saper le processus de la régionalisation déjà mise en effectivité alléchante car réellement pragmatique dont le monde en parle.

       Ainsi, n'est-ce pas que les vents d'antan de la complicité au Conseil de Sécurité de l'administration Obama, de Ban Ki Moon avec son Envoyé Spécial Christopher Ross, du Venezuela et de l’Uruguay, aient maintenant quittés l'Algérie et sa protubérance Polisario pour de bon ? Jusqu'à ne vouloir après décryptage du rapport d'Antonio Gutterres, connaissant son but d'entreprendre une nouvelle approche, de se voir renverser en arrière du plan qui sera concocté par la Résolution dont ils n'étaient des années durant nullement effrayés. Comme ça l'on peut dire, la stratégie de l'Algérie est maintenant effilochée et déchirée, dont on distingue mal la perspective pour un avenir régional serein paisible et stable, si ce n'est sa croyance voire conviction à refaire la guerre des sables de 1963. Et, combien même cela serait, pour avoir la Résolution fin Avril 2017 de son coté, est-ce que le Maroc n'a pas tant de choses d'autres à anticiper à ajouter et à éclaircir pour mettre le monde à témoin, qu'il n'est plus aisé pour quiconque de maintenir la pression sur lui afin de continuer à implanter des idées saugrenues. Même pas du ministre Abdelkader Messahel le substitut de Ramtane Laamamra apparemment en disgrâce, qu'effectivement cet ancien journaliste originaire de Tlemcen paraissant sursautant et faisant du surplace en communication d'où se distillent de nouveaux ordres aux diplomates algériens de préparer les chancelleries à l’éventualité de la guerre. D'autant plus, c'est là où l'on mesure, néanmoins, le prodigieux et continuel effort du Roi du Maroc que ce soit officiel public ou privé dans le secret, pour l'anticipation et l’accélération de la rythmique des opérations de séduction et de rapprochement bien pensé mettant fin à l'incompréhension, signe qu'il n'y a pas mieux que le contact direct. Et ce, en Afrique Chine Inde USA Russie et Cuba, dont les observateurs initiés en voient l'une des finalités diplomatiques de grande envolée géopolitique et géostratégique pour ignorer l'Algérie dans ses sautillements indignes.


       Désormais, fini le temps où le Maroc suit l'Algérie selon les saisons de ses caprices à elle à travers l'UA UE et même l'ONU, parce que maintenant tout va bien, trop bien même au vu qu'il eut une préparation pour ne pas se laisser poignarder dans le dos comme en 2013 du temps de Suzanne Reis. N’empêche qu'il y a encore en ce temps présent des soupçons envers certains administrateurs onusiens corrompus, au lieu de se mettre à l'évidence ils se rendent invisibles jusqu'à trouver une autre parade pour un nouveau assaut d'encerclement des actions de nos diplomates onusiens. Mais, c'était sans compter sur leur clairvoyance et ténacité se ressaisissant et reprenant leur air le plus fier qui ne s'affaisse jamais devant aucune tentative de déstabilisation, comme ce qu'a fait Omar Hilal à son homologue vénézuélien au Conseil de Sécurité. D'ailleurs, s'il advient que la Résolution de fin Avril 2017 du Conseil de Sécurité de l'ONU n'offre pas assez de reconnaissance au Maroc, par timidité ou de peur de s'engager pour effacer l'amertume de l'Algérie qui se dessine via l'arrogance du Polisario à Guergarate, ce serait un acte de lâcheté. Alors qu'on pensait que tous les deux sont pris de panique, tellement, l'agitation de l'année de l'un, la légèreté politicienne de l'autre, s'ajoutant à la prétendue innocence des deux par le temps passé à narguer l'ONU, auraient provoqué beaucoup d'inquiétudes dont ils crurent ne jamais les affronter. Comme ça, ne peut-on dire qu'à la sortie de la future Résolution en faveur de la tendance marocaine, le Polisario n'aura pas la force de faire bonne continuité après décryptage et mûrissement du ton, de la teneur et la perspective d'avenir qu'elle porterait annonçant sa débâcle ? Voilà pourquoi, l'on peut avancer dès à présent le Maroc en étendant ses bras devenus longs dans l'échiquier des Nations-Unies saura maintenir le pouvoir algérien et son filipendule Général Gaid Salah à distance en respect. Sinon tout au moins, il leur montrera qu'il est en capacité de les atteindre par toutes ses batteries déployées dans tous ses plans d'urgence pour le développement tous azimuts des 03 régions du Sahara marocain Dakhla-Laayoune-Guelmim, que ce soient politiques économiques et/où sécuritaires-militaires. A bon entendeur, salut !  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire