mercredi 18 mai 2016

ENCORE DES PRATIQUES SAUGRENUES DES USA A L’ENCONTRE DU MAROC !

POURQUOI LES USA ONT-ILS L’ILLUSION QUE TOUT CE QU’ILS ÉMETTENT COMME RAPPORTS POUR TRANSFORMER A LEUR GUISE LE MONDE, REÇOIT SA JUSTIFICATION DANS LEURS DIVERSES CERTITUDES BALANÇOIRES ?

       Le rapport du département d’Etat américain sur les droits de l’homme au Maroc est méprisant imprécis non concis et injuste. Parce que dénaturant voire biaisant la vérité, à même d’être menaçant de la vie politique marocaine via cette pratique diplomatique saugrenue à l’encontre du Maroc. Dont, on croyait à tort qu’ils eussent fermé la parenthèse d’échanges d’opprobres porteurs d’inertie de dé-confiance vis-à-vis des pays arabes et pas seulement de l’Iran qui les traitait de grand Satan. D’autant plus, le Maroc n’est ni l’Iraq ni la Syrie ni la Libye et encore moins l’Algérie l’Egypte le Soudan et/où le Yémen, qu’en effet, justement, il n’a pas manqué via le ministère de l’Intérieur d’émettre ses réserves pour que les USA prennent les dispositions indispensables de vérification au cas par cas de leurs allégations infondées sur les droits de l’homme. N’est-ce d’ailleurs pour cela qu’ils sont aigris, n’ayant pas apprécié qu’ils soient montrés du doigt implicitement au discours royal au Sommet Maroc-CCG de Riyad en Arabie Saoudite ? Dont l’écho de par le monde de cette singularité de dire les choses, a permis au Maroc de disposer d’un potentiel-multilatéralisme probant, pour la réhabilitation de sa crédibilité politique en tant que  pays méritant la confiance sans ambages.

       En quelque sorte, c’est maintenant acté que les USA entre démocrates et républicains, n’aiment pas les monarchies arabes en plus de la Russie et la Chine voire à un degré moindre la vieille Europe excepté l’UK. Malheureusement, cette prétention-vérité aux caractères discriminatifs selon les opportunités conjoncturelles de leur part, est un agent destructeur inexorable de l’environnement relationnel diplomatique au sein de l’ONU. Ce qui donne l’impression en pratique normative onusienne de marchandisation des positionnements que seulement leur validation compte, s’appuyant entre autre sur l’asymétrie relationnelle dans l’encombrement des canaux diplomatiques. A cet égard, n’est-il pas injuste pour la majorité des pays de vivre dans cette situation de sous-traitance obligatoire de sollicitations des USA, qu’au demeurant n’est pas seulement inquiétante mais lamentable pour leur pérennité concernant leur droit d’exister ? C’en quoi s’opèrent les déprédations en relations diplomatiques aux conséquences immédiates sur la géosphère politique déjà grandement déséquilibrée en faveur des grands.

       Aussi, ces derniers temps dans le registre relationnel Maroc-USA, pour mettre fin à ces pratiques à son vis-à-vis, le Maroc a pu susciter autour de ses  liens de nouvelles orientations de grande sensibilité géopolitique et stratégique. A même de s’y être ouvert à des comptes souverains de pays vraiment amis, pour sortir du joug ordinal politique sur lequel les USA y travaillent dans les instances internationales notamment au FMI à la Banque Mondiale et au Secrétariat de l‘ONU depuis l’hécatombe du 11 Septembre 2001. Dont, la conservation a atteint aujourd’hui l’étape avancée de passer à la vitesse de manipuler les entités ethnoculturelles, et donc retracer de nouvelles frontières comme dans l’espace des pays arabes musulmans et africains. Un soi-disant nouvel ordre d’après eux, et ce dans le prolongement de l’esprit des accords Sykes-Picot, mais cette fois-ci basé sur l’axe des perspectives du marché de la pensée islamiste assistée par leur soin. Comprendra qui voudra, contrairement à ce que pense le commun des mortels ! Alors, face à ce péril, n’y a-t-il là urgence de révision des mesures d’autosatisfactions des dirigeants au Grand Maghreb afin de ne pas sombrer dans ce traquenard ? Même si, effectivement aujourd’hui les USA sont en stress visible ne pouvant avoir la même facilité d’accessibilité, particulièrement à la formation des gouvernements au Maroc en Egypte et en Tunisie comme ce fut le cas au moment du printemps arabe 2011.

       Néanmoins, de nos jours, n’est-ce pas que cet état d’esprit des USA de dénigrement du Maroc doit impérativement changer ? Parce qu’on commence à s’apercevoir que le Maroc subit peu à peu une augmentation de pression de maltraitance de la part des USA, de Ban Ki Moon et ses manutentionnaires au Secrétariat Général de l’ONU, en plus des lobbyings des pays nordiques en tant qu’aides opératoires à travers l’ouverture de nouveaux fronts au sein de l’UE. Et qu’en fin de compte, tout ce qu’il entreprend est considéré bizarrement une valeur négative pour son offre d’autonomie dans la régionalisation avancée que la communauté internationale qualifie toujours de piste sérieuse viable et facilement applicable. Ce faisant ne pourrait-on désormais dire le Maroc est fortement jalousé, car s’affirmant de plus en plus par le professionnalisme de ses services sur la collecte exploitation et usage de données hautement stratégiques, au point qu’il est tout le temps invité dans la cour des grands ?


       Mais le hic, c’est qu’au Maroc à ce jour, on n’a pas encore entendu les islamistes à propos de ses nouvelles malveillances à connotations interventionnelles américaines sur les droits de l’homme, qui ont pour objectif principal d’affaiblir le rayonnement perceptible de l’Etat-Maroc. Alors pourquoi restent-ils silencieux et cois voire bouleversés face à cette manière d’expression excentrique des USA, au risque de se voir dans une évolution les menant dans le sens diamétralement opposé aux intérêts du pays ? En tout cas, et ce n’est nullement une hostilité primaire à l’égard du département d’Etat américain, seule une mise en place de nouvelles mesures plus accomplies en efficacité d’observance des faits, serviront pour contrer les montages des médisances ridicules, des contrevérités superflues et des élucubrations irraisonnées attardées concernant le Maroc et son Sahara. Essentiellement, non seulement sur la prise en charge des complications abordant les sujets réels d’insoumission au diktat du département d’Etat américain, lequel par ailleurs est mal placé pour donner des leçons en matière du respect des droits de l’homme. Mais aussi en l’additionnant à la campagne communicationnelle de sensibilisation médiatique et diplomatique sur les dangers des fausses allégations des pratiquants du mensonge dans l’entourage Obama-Kerry-Reis. Au point qu’elle devrait avoir la première place dans les préoccupations du gouvernement, des partis politiques, des syndicats, de la société civile et des corporatismes socioprofessionnels. A bon suiveur bon décryptage ! 

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