ENCORE UNE FOIS, L’ESSENTIEL N’EST-IL DÉJÀ DIT SUR L’ASCENSION MAÎTRISÉE DE LA DIPLOMATIE DU ROI DU MAROC PAR L’OFFENSIVE MULTILATÉRALE EN
INDE RUSSIE JAPON ET CHINE ?
Les années
passent et ne se ressemblent plus pour la diplomatie marocaine, qu’au demeurant
ne cesse de marquer le coup par des politiques alternatives particulièrement.
Parce que, rien qu’à voir comment elle a su réorienter son logiciel de sa
nouvelle construction l’aidant à surpasser les envenimations de ses mauvaises
habitudes d’antan, pour devenir aujourd’hui sous l’impulsion royale un exemple
éloquent à suivre à l’international. Plongeant de fait par réalisme et
pragmatisme, celle dispendieuse du pouvoir algérien boutaflikien dans un corridor
diplomatique très étroit d’où il n’en sortirait jamais indemne, sinon
complètement désarçonné et désarmé. Certes qu’il y a lieu de réfléchir à la
création d’un nouveau concept d’annulation des idées saugrenues au sein du
Grand Maghreb, à même de brûler le code-pavé des conventions qui finalement n’aident
aucunement à sa construction ni sa consolidation.
D’autant plus, n’est-ce
pas les diplomates marocains du temps présent, n’ont de cesse que de montrer leur
particularisme de suivi avec minutie des instructions royales tracées dans la
feuille de route de la nouvelle offensive diplomatique marocaine survenue après
la rafale des derniers discours ? Ce qui leur donne immensément de plaisir
à doubler de vigilance et, à s’investir avec abnégation sans relâchement ni
hésitation dans leur noble fonction en tant que premier rempart contre les
malveillances dans les chancelleries du monde. En se basant particulièrement
sur leur expérience très fiable de consolidation du renouveau marocain
désormais incontestablement admis par tous pour la protection du leadership en
Afrique. N’est-ce en conséquence de quoi, beaucoup de chefs d’Etats en ont
apprécié le résultat-moisson engrangé par le Maroc en relations internationales
l’ayant surélevé dans leurs yeux par rapport au voisin de l’Est ? D’ailleurs,
n’ont-ils commencé à se bousculer sur les devants des portails des palais du
Royaume, et donc à en imiter enfin l’approche visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohamed
VI ? Notamment, en prenant bien soin de faire le distinguo entre, d’une
part la rythmique de distribution des embrassades dans les sommets et réunions à
somme nulle et, d’autre part, l’amplitude de soutien sans faille des pays vrais
amis entre eux quand cela s’avère un devoir crucial à faire montrer en ON.
N’est-ce ainsi qu’on ait vu exploser le box-office d’estime qu’ont aussi les
grands de ce monde pour le Roi visionnaire, sûrement le meilleur parmi les
meilleurs chefs d’Etats du moment ? Une leçon que le pouvoir algérien et
ses portes-flingues traînent à admettre, pour des raisons de rancœur rancune et
jalousie morbide même voyant leur déclassement aux Nations Unies se perpétuer
ne faisant plus partie des prestigieux. En fait, la plupart de ces gens là,
rechignent à voir la réalité sur le terrain et à se remettre en question en
ventilant en leur âme et conscience les retombées politiques diversifiées que
connait le Maroc. Résultats concrets des grands chantiers réalisés dans tous
les domaines sur presque dix sept ans de travail d’arrache-pied, dont il
convient de rappeler l’empreinte royale au Maroc. Par ailleurs, n’est-ce l’exploitation
par la communication ciblée de tout cela, qui normalement fera télescoper leur
inutile continuité dans le déni de l’offre d’autonomie de 2007, avec leur
palpation des transformations voire la métamorphose dans le réel au Sahara marocain
jusqu’au-delà de Lagouira au Sud extrême ?
C’est presque
une fierté insondable, lorsque l’on voit aujourd’hui de grandes firmes de
divers pays devenir opérationnelle au Maroc à travers des filières
d’intégration du savoir technicien local. Certes, pas encore avec une
ingénierie spécifiquement marocaine de grande valeur ajoutée pour les hauts
cadres nationaux, mais tout de même cette quête de l’excellence n’est pas
interdite. D’ailleurs, le Maroc ne s’y essaye-t-il aujourd’hui même dans ses tractations
en termes de réflexion stratégique de partenariats gagnants-gagnants avec la
Chine ? Qu’en effet, le chef de l’Etat chinois et tous les dignitaires ont
réservé un accueil des plus stylisés au Roi du Maroc sur l’esplanade du palais
du peuple, que les marocains n’aient jamais vu, à la fois tendre émouvant et
solennel et dont sûrement les répercussions en seraient caractéristiques pour
la légitimation sans ambages du Maroc dans son Sahara. N’est-ce là où l’on perçoit la haute
considération dont est entouré le Roi, comme ce qu’il a déjà vécu avec l’Inde
et la Russie par réactivité communicationnelle performante. S'ajoutant à cet exemple
en Chine, en ayant donné le meilleur de lui-même pour convaincre ses
interlocuteurs à doter le Maroc de toute la panoplie de la nouvelle catégorie
technologique évolutive via partenariats associations et liens stratégiques. Effectivement,
en ce temps, la vision royale exploratrice d’autres rapports est plus
réellement descriptive des intérêts mutuels en prévalence normative explicite.
Concrètement basée sur le multilatéralisme d’identification des filières
porteuses et prometteuses en commun avec ces interlocuteurs d’Asie (Inde Chine
Japon et Russie), via leur volonté implicite maîtrisée de ne pas interférer
politiquement sur aucune des décisions souveraines du Maroc. Bien entendu, ces quatre
grands pays incarnent chacun à sa façon, d’abord l’expertise dans l’analyse des
opportunités des coopérations multidimensionnelles géostratégiques civiles et
militaires, puis le talent dans le savoir-faire commercial-économique via
échanges préférentiels et partenariats gagnants-gagnants, ensuite l’innovation et
la manière en recherche et application des nouvelles technologies telles les
énergies renouvelables et enfin la mutualisation des efforts en référence au
culturel cultuel social et sécuritaire notamment la lutte antiterrorisme
Vraiment,
maintenant l’on peut dire que le Maroc est désigné par tous ces pays, pour
assurer un rôle nouveau dans la cartographie collaborative des fournisseurs et
équipementiers potentiels pour l’industrie sophistiquée, qui reste toujours
dispersée à travers le monde pour raison facile à deviner. Même si, les indicateurs de performance
du savoir-faire du Maroc illustrent parfaitement le début de mutation
sociétale, espérons que sa solidité financière à cause de la politique de
contraction de crédits du gouvernement actuel ne risquerait de retarder cette
ambition vu le poids social qu’il tracte. Encore heureux, que l’alliance
stratégique Maroc-CCG pourrait minimiser toute possibilité de rétropédalage en
matière du risque de rentabilité, et ce, par un effort supplémentaire de
provisionnement de leur part via le cautionnement moral de Sa Majesté le Roi
Mohammed VI. Dont, aussi, de par sa performance relationnelle personnelle à
l’international, le Maroc ne manquerait jamais de libre choix, comme à
l’accoutumée à chaque fois il revient sur le devant de la scène. A bon suiveur
bonne lecture !
Excellent article, bravo à l'auteur
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