jeudi 12 mai 2016

DES PACTES D’INTENSIFICATION DE L’ ÉMERGENCE PAR DES ACTES DE RÉORIENTATION DE L’OFFENSIVE ROYALE POUR LA NOUVELLE CONSTRUCTION DU MAROC ?

ENCORE UNE FOIS, L’ESSENTIEL N’EST-IL DÉJÀ DIT SUR L’ASCENSION MAÎTRISÉE DE LA DIPLOMATIE DU ROI DU MAROC PAR L’OFFENSIVE MULTILATÉRALE EN INDE RUSSIE JAPON ET CHINE ?

       Les années passent et ne se ressemblent plus pour la diplomatie marocaine, qu’au demeurant ne cesse de marquer le coup par des politiques alternatives particulièrement. Parce que, rien qu’à voir comment elle a su réorienter son logiciel de sa nouvelle construction l’aidant à surpasser les envenimations de ses mauvaises habitudes d’antan, pour devenir aujourd’hui sous l’impulsion royale un exemple éloquent à suivre à l’international. Plongeant de fait par réalisme et pragmatisme, celle dispendieuse du pouvoir algérien boutaflikien dans un corridor diplomatique très étroit d’où il n’en sortirait jamais indemne, sinon complètement désarçonné et désarmé. Certes qu’il y a lieu de réfléchir à la création d’un nouveau concept d’annulation des idées saugrenues au sein du Grand Maghreb, à même de brûler le code-pavé des conventions qui finalement n’aident aucunement à sa construction ni sa consolidation.  

       D’autant plus, n’est-ce pas les diplomates marocains du temps présent, n’ont de cesse que de montrer leur particularisme de suivi avec minutie des instructions royales tracées dans la feuille de route de la nouvelle offensive diplomatique marocaine survenue après la rafale des derniers discours ? Ce qui leur donne immensément de plaisir à doubler de vigilance et, à s’investir avec abnégation sans relâchement ni hésitation dans leur noble fonction en tant que premier rempart contre les malveillances dans les chancelleries du monde. En se basant particulièrement sur leur expérience très fiable de consolidation du renouveau marocain désormais incontestablement admis par tous pour la protection du leadership en Afrique. N’est-ce en conséquence de quoi, beaucoup de chefs d’Etats en ont apprécié le résultat-moisson engrangé par le Maroc en relations internationales l’ayant surélevé dans leurs yeux par rapport au voisin de l’Est ? D’ailleurs, n’ont-ils commencé à se bousculer sur les devants des portails des palais du Royaume, et donc à en imiter enfin l’approche visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohamed VI ? Notamment, en prenant bien soin de faire le distinguo entre, d’une part la rythmique de distribution des embrassades dans les sommets et réunions à somme nulle et, d’autre part, l’amplitude de soutien sans faille des pays vrais amis entre eux quand cela s’avère un devoir crucial à faire montrer en ON. N’est-ce ainsi qu’on ait vu exploser le box-office d’estime qu’ont aussi les grands de ce monde pour le Roi visionnaire, sûrement le meilleur parmi les meilleurs chefs d’Etats du moment ? Une leçon que le pouvoir algérien et ses portes-flingues traînent à admettre, pour des raisons de rancœur rancune et jalousie morbide même voyant leur déclassement aux Nations Unies se perpétuer ne faisant plus partie des prestigieux. En fait, la plupart de ces gens là, rechignent à voir la réalité sur le terrain et à se remettre en question en ventilant en leur âme et conscience les retombées politiques diversifiées que connait le Maroc. Résultats concrets des grands chantiers réalisés dans tous les domaines sur presque dix sept ans de travail d’arrache-pied, dont il convient de rappeler l’empreinte royale au Maroc. Par ailleurs, n’est-ce l’exploitation par la communication ciblée de tout cela, qui normalement fera télescoper leur inutile continuité dans le déni de l’offre d’autonomie de 2007, avec leur palpation des transformations voire la métamorphose dans le réel au Sahara marocain jusqu’au-delà de Lagouira au Sud extrême ?

       C’est presque une fierté insondable, lorsque l’on voit aujourd’hui de grandes firmes de divers pays devenir opérationnelle au Maroc à travers des filières d’intégration du savoir technicien local. Certes, pas encore avec une ingénierie spécifiquement marocaine de grande valeur ajoutée pour les hauts cadres nationaux, mais tout de même cette quête de l’excellence n’est pas interdite. D’ailleurs, le Maroc ne s’y essaye-t-il aujourd’hui même dans ses tractations en termes de réflexion stratégique de partenariats gagnants-gagnants avec la Chine ? Qu’en effet, le chef de l’Etat chinois et tous les dignitaires ont réservé un accueil des plus stylisés au Roi du Maroc sur l’esplanade du palais du peuple, que les marocains n’aient jamais vu, à la fois tendre émouvant et solennel et dont sûrement les répercussions en seraient caractéristiques pour la légitimation sans ambages du Maroc dans son Sahara.  N’est-ce là où l’on perçoit la haute considération dont est entouré le Roi, comme ce qu’il a déjà vécu avec l’Inde et la Russie par réactivité communicationnelle performante. S'ajoutant à cet exemple en Chine, en ayant donné le meilleur de lui-même pour convaincre ses interlocuteurs à doter le Maroc de toute la panoplie de la nouvelle catégorie technologique évolutive via partenariats associations et liens stratégiques. Effectivement, en ce temps, la vision royale exploratrice d’autres rapports est plus réellement descriptive des intérêts mutuels en prévalence normative explicite. Concrètement basée sur le multilatéralisme d’identification des filières porteuses et prometteuses en commun avec ces interlocuteurs d’Asie (Inde Chine Japon et Russie), via leur volonté implicite maîtrisée de ne pas interférer politiquement sur aucune des décisions souveraines du Maroc. Bien entendu, ces quatre grands pays incarnent chacun à sa façon, d’abord l’expertise dans l’analyse des opportunités des coopérations multidimensionnelles géostratégiques civiles et militaires, puis le talent dans le savoir-faire commercial-économique via échanges préférentiels et partenariats gagnants-gagnants, ensuite l’innovation et la manière en recherche et application des nouvelles technologies telles les énergies renouvelables et enfin la mutualisation des efforts en référence au culturel cultuel social et sécuritaire notamment la lutte antiterrorisme


       Vraiment, maintenant l’on peut dire que le Maroc est désigné par tous ces pays, pour assurer un rôle nouveau dans la cartographie collaborative des fournisseurs et équipementiers potentiels pour l’industrie sophistiquée, qui reste toujours dispersée à travers le monde pour raison facile à deviner. Même si, les indicateurs de performance du savoir-faire du Maroc illustrent parfaitement le début de mutation sociétale, espérons que sa solidité financière à cause de la politique de contraction de crédits du gouvernement actuel ne risquerait de retarder cette ambition vu le poids social qu’il tracte. Encore heureux, que l’alliance stratégique Maroc-CCG pourrait minimiser toute possibilité de rétropédalage en matière du risque de rentabilité, et ce, par un effort supplémentaire de provisionnement de leur part via le cautionnement moral de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Dont, aussi, de par sa performance relationnelle personnelle à l’international, le Maroc ne manquerait jamais de libre choix, comme à l’accoutumée à chaque fois il revient sur le devant de la scène. A bon suiveur bonne lecture !

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