A QUOI RIME CETTE MAUVAISE RÉSONANCE D’INSULTES DANGEREUSES
ENTRE CHEFS DE PARTIS MAROCAINS ?
Il y a quinze
ans les jeunes de 21 ans au Maroc découvrirent l’importance de la politique, où
brillait le nom de Youssefi Abderrahman à la primature. Malgré que son œuvre en
responsabilité politique à coté d’un jeune Roi, était moins souvent l’objet de
publications. Malheureusement, ce n’est nullement le cas aujourd’hui où il y a exclusivement
évocation des autosatisfactions à tire larigot de la part de quelques ténors de
la majorité chef du gouvernement compris et l’opposition. Peut-être, par peur pour les uns qu’ils soient catalogués comme conglomérat de protestataires zélés, et d'hypocrites allant jusqu’à se
transcender dans le populisme navrant en sillonnant les villes pour les autres. Alors que les
souffrances demeurent criardes en arrière-pays très peu fréquenté des uns comme
des autres.
Au fond, au lieu
de redonner confiance aux jeunes d'aujourd'hui de 18 ans par la raison de la constitution, tous ces acteurs politiques
préfèrent constamment soulever des insinuations et vaquer au plaisir de la
délation parfois injustifiée. Ne s’agit-il finalement d’un foisonnement
d’immaturité politique initiée en sous-entendu de leur part, bravant de surcroit le consensus de moralité comportementale ? Parce que lorsqu’on
tente d’expliquer ce mode de désamour entre les protagonistes cachant un nid de
crabes, on en sort avec l’urticaire. D’ailleurs pour ceux de la majorité, ils croient
mener la vie dure à l’opposition à la façon d’Al Mouaatazilats des temps
modernes, en réunissant les témoignages axés vers les tapeurs des ''Bendirs'' afin
de les partager sur les réseaux sociaux sans tenir compte des vraies souffrances
de la population. Alors que pour les autres, n’acceptant ni l’orthodoxie des
raisonnements de certains pjdistes ni le contrebalancement de quelques ppséistes bigarrés, ils
s’attachent en priorité à la création de doute sur les aspects les plus variés
de l’action politique de toute la majorité. C’est dire que le Maroc doit
effacer cette image excessive, non seulement pour ne pas tomber dans le
tourbillon de l’arbitraire quelle que puisse être sa finalité de religiosité ou pas.
Mais aussi pour ne pas s’engluer dans l’intolérance par des langages blessants
destructeurs de tout établissement de confiance dans le futur.
Certes, cela ne
justifie pas au demeurant le retour à l’inertie au sein de l’hémicycle, du fait
que les contraintes politico-stratégiques du moment l’exigent. Néanmoins,
pourquoi les observateurs en sont arrivés à souligner par ci par là, seulement
les lacunes dans la nouvelle trajectoire politique marocaine ayant un lien avec
la gouvernance de l’ensemble de l’Exécutif actuel ? Sans tenir compte de
la renaissance palpable sur le terrain sous l’action royale directe soutenue et
diversifiée, qui vaut au pays tant de considérations évoquant le survol
pléthorique du nouveau Maroc. A ce titre, ne peut-on dire, les structures caverneuses
de l’Exécutif gouvernemental mitées de ses diverticules d’incompétence
administrative, sont les conséquences de cette mauvaise appréciation de
scepticisme ? Vraiment, pourquoi l’Exécutif en chef sous la constitution
du 01 Juillet 2011, ne favorise-t-il pas encore la chasse de ces comportements
au lieu de continuer de donner l’image d’un sanctuaire sacré sans s’y conformer
à ses obligations ? N’est-ce pas vrai que Sa Majesté le Roi Mohamed VI
juste après son intronisation, fit l’un de ses premiers relevés de vaillance
étatique en s’attachant à situer l’ensemble de son action dans la chronologie
de la conscience évolutive de son peuple ? Sans l’usage d’allusion ni
distorsion de parole, contrairement à certains de par leurs styles non envieux, restant piteusement en contradiction
avec la probité. Car ils sont classés voire classables dans l’échelle de l’irresponsabilité de conversion
emphatique non ingénieuse comme mode de leur vie politique. Par conséquent, n’est-il
loin le temps où le gouvernement traversait hautainement les couloirs des
institutions, parce que maintenant il ne fait que jouer à l’équilibriste face
aux nombreuses affaires éclatant comme des popes cornes au vu de leurs
fracas ?
C’est vrai d’aucuns
ne peuvent nier que « blamhal taytkal boudenjal », sauf une fois cuit
s’il n’est pas mangé à temps, il devient ranci et donc peut provoquer
suffocation et irritabilité. D’autant plus, qu’on ne nous réitère plus le coup
de singularité marocaine même si c’est vrai, parce qu’on ne le veuille où pas
il y a une volonté-mission en sous-entendu de déferler sur les recoins de
l’Etat. Dès lors que cette transmission déjà essayée sous d’autres cieux, elle s'attelle en ce temps présent à renflouer les nouvelles idées de religiosité de
la mort-sacrifice au nom de Dieu et croyances en le martyr pour la préparation
d’une deuxième vague beaucoup plus mordante. A cet égard, ne peut-on
s’exclamer, Etat-Maroc réveille-toi et sort de tes analyses de reconstitution
de la domestication d’autrefois du champ politique ! Ne remarque-tu pas,
par ta vaillance légendaire qu’il y a ici et là l’invention d’un langage qui se
veut pour le commun seulement d’échange de diatribes ? Alors qu’il est en
fait à visées de pénétration de ré islamité à l’ancienne par les uns, ne se
bornant qu’à ressusciter les courants dormants, même ceux d’autrefois par
hasard revenus dernièrement. Evidemment pour les autres, il se heurte au
différend de taille relevant du fait accompli en matière des mauvaises
gouvernances d’antan, entre les politiques de la nouvelle vague légitimiste et ceux
consumés rescapés voire rechapés, dont l’histoire du Maroc contemporain en
garde des cicatrices gestionnaires.
Avec la montée
de toutes ces idées s’emparant progressivement de toutes les structures
étatiques, le projet du progrès ’'Al Hadatha'' sciemment intégré dans les articles de la
constitution sera dépassé. Parce que n’inspirant que peu de gens dans la
majorité parlementaire, au point que le MP et le RNI commencent déjà à faire débuter
en leur sein, une précoce précaution de ne pas se laisser murer en tant que
coalisés n’ayant que peu d’influence en la matière. Cependant, bizarrement, pourquoi
le PPS (Parti du Progrès et du Socialisme) se laisse-t-il guider vers ce dessein, ne disposant plus dans ses rangs
les plus avancés de relais intermédiaires crédibles pour faire les objecteurs
de conscience ? Après tout, ne se montre-t-il lui aussi créateur de
turbidité relationnelle avec l’opposition institutionnelle, en soutenant même
froidement le dernier clash benkiranéen au parlement ?
En ce sens, qui mieux que le chef du gouvernement pour piloter l’opération de réserve avec hauteur de vue dans sa gouvernance ? Au lieu d’aller très loin publiquement dans une colère injustifiée, jusqu’à traiter ses opposants d’effrontés et insolents-faussaires usant de gros mots, à même d’avoir fait entrer le vocable ‘’Assafaha’’ au parlement marocain. Mais qui sait, en s’engageant dans cette dynamique échangeuse d’opprobres, ne se prépare-t-il à se replier dans l’opacité ? Qu’en effet certains observateurs qualifient ce détail, comme peut-être son ''last'' baroud d’honneur en tant que chef du gouvernement. Sans doute, ce sera l’essence réelle de la raison dans le futur proche ! Parce que l’avenir marocain n’est plus dans l’immobilisme politique, il est dans le mouvement et la mobilisation tout azimut avec récépissé attestant l’exigence royale toujours en accord avec l’aspiration du peuple. A bon entendeur salut !
En ce sens, qui mieux que le chef du gouvernement pour piloter l’opération de réserve avec hauteur de vue dans sa gouvernance ? Au lieu d’aller très loin publiquement dans une colère injustifiée, jusqu’à traiter ses opposants d’effrontés et insolents-faussaires usant de gros mots, à même d’avoir fait entrer le vocable ‘’Assafaha’’ au parlement marocain. Mais qui sait, en s’engageant dans cette dynamique échangeuse d’opprobres, ne se prépare-t-il à se replier dans l’opacité ? Qu’en effet certains observateurs qualifient ce détail, comme peut-être son ''last'' baroud d’honneur en tant que chef du gouvernement. Sans doute, ce sera l’essence réelle de la raison dans le futur proche ! Parce que l’avenir marocain n’est plus dans l’immobilisme politique, il est dans le mouvement et la mobilisation tout azimut avec récépissé attestant l’exigence royale toujours en accord avec l’aspiration du peuple. A bon entendeur salut !
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