NE PEUT-ON FAIRE APPEL A DES HOMMES ET FEMMES AUXQUELS
SERAIENT DÉVOLUES LA FONCTION ET L’ASSURANCE D’ANTICIPER DES INITIATIVES ANTI-INCARTADES
DE L’ALGÉRIE ET SES ACOLYTES ?
Il va de soi que
dans cet ordre d’idée, une chancellerie est dite visionnaire, lorsque ses
lectures se font par anticipation de production de réponses adéquates voire de
bonnes solutions au déroulé d’actualités. Cependant, cela ne doit-il se faire, d’abord, dans le cadre de la diplomatie référentielle étatique parlementaire syndicale
socioprofessionnelle et associative pour ne pas déchanter ? Ensuite, par
des procédés déductifs légaux officiels dans le concert mondial des Etats, surtout, si le
traitement du fil de l’information est mieux coordonnée au sein de la chancellerie.
En conséquence de quoi, ne peut-on dire qu’au vu des agissements et incartades itératifs
des ennemis à l’encontre du Maroc, la diplomatie marocaine bénéficierait surement d’intéressants contacts
de collaboration relativement stables et utiles ? Dont, au sein des instances internationales le but est notamment, d’assurer dans la mesure du
possible des relais de promotion et d’amplification de la collaboration apaisée et sécurisée entre Etats.
Encore faut-il qu'au Maroc, pour
faire ce job si exaltant, qu’originalement les acteurs portes oriflammes se transforment
en soldats de la diplomatie-synthèse-analyse réelle de surcroît percutante. D’autant
plus, pour y répondre de la sorte, en liaison constante avec la tutelle en
l’occurrence le ministère des affaires étrangères, ne s’agit-il d’en relever les
dessus-dessous des desseins malencontreux pouvant survenir à l’improviste ?
Pour cela, évidemment, il faudrait, primo, que la structuralité diplomatique puisse s’en
dégager des considérations des théoriciens du chantage que sont
les hommes et femmes du pouvoir algérien, afin d’en éviter les soubresauts
déstructurants. Car ces derniers, c’est vrai, qu'ils profitent qu’on le veuille ou pas des faiblesses de
l’artefact structurel des caprices de la consanguinité au sein des canaux diplomatiques
marocains. Dont, l’exégèse ne montre que désabusions voire parfois des tergiversations sans intérêt
pour leur bonne marche. Et secundo, qu’en plus elle en soit exempte de toute dose
où proportion de copinage, voire aussi voisinage des bans d’écoles instituts partis
politiques et associations sans valeur ajoutée. N’en déplaise aux décideurs, n’est-ce
cela, qui a fait rester la diplomatie marocaine dans un imaginaire
invraisemblablement mystérieux des années durant, par manque d’initiatives aux
résultats probants voire féconds ? N’est-ce d’ailleurs pour cela on s’est
aperçu, cependant, que malgré le niveau d’éducation de certains de nos
diplomates, leur talent et flair ne peuvent remplacer l’intuition pour l’illustration
convaincante de leur influence dans les chancelleries des lieux de leurs
accréditations ?
Certes, évidement, que par le
passé pas lointain, ce désolant état du laisser aller n’a engendré que peu de rentabilité diplomatique, si ce n’est uniquement
pour faire de la décoration de représentativité protocolaire dans certaines
capitales. Sauf qu’à cet égard, aujourd’hui, cet état n’est-il dépassé après la
charge offensive royale tous azimuts, demandant sans cesse vigilance et anticipation
d’imagination, devant la masse importante d’initiatives-intrigues politiciennes
algériennes où autres. Qu’en effet, le Maroc ces derniers temps en a eu à subir des
contrecoups diversifiés en style et en teneur politicienne, parfois sous-forme de réquisitoire-pipeau jusqu’à s’en rassasier ?
Néanmoins, notamment, c’est en faisant valoir ses contre-attaques ciblées, à chacune de
leurs modulations de récits relevant du déni, ou, de leurs multiples exposés
mensongers voire même tentatives d’atteinte à sa souveraineté, que le Maroc a
montré sa sortie définitive de l’état de contemplation tirant à boulets rouges sur tout ce qui bouge. Même si on le sait tous, le
monde de la politique politicienne est source intarissable de coups et contrecoups, dont il
n’y a rien de plus dangereux au Maroc que de recréer les conditions des songes
que désire le pouvoir algérien et ses manutentionnaires par la sous-traitance
diligentée. En ce sens, ne s’agit-il à ce titre, de la haine de l’Algérie des généraux
nababs, laquelle, est entamée vis-à-vis du Maroc depuis le coup de génie hassanien de la
Massira en 1975 s’ajoutant aux séquelles de la guerre des sables ?
C’est vrai, il va sans dire que diplomatiquement pour le moment tout n’est pas de la meilleure qualité, néanmoins, l’effort
est perceptible au travers les messages envoyés en OFF comme en ON, de par les
récits officiels émanant de la demeure shéllaenne à Rabat. Mais pourquoi
demande-t-on autant à nos diplomates, devant montrer sans fausse emphase et
sans abuser du style larmoyant, une mécanique diplomatique offensive sans faille? Et/où, nul scrupule
n’est toléré dans tous les domaines, comme ce qu’il a fait Mezouar au parlement en montrant que le Maroc est sur le qui-vive pouvant atténuer rapidement les exploitations
systématiques des informations et manœuvres diplomatiques à contre courant
marocain, si petites soient-elles. Autrement dit, qu’à tout moment sa mécanique
en soit véritablement livrée tambours battants et/où en mode-discrétion, à faire
face au soi-disant pur hasard du calendrier du fil d’actualités. Encore faut-il
que la traduction sur le terrain par des initiatives de recréation d’intérêt,
soit nettement définie rénovatrice de la politique diplomatique suivie, et ce,
grâce à un dosage judicieux de réalisme et d’exaltation en matière de relations
internationales.
Maintenant il
est certain, dès lors que tout le monde le sait, les éléments de cruauté
contenus dans les attaques algériennes sont loin du réalisme voire relevant de la mesquinerie. Par conséquent,
leur caractère irrationnel irréel de par sa bassesse, ne peut étouffer le nouvel expressionnisme diplomatique
marocain. Lequel, désormais, fait de toute évidence neutraliser les risques de frayeur qu’elles comportent. Et ce, quoiqu’en
disent et en pensent certains experts nationaux poussant leur logique entichée
jusqu’aux limites de l’absurde et du non sens. D'ailleurs, n’en déplaise à eux, ce n’est
pas ce genre de leur dit-non dit, s’adressant à l’innocence des marocains qui
les rendra encore plus suivis sur les réseaux sociaux. Au contraire, les marocains savent qu'ils font inconsciemment le jeu de certains médias algériens ne voulant sortir de ce même conditionnement
des mentalités. Où, de fait, sans équivoque, règnent des interférences avec lesquelles prolifèrent leurs
intentions de jeter de génération en génération des opprobres sur le Maroc. A cet égard, naturellement, c’est
là ou nos diplomates partout ou ils se trouvent sont attendus, devant, créer
délibérément les faisceaux d’informations qui renverseront les tendances de ceux
antagonistes de ces journalistes algériens. N’est-ce d’ailleurs, ce qui se fait
déjà dans les milieux des décryptages et documentations, en mettant l’accent
sur les carences manifestes de la gouvernance algérienne dans tous ses volets? Parce que, ne tenant pas à la légalité
des formes et des procédures, du moins face aux difficultés auxquelles se
heurtent les idéaux invalidés du peuple algérien, et, que corrobore l’état de
non démocratie retardée par le statu quo politique actuel de l'Algérie. Tellement qu’à ce
jour le président-légume Bouteflika et ses geôliers à ksar Lmradia, sont
qualifiés par des observateurs internationaux intègres, d’acteurs inconscients de la décomposition morale de l’UA et de la
dénaturation physique du Grand Maghreb.
Ce faisant,
est-ce que dans l’actuelle atmosphère de l’UA, les maîtres à penser dans leur
langage hideux pro algérien, ne font-ils que contribuer au folklore politicien de la société
de quelques présidents africains ? Et/où, il est facile d’en distinguer
l’escroquerie de l’histoire, de l’authentique recherche des vérités historiques à bien des égards.
Car, il semble qu’en voulant installer Chissano l’ex président mozambicain, ce
rabatteur (Hayyah) de l’Algérie officielle, en tant qu’envoyé spécial de l’UA
au Sahara marocain de par leur hégémonie étroitement conditionnée par la rente
petro-dinar-gazière, ils ont de fait opposé leur ligne de refus d’objectivité
de l’offre marocaine sous l’égide de l’ONU à leur tradition de gouvernance contre
rationalisme. En l’occurrence à tout vent, ne tendant aucunement vers la
prospérité (Al Izdihar) ni vers l’opulence (Arrafahia) et encore moins pour la
dignité (Al Karama) de leurs peuples respectifs.
En effet
l’historicité événementielle du nouveau Maroc diplomatique, ne va-t-elle dans le sens
de cette nouvelle forme de résistance à toutes les tentatives de déstabilisation,
telles celles qu’on voit s’ériger sous des cieux non envieux? De sorte qu’on y
voit subsister au Maroc la seule et véritable forme d’un Etat fort, de surcroît absolument légitimé. Parce que, suffisamment, nécessairement protecteur par les temps qui courent, de sa structuralité socio-économique culturelle
cultuelle écologique et politique. N’est-ce tout cela, qui dérange les rampants du dessous des références des droits en démocratie, au point d’en adopter honteusement leur
attitude de formulation de haine vis-à-vis de l’expérience marocaine singulière ?
La voyant, seulement, au travers de leur prisme politique étroit en plus rayé de contre-façonnage, car se situant dans la ligne de leur dépravation piteuse fidèle au déni des
réalités.
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