samedi 1 février 2014

LOUARDI HOUCINE LE MINISTRE DE LA SANTÉ A PPSÉITÉ BIGARRÉE, SE MONTRANT POLITIQUEMENT PRAGMATIQUE SEULEMENT QUAND ÇA L’ARRANGE !

 PEUT-ON CROIRE QUE LES MAROCAINS VOTERONT POUR LES PARTIS DIFFUSEURS D'HISTORIETTES AUX MULTIPLES SOUS-ENTENDUS ?

       Longtemps avant le oui référendaire du 01 Juillet 2011, quelques analystes politiques avertis avaient tiré la sonnette d’alarme à propos du risque d’invention de langage par des opportunistes machiavéliques. Qu'en effet, n'usant en sorte que de symbole d’outrance d’incivisme voire incompétence, notamment par la parole vindicative sans mise au point ni vérification, et de fait occultant l’envers de la médaille risquant de les mettre au pilori. N’est-ce pas que ces mêmes scrutateurs du champ politique avaient relaté dans leurs écrits et éditoriaux à consonance purement politique, les prédispositions de certains dirigeants en vue dans le panel politique à continuer à utiliser ce même genre de procédé ? Et qu'en plus d’autres se montrant à l’opposé de toute charte d'adhésion partisane alors que sournoisement affiliés par leurs idées, et de surcroît toujours appointés par des commanditaires en interne ou en externe, sont devenus des artisans de la plume acerbe s'appropriant la délation et la dénonciation pour affaire les concernant seulement.   

       A cet égard d’ailleurs, que pense Louardi de cet axe éditorial plus particulièrement de leurs sorties médiatiques relayant la médisance la contrevérité et les historiettes aux multiples sous-entendus ? Ne s’est-il posé la question que lui aussi botte de temps en temps dans cet art politicien le mettant au service de leurs réflexions creuses sans valeur ajoutée, si ce n'est défendre leurs intérêts pécuniaires. Dès lors qu’ils cherchent à faire des bénéfices conséquents parfois en nature sans témoins sur le dos des petits démunis. Même ne sachant pas qu’ils étonnent désormais moins que la profusion de langage au dessin de machine de guerre des politiques politiciens entichés, dont l'objectif principal est de bâtir des digues-guides contre toutes les oppositions. Parce qu’évidemment, il n’est pas question pour eux que les petites gens puissent avoir accès à ce soi-disant savoir pouvant  aussi les mettre eux-mêmes dans l’embarras sachant que des appels à la mise en place de guide déontologique s'impose impérativementDont beaucoup de marocains croyaient que Louardi en tant que ministre de la santé vu son parcours professionnel respectable, il pourrait user de sa propre imagination et faire sortir le PPS son parti, de l’irrationnel des diversités des intérêts des copains et consanguins, surtout à propos des accords en sous-entendus avec le PJD.

       Néanmoins, malgré cette prémonition-constatation, Louardi ne sait-il que l’ardeur d’autres vrais politiques de ses camarades des rangs du PPS comme Saadi, Grine et même ceux de la nouvelle vague penchés sur de valeureux parchemins, n’a pas faibli pour mettre ces usuriers vindicatifs devant leur responsabilité ? Au point qu’au contraire même, ils seraient devenus richement enluminés s’agissant de la diffusion écrite de leurs idées non erratiques. Et/où, il n’est pas question qu’ils en soient juste une curiosité corrective de ses errements à lui et aussi des pasticheurs comme l’Ouafa le ministre égaré pendant la campagne istiqlalienne, et surtout Benabdellah son chef au parti et ministre titulaire de demi-maroquin par conséquent doublement fracassé dans sa tête et dans son amour propre. A même de les montrer n’ayant rien vu venir comme lui, ni deviner que bien des révolutions comportementales mauvaises aucunement supportables à la limite du tolérable en démocratie, allaient commencer par eux. Ne savaient-ils eux qui se disent préparateurs de bonne gouvernance la séparant de l'ivraie, que les temps ont changé pour risquer d’en véhiculer leurs vérités discutables en l’absence de résultats notables de la marche  gouvernementale ? N’auraient-ils pu prévoir à quelle infortune était destinée l'invention du langage populiste politicien auquel ils avaient eux aussi travaillé avec tant d’espièglerie ?

       C’est maintenant certain, après l’émission 90 minutes pour convaincre sur Midi1TV du 30 Janvier 2014, l’œuvre grandiose qu’attendent les marocains des actions de Houcine Louardi n’est en fait qu’une approche d’utilité partisane politicienne seulement. Du fait du non conditionnement à bon escient du mécanisme de coordination du droit à la santé selon la constitution du 01 Juillet 2011. Par exemple en terme contextuel réel du système de couverture sanitaire AMO, RAMED et autres moyens sans duplicité ni multiplication de souffrance pour l’accès aux soins sur le terrain. Surtout en disparités d’équipements et autres actions de proximité devenues vecteurs de communication médicale des associations caritatives envers les marocains démunis dans le rural et l’urbain. Et ce, même si, il s’en défend farouchement par un langage redondant semi-socialisant fortement conditionné par l’expression « Allah Ghaleb », vu le manque de moyens et/où insuffisance budgétaire financière pour engager plus de ressources humaines et tout faire en parfaite harmonie des besoins des régions. Sauf qu’il devait éviter de s’illustrer dans ce système oral et visuel aux multiples facettes lors d’émissions de radio et télévision, sachant le risque qu’il encoure pouvant le faire sombrer sous les critiques par suite du nouveau vent d’idées politiques secouant les dogmes de l’ordre établi. D’abord contre l’islamité contentée de paroles obsessionnelles traitant d’autres partis comme porteurs de tares congénitales, puis vis-à-vis de l’attribution-notation d’autrui sur l’échelle triste des valeurs de normalité labellisée de moralité sans garde-fous.

       Cependant, d’autant plus, ce langage évoluant en l’absence de concertation inter et intra-professionnelle, il ne tient pas compte de l’effectivité d’assainissement administratif ministériel multisectoriel pouvant s’avérer salutaire pour le pays. Et c’est là ou le bas blesse car découlant de ses manipulations politiciennes sans garanties pour les professionnels, tout simplement pour donner l’avantage à des fantômes trésoriers et opportunistes sans scrupules ni légitimité déontologique. Hélas ! C’est toute son attention pour eux qui se produit, parce que n’étant pas avisé par des rumeurs de sa servilité aveugle à leur vis-à-vis. De fait, en se ruant sur l’invention Benkiranienne à propos de l’héritage koutléen, il s’en est trouvé sommé de dire des extravagances lui l’homme de réanimation et soins intensifs habitué au cas et situations critiques d’urgence pour ne pas tomber dans le panneau. En l’occurrence ne faisant que le sautillement sur place, confondant propositions populistes sans alternatives avec sa propre vision-militantisme bizarrement paraissant à tout un chacun opportuniste dans son expérience gouvernementale. Dont, quand même,  il pouvait en deviner les relents obscurs ne s’appuyant aucunement sur la cohérence et l’identité politique du PPS de Feu Ali Yaata.

       Nul doute que beaucoup de ses amis dans l’opposition n’ait considéré cette dichotomie de positionnement comme détail ou se trouve le diable. Car ce fut démontré sur bien des volets qu’en effet, aussitôt le hasard venait le mettre sur la voie de la ministérialité, il a commencé à échafauder des projets vraiment enthousiastes dans leur teneur et charge communicative mais sans concertation ni la moindre définition des critères de base de ses évaluations. Parce qu'espérant en tirer politiquement profit, voulant graver son nom sans montrer le coté populiste de cette affaire. Et dont la MAP bizarrement l’a primé pour ça, alors que la fracture sociale ne cesse de s’élargir, se voyant acculer à quitter incessamment sous peu le navire de par le conservatisme pressant des pjdistes sur tous les coalisés en dehors des rnistes sachant ce qu'ils font. Même si, c’est vrai que pendant l’émission 90 minutes pour convaincre, il s'y était essayé de s’auto-exorciser de la peur la haine et la jalousie par des gestes et formules d’exhaussement du mur de ses secrets. Était-ce là simple modestie, excès de prudence espérant éviter les répliques de l’inspiration subite du journaliste et son autre invité-contradicteur, où bien un concours de circonstances dû à sa péripétie malencontreuse vécue au parlement face à des pharmaciens petitement zélés ? Nul ne le saura !   

       A résumer son intervention, apparemment le PPS est toujours fidèle aux alliances stratégiques dans un Maroc qui avance. Mais l’objectivité était de définir la base d’une telle déclaration, sachant qu’une grande partie des militants, adhérents et aussi la société civile doutent ensemble de la situation politique actuelle du PPS au sein de l’équipe Benkirane II. Parce que se référant aux constats des institutions qui répondent aux besoins de l’Etat moderne au-delà de toute moralisation, par rapport à la variabilité des finalités l’ayant fait passer de l’opposition constructive à la participation active pendant quatorze ans. Sauf qu’avec le PJD, cette approche que Louardi qualifie candidement de dynamique contributive distinguée au sens d’un compromis historique ayant assuré la stabilité du pays, le capital du PPS risquerait de s’en trouver dans l’abime. Car si on se réfère au contexte national, n’est-ce pas qu’il donna l’impression de réunir ses mots répétitifs dans un cadre à coulisses pjdistes sans grandes précautions pour argumenter ? Alors qu’au contexte international, les attendus du jugement pour son parti seraient sans doute éloquents, par suite à l’ignorance de continuer à statuer dans l’équipe Benkirane II. Même si, tous les ppséistes savent que la politique est à la base, un vif désir de lutter contre la précarité, l’injustice et l’inégalité pour dessécher le bourbier de la marginalisation génératrice d’apprentis terroristes par les temps qui courent.

       Désormais est-ce que le PPS ne se trouve-t-il dans le recours infondé, en voulant éviter de tomber dans les dérives dogmatiques même en attirant l’attention des pjdistes ? A cet égard, ne faut-il pour les ministres ppséites sortir de ce jeu de miroir doctal ne tenant compte de celui historial, mais seulement de pseudo-idéologisation désignant l’exécution en démocratie par ce qu’appelle Benkirane « on va faire ». Cette sorte d’encyclopédie encroûtant dans les habitudes de paresse politique supprimant la spontanéité dans l’engagement. Et, dont les démunis risquent de s’en trouver dépouillés injustement de l’œuvre de la nouvelle vie constitutionnelle démocratique marocaine. A dire vrai ne s’agit-il de véritables motivations pour le PPS de ramasser ses billes et rejoindre le bercail de l’opposition comme autrefois ?

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