PEUT-ON CROIRE QUE LES MAROCAINS VOTERONT POUR LES
PARTIS DIFFUSEURS D'HISTORIETTES AUX MULTIPLES SOUS-ENTENDUS ?
Désormais est-ce que le PPS ne se trouve-t-il dans le recours infondé, en voulant éviter de tomber dans les dérives dogmatiques même en attirant l’attention des pjdistes ? A cet égard, ne faut-il pour les ministres ppséites sortir de ce jeu de miroir doctal ne tenant compte de celui historial, mais seulement de pseudo-idéologisation désignant l’exécution en démocratie par ce qu’appelle Benkirane « on va faire ». Cette sorte d’encyclopédie encroûtant dans les habitudes de paresse politique supprimant la spontanéité dans l’engagement. Et, dont les démunis risquent de s’en trouver dépouillés injustement de l’œuvre de la nouvelle vie constitutionnelle démocratique marocaine. A dire vrai ne s’agit-il de véritables motivations pour le PPS de ramasser ses billes et rejoindre le bercail de l’opposition comme autrefois ?
Longtemps avant
le oui référendaire du 01 Juillet 2011, quelques analystes politiques avertis
avaient tiré la sonnette d’alarme à propos du risque d’invention de langage par
des opportunistes machiavéliques. Qu'en effet, n'usant en sorte que de symbole d’outrance d’incivisme voire incompétence, notamment par la parole vindicative sans mise au point ni vérification, et de fait occultant l’envers de la médaille risquant de les mettre au pilori. N’est-ce
pas que ces mêmes scrutateurs du champ politique avaient relaté dans leurs écrits et éditoriaux à consonance purement
politique, les prédispositions de certains dirigeants en vue dans le panel
politique à continuer à utiliser ce même genre de procédé ? Et qu'en plus d’autres se montrant à l’opposé de toute charte d'adhésion partisane alors que sournoisement affiliés par leurs idées, et de surcroît toujours appointés par des commanditaires en interne ou en externe, sont devenus des artisans de la plume acerbe s'appropriant la délation et la dénonciation pour affaire les concernant seulement.
A cet égard
d’ailleurs, que pense Louardi de cet axe éditorial plus particulièrement de
leurs sorties médiatiques relayant la médisance la contrevérité et les
historiettes aux multiples sous-entendus ? Ne s’est-il posé la question que
lui aussi botte de temps en temps dans cet art politicien le mettant au service
de leurs réflexions creuses sans valeur ajoutée, si ce n'est défendre leurs intérêts pécuniaires. Dès lors qu’ils cherchent
à faire des bénéfices conséquents parfois en nature sans témoins sur le dos des petits
démunis. Même ne sachant pas qu’ils étonnent désormais moins que la profusion
de langage au dessin de machine de guerre des politiques politiciens entichés, dont l'objectif principal est de bâtir des digues-guides contre toutes
les oppositions. Parce qu’évidemment, il n’est pas question pour eux que les
petites gens puissent avoir accès à ce soi-disant savoir pouvant aussi les mettre eux-mêmes dans l’embarras sachant que des appels à la mise en place de guide déontologique s'impose impérativement. Dont beaucoup de marocains croyaient que Louardi en tant que ministre de la santé vu son parcours professionnel respectable, il pourrait user de sa propre imagination et faire sortir le PPS son parti, de l’irrationnel des diversités des intérêts des copains et consanguins, surtout à propos des accords en sous-entendus avec le PJD.
Néanmoins,
malgré cette prémonition-constatation, Louardi ne sait-il que l’ardeur d’autres
vrais politiques de ses camarades des rangs du PPS comme Saadi, Grine et même ceux
de la nouvelle vague penchés sur de valeureux parchemins, n’a pas faibli pour
mettre ces usuriers vindicatifs devant leur responsabilité ? Au point
qu’au contraire même, ils seraient devenus richement enluminés s’agissant de la
diffusion écrite de leurs idées non erratiques. Et/où, il n’est pas question
qu’ils en soient juste une curiosité corrective de ses errements à lui et aussi des pasticheurs
comme l’Ouafa le ministre égaré pendant la campagne istiqlalienne, et surtout Benabdellah son chef au parti et ministre titulaire de demi-maroquin par conséquent doublement fracassé dans sa tête et dans son amour propre. A même
de les montrer n’ayant rien vu venir comme lui, ni deviner que bien des
révolutions comportementales mauvaises aucunement supportables à la limite du tolérable en démocratie, allaient
commencer par eux. Ne savaient-ils eux qui se disent préparateurs de bonne gouvernance la séparant de l'ivraie, que les temps ont changé pour risquer d’en
véhiculer leurs vérités discutables en l’absence de résultats notables de la
marche gouvernementale ?
N’auraient-ils pu prévoir à quelle infortune était destinée l'invention du
langage populiste politicien auquel ils avaient eux aussi travaillé avec tant
d’espièglerie ?
C’est maintenant
certain, après l’émission 90 minutes pour convaincre sur Midi1TV du 30 Janvier
2014, l’œuvre grandiose qu’attendent les marocains des actions de Houcine
Louardi n’est en fait qu’une approche d’utilité partisane politicienne
seulement. Du fait du non conditionnement à bon escient du mécanisme de
coordination du droit à la santé selon la constitution du 01 Juillet 2011. Par
exemple en terme contextuel réel du système de couverture sanitaire AMO, RAMED
et autres moyens sans duplicité ni multiplication de souffrance pour l’accès
aux soins sur le terrain. Surtout en disparités d’équipements et autres actions
de proximité devenues vecteurs de communication médicale des associations
caritatives envers les marocains démunis dans le rural et l’urbain. Et ce, même
si, il s’en défend farouchement par un langage redondant semi-socialisant
fortement conditionné par l’expression « Allah Ghaleb », vu le manque
de moyens et/où insuffisance budgétaire financière pour engager plus de
ressources humaines et tout faire en parfaite harmonie des besoins des régions.
Sauf qu’il devait éviter de s’illustrer dans ce système oral et visuel aux
multiples facettes lors d’émissions de radio et télévision, sachant le risque
qu’il encoure pouvant le faire sombrer sous les critiques par suite du nouveau
vent d’idées politiques secouant les dogmes de l’ordre établi. D’abord contre
l’islamité contentée de paroles obsessionnelles traitant d’autres partis comme
porteurs de tares congénitales, puis vis-à-vis de l’attribution-notation d’autrui
sur l’échelle triste des valeurs de normalité labellisée de moralité sans garde-fous.
Cependant,
d’autant plus, ce langage évoluant en l’absence de concertation inter et
intra-professionnelle, il ne tient pas compte de l’effectivité d’assainissement
administratif ministériel multisectoriel pouvant s’avérer salutaire pour le pays. Et c’est
là ou le bas blesse car découlant de ses manipulations politiciennes sans garanties pour les professionnels, tout simplement pour
donner l’avantage à des fantômes trésoriers et opportunistes sans scrupules ni légitimité
déontologique. Hélas ! C’est toute son attention pour eux qui se produit,
parce que n’étant pas avisé par des rumeurs de sa servilité aveugle à leur
vis-à-vis. De fait, en se ruant sur l’invention Benkiranienne à propos de
l’héritage koutléen, il s’en est trouvé sommé de dire des extravagances lui
l’homme de réanimation et soins intensifs habitué au cas et situations
critiques d’urgence pour ne pas tomber dans le panneau. En l’occurrence ne
faisant que le sautillement sur place, confondant propositions populistes sans alternatives avec sa propre vision-militantisme bizarrement paraissant à tout un chacun opportuniste
dans son expérience gouvernementale. Dont, quand même, il pouvait en deviner les relents obscurs ne
s’appuyant aucunement sur la cohérence et l’identité politique du PPS de Feu Ali
Yaata.
Nul doute que
beaucoup de ses amis dans l’opposition n’ait considéré cette dichotomie de
positionnement comme détail ou se trouve le diable. Car ce fut démontré sur
bien des volets qu’en effet, aussitôt le hasard venait le mettre sur la voie de
la ministérialité, il a commencé à échafauder des projets vraiment enthousiastes dans leur teneur et charge communicative mais sans concertation ni la moindre définition des critères de base de ses évaluations. Parce qu'espérant en tirer politiquement profit, voulant graver son nom sans montrer le coté populiste de cette affaire. Et dont
la MAP bizarrement l’a primé pour ça, alors que la fracture sociale ne cesse de s’élargir, se
voyant acculer à quitter incessamment sous peu le navire de par le conservatisme pressant des pjdistes sur tous les coalisés en dehors des rnistes sachant ce qu'ils font. Même si, c’est vrai que pendant l’émission 90 minutes pour
convaincre, il s'y était essayé de s’auto-exorciser de la peur la haine et la
jalousie par des gestes et formules d’exhaussement du mur de ses secrets. Était-ce
là simple modestie, excès de prudence espérant éviter les répliques de l’inspiration
subite du journaliste et son autre invité-contradicteur, où bien un concours de
circonstances dû à sa péripétie malencontreuse vécue au parlement face à des
pharmaciens petitement zélés ? Nul ne le saura !
A résumer son intervention, apparemment le
PPS est toujours fidèle aux alliances stratégiques dans un Maroc qui avance.
Mais l’objectivité était de définir la base d’une telle déclaration, sachant
qu’une grande partie des militants, adhérents et aussi la société civile doutent
ensemble de la situation politique actuelle du PPS au sein de l’équipe
Benkirane II. Parce que se référant aux constats des institutions qui répondent
aux besoins de l’Etat moderne au-delà de toute moralisation, par rapport à la
variabilité des finalités l’ayant fait passer de l’opposition constructive à la
participation active pendant quatorze ans. Sauf qu’avec le PJD, cette approche
que Louardi qualifie candidement de dynamique contributive distinguée au sens
d’un compromis historique ayant assuré la stabilité du pays, le capital du PPS
risquerait de s’en trouver dans l’abime. Car si on se réfère au contexte
national, n’est-ce pas qu’il donna l’impression de réunir ses mots répétitifs
dans un cadre à coulisses pjdistes sans grandes précautions pour argumenter ?
Alors qu’au contexte international, les attendus du jugement pour son
parti seraient sans doute éloquents, par suite à l’ignorance de continuer
à statuer dans l’équipe Benkirane II. Même si, tous les ppséistes savent que la
politique est à la base, un vif désir de lutter contre la précarité, l’injustice
et l’inégalité pour dessécher le bourbier de la marginalisation génératrice d’apprentis
terroristes par les temps qui courent.
Désormais est-ce que le PPS ne se trouve-t-il dans le recours infondé, en voulant éviter de tomber dans les dérives dogmatiques même en attirant l’attention des pjdistes ? A cet égard, ne faut-il pour les ministres ppséites sortir de ce jeu de miroir doctal ne tenant compte de celui historial, mais seulement de pseudo-idéologisation désignant l’exécution en démocratie par ce qu’appelle Benkirane « on va faire ». Cette sorte d’encyclopédie encroûtant dans les habitudes de paresse politique supprimant la spontanéité dans l’engagement. Et, dont les démunis risquent de s’en trouver dépouillés injustement de l’œuvre de la nouvelle vie constitutionnelle démocratique marocaine. A dire vrai ne s’agit-il de véritables motivations pour le PPS de ramasser ses billes et rejoindre le bercail de l’opposition comme autrefois ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire