EL OUAFA MOHAMED N’EST-T-IL LE MINISTRE MÉLANCOLIQUE SQUATTEUR D’UN MAROQUIN, CAR FUT ATTEINT D’AMNÉSIE APRES S’ETRE ÉGARÉ EN
RASE CAMPAGNE ISTIQLALIENNE ?
N’est-ce pas cela
qui a discrédité les pjdistes auprès de la société bien-pensante, les voyant
entretenir leur trame de correspondances secrètes entre le dit et le non-dit. D’autant
plus, pour leurs coalisés continuer à comprendre cet égaré c’est en faire de
lui, le véritable partenaire pour l’ajustement des nombreuses altérations du
fonctionnement de la majorité. Au point que, leur vie politique quotidienne
parait rythmée par ses états d’âme, qu’en fait semblent les marqueurs
principaux du quotient activité/latence gouvernemental en dehors des affaires
étrangères cultuelles agricoles et sécuritaires. Effectivement, n’est-ce dans
ce sens qu’il est entrain de mettre en place plusieurs mesures mêmes les plus
asociales en rapport avec la réforme de la caisse de compensation, la refonte
des caisses de retraites, l’optimalisation et visibilité fiscale, omettant la
simplification des rouages administratifs et la régulation proactive de la
lutte contre la corruption ? D’ailleurs tout un chacun ressent cela comme
la suite logique de l’action gouvernementale faisant du sur place avec une
inconsciente prodigalité aboutissant à un climat social délétère.
Sauf que, parallèlement,
El Ouafa ne savait-il en rembarquant dans le gouvernement Benkirane II sans
plan d’action bien élaboré, ni visibilité sur les priorités et encore moins les
outils de régulation seulement du patati-patata d’indexation-désindexation, qu’il
pourrait en subir d’autres secousses pouvant naitre de la conscience nationale
exacerbée par ses dénis des réalités que lui reproche déjà le MP en sourdine pour
le moment. Dès lors qu’il s’est trouvé subitement charger du courrier du
gouvernement que l’on appelle désormais gouvernance nécessitant écoute
attentive des propositions d’autrui. Notamment au vue de l’action anti-sociale
gouvernementale ayant auparavant été trop boulifé concernant l’approche
participative de gouvernance non concertée.
De ce fait, ne marche-t-il sur le sable mouvant en faisant l’antisocial autiste
tout en souriant ? Car œuvrant d’imagination subjective de courte vue
faisant celui qui a soif dans le désert, ou rien n’est véritable devant lui que
des mirages se multipliant en lacs et cités merveilleuses. Mais le hic c’est
qu’en même temps voulant apparaître avec le visage de tous les ministres à la
fois, le criant à qui veut l’entendre même sans en avoir les compétences
requises ni stratégie globalisante pour les en convaincre eux aussi.
Aussi, au vu de
la résistance qui se construit à tout cet escamotage par l’essai d’effectivité
rapide sans garantie d’efficacité, il n’aura de choix que s’attendre de
s’effacer cependant à jamais, de la mémoire des marocains pour ce rôle issu de
marchandage politicien invraisemblable contre le PI sous Chabat. Néanmoins, ne sait-il
que ce ne sont pas ses insinuations non nuancées sur les rapports des
institutions honorables lors d’émissions télévisées, qui intéressent les
marocains tous les corps socioprofessionnels confondus syndicats consommateurs et
même l’opposition constitutionnelle ? Mais seulement les répliques émouvantes
bien construites fondées, par des personnes imperturbables bien au diapason de
l’économie réelle, face à la démarche gouvernementale saccagée par les pensées
populistes qui n’émeuvent et ne surprennent plus.
Cependant,
pourquoi dans l’équipe Benkirane II, certains ministres sont devenus à ce point
presque des Kamikazes politiques, faisant fi de l’effectivité réelle de la
constitution sur le terrain notamment au détriment des démunis ? Découvrant
ce créneau, en n’usant en plus que d’idiomes, d’abord pour remodeler leur
prétention de ne plus croire à la quête douloureuse de la réalité, et ensuite
pour se dissoudre dans la bulle des créations de diversions surprenantes tout
en négligeant de répondre aux critiques fines des spécialistes savamment
illustrées. A cet égard que pense El Ouafa de cet apport de solutions à cette
problématique-affection vu que pour lui aussi comme eux, voter ne signifie plus
effectuer un saut performant que possible de l’état d’apprentissage de la
démocratie dans le Maroc nouveau ? Pourra-t-il un jour s’il en a encore le
temps dire aux marocains, pourquoi ce gouvernement traîne-t-il les pieds dans
la mise en place du rôle des oppositions institutionnelles ? N’est-ce simplement
peut-être, pour ne pas favoriser de
rapprochement entre elles où avec d’autres, notamment en rythmique des contestations
contre la politique gouvernementale ?
En effet ne
sait-il encore que depuis l’arrivée des pjdistes aux affaires, leur thématique
politique principale ne représente plus les choix judicieux d’une politique
publique sereine et efficace pour remettre le pays en bonne marche ? Parce
que, quel que soit la gravité du sujet à traiter politiquement, ils se
retrouvent toujours face à leur propre handicap cognitif des connaissances ne
sachant pas bien faire. Ce qui retenti automatiquement sur la qualité des lois
et procédures et aussi sur la marche économique sociale culturelle éducationnelle
et psychologique du pays. Mais là ou le bas blesse, c’est que parmi eux
certains égarés au gouvernement ne veulent se libérer, restant sans vraie
fonction étatique seulement rodant autour du chef en donnant l’impression de
contrôler la Halqa. Dont d’autres tout aussi perdus s’y amusent politiquement,
au point même découvrant la diversité et la richesse de la vie publique de
ministérialité au quotidien, ils ne font que laisser les marocains à leur faim
sans les délivrer des mille contingences des somnolences. Surtout à zéro
lendemain sans normalisation politique des facettes cachées du mal fait par les
discours pjdistes mirobolants à connotations populistes, par rapport à leurs
rêves et méditations légitimes sur l’avenir bien avant un certain 25 Novembre
2011.
D’ailleurs que
ces égarés séduisent ou qu’ils irritent nul ne peut rester insensible à leur
extinction de mémoire en matière d’analyse à l’exemple de prendre la
réinsertion de la citoyenneté faisant partie des arts et métiers. Encore une
extravagance montrant l’essoufflement dans leurs pensées, car il s’agit d’un
strabisme d’évaluation politique, alors que, se reflètent chez d’autres
compétences plus aguerries maintes approches par l’aisance du verbe concret et
la finesse de décrire les situations sans blabla de mal-être. En somme, ne
faut-il pour Benkirane d’arrêter ce processus désolant par une prise en charge effective
de la gouvernance concertée, qui saura coordonner les filières et institutions
d’intervention dans un cadre pluridisciplinaire réadapté aux réalités du pays
sans complaisance ni tremblement ? Et ne pas continuer dans la voie ouafaéenne
qui fait tant de mal au pays au nom de Char’iya de l’emphase, malheureusement
sans résultat apparent. Surtout en ce moment de trade-unions qu’orchestrent
alors des forces sociales vives en l’occurrence les syndicats, heureusement
dans la non violence ne laissant de place qu’à la défense légitime des valeurs
de la dignité des marocains. Qu’au demeurant n’en fini toujours pas sous des
cieux pas lointains, allant en direction de désintégration de la signification
du mot Char’iya, où, s’entretiennent des rapports politiques violents
entre les protagonistes.
En résumé,
pourquoi n’y a-t-il qu’esprit fantaisiste et criée d’humour avec préciosité
dans le langage d’El Ouafa ? N’est-ce pas qu’en s’essayant toujours de
s’exprimer sous une forme d’existence rusée soi-disant librement complètement,
il ne fait que démontrer la pénitence qu’il s’est imposée ? Surtout en
employant pour sa défense la seule arme qui l’affectionne et qu’il ne maitrise
pas, en l’occurrence le faisceau informatif à reculons. Voilà ce qui nous
ramène au plus fort de son extase suite au miracle d’être ministre de l’Education
Nationale, et qu’en effet il n’avait montré la moindre tristesse d’avoir été
doublé à la veille de sa prise de fonction, à propos des parachutages des
délégués provinciaux révérencieux opportunistes et incompétents qui par
ailleurs n’excellent que dans les offrandes et réceptions-séjours en
thermalisme Été comme Hiver en mer et sur les dunes du désert. Et ce, en faveur de leurs protecteurs d'en haut et leurs familles, car occupent des postes décisionnels dans les rouages de l'administration centrale du ministère. Comme ça, n’a-t-il
montré son vrai ancrage dans l’attitude de ne rien faire ni dire de cette faute
originelle de l’ex-ministre Madame Laabida, même à demi-mot lors des passations
de consignes. N'est-ce pas qu'il est certain que cette nonchalance de sa part a provoqué
raillerie, dont il fut l’objet de la part du corps enseignant, comme des observateurs politiques. Tellement que Belmokhtar
le ministre actuel revenant au poste, ne peut ne pas en apprécier le mécontentement
royal à propos de la rentabilité en qualité d’enseignement public et privé
voire de gestion de bon nombre d’académies et délégations se prêtant rien qu'à la confusion des genres. Dont tout le monde en parle ici et là, concernant certains étant en même temps les administrés et chefs administrateurs du secteur de l'Education Nationale dans leur territoire, sorte de non sens de la responsabilité. Ce qu’apparemment hante El Oaufa ne voulant se voir inexorablement imposer un silence dans ses réflexions
pour éviter d’autres dédifférenciations de l’âme de sa conscience, vu qu'il avait découvert sur le tas un peu tardivement, les quelques trames de filouteries administratives tissées à son insu. Finalement
ne peut-on dire qu’El Ouafa est devenu malgré lui la préoccupation essentielle
des scrutateurs politiques, cherchant à quel degré ses réponses sarcastiques à la limite e la correction, ses sorties médiatiques profuses non calculées et ses décisions administratives n’excluent en aucune façon le copiage de la spontanéité du chef du gouvernement ?
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