lundi 10 février 2014

EL OUAFA MOHAMED, LE MINISTRE NÉO-PJDISTE A LA CONVICTION ANTI-SOCIALE AVEC SOURIRE DE PAR SA FÉLICITÉ MARRAKCHIE !

EL OUAFA MOHAMED N’EST-T-IL LE MINISTRE MÉLANCOLIQUE SQUATTEUR D’UN MAROQUIN, CAR FUT ATTEINT D’AMNÉSIE  APRES S’ETRE ÉGARÉ EN RASE CAMPAGNE ISTIQLALIENNE ?

    
   Le gouvernement Benkirane I au moment ou s’achevait sa combinaison, a vu s’ébranler sa structuralité entortillée de circonlocutions irraisonnées parfois à l’extrême. Mais voilà que même en mouture II, la loi des séries continue de plus belle le mettant sous les projecteurs et les feux de la consternation  voire l’étonnement, si l’on se fie à ce qui s’écrit et se dit à propos de nombreux  sujets tout aussi décapants les uns les autres. Dont les  coalisés dès la première session en l’occurrence le PPS et MP, en paieraient les frais tôt ou tard. Au sens que leurs doléances programmatiques ne sont plus conformes avec les nouvelles recommandations étalées ici et là par Mohamed El Ouafa. Qu’au demeurant ne voulant se cacher pour se faire oublier, mais seulement se chercher une nouvelle virginité politique parce qu’atteint d’amnésie ne se rappelant rien de ses trente sept ans au PI.

       N’est-ce pas cela qui a discrédité les pjdistes auprès de la société bien-pensante, les voyant entretenir leur trame de correspondances secrètes entre le dit et le non-dit. D’autant plus, pour leurs coalisés continuer à comprendre cet égaré c’est en faire de lui, le véritable partenaire pour l’ajustement des nombreuses altérations du fonctionnement de la majorité. Au point que, leur vie politique quotidienne parait rythmée par ses états d’âme, qu’en fait semblent les marqueurs principaux du quotient activité/latence gouvernemental en dehors des affaires étrangères cultuelles agricoles et sécuritaires. Effectivement, n’est-ce dans ce sens qu’il est entrain de mettre en place plusieurs mesures mêmes les plus asociales en rapport avec la réforme de la caisse de compensation, la refonte des caisses de retraites, l’optimalisation et visibilité fiscale, omettant la simplification des rouages administratifs et la régulation proactive de la lutte contre la corruption ? D’ailleurs tout un chacun ressent cela comme la suite logique de l’action gouvernementale faisant du sur place avec une inconsciente prodigalité aboutissant à un climat social délétère.

       Sauf que, parallèlement, El Ouafa ne savait-il en rembarquant dans le gouvernement Benkirane II sans plan d’action bien élaboré, ni visibilité sur les priorités et encore moins les outils de régulation seulement du patati-patata d’indexation-désindexation, qu’il pourrait en subir d’autres secousses pouvant naitre de la conscience nationale exacerbée par ses dénis des réalités que lui reproche déjà le MP en sourdine pour le moment. Dès lors qu’il s’est trouvé subitement charger du courrier du gouvernement que l’on appelle désormais gouvernance nécessitant écoute attentive des propositions d’autrui. Notamment au vue de l’action anti-sociale gouvernementale ayant auparavant été trop boulifé concernant l’approche participative de gouvernance  non concertée. De ce fait, ne marche-t-il sur le sable mouvant en faisant l’antisocial autiste tout en souriant ? Car œuvrant d’imagination subjective de courte vue faisant celui qui a soif dans le désert, ou rien n’est véritable devant lui que des mirages se multipliant en lacs et cités merveilleuses. Mais le hic c’est qu’en même temps voulant apparaître avec le visage de tous les ministres à la fois, le criant à qui veut l’entendre même sans en avoir les compétences requises ni stratégie globalisante pour les en convaincre eux aussi.

       Aussi, au vu de la résistance qui se construit à tout cet escamotage par l’essai d’effectivité rapide sans garantie d’efficacité, il n’aura de choix que s’attendre de s’effacer cependant à jamais, de la mémoire des marocains pour ce rôle issu de marchandage politicien invraisemblable contre le PI sous Chabat. Néanmoins, ne sait-il que ce ne sont pas ses insinuations non nuancées sur les rapports des institutions honorables lors d’émissions télévisées, qui intéressent les marocains tous les corps socioprofessionnels confondus syndicats consommateurs et même l’opposition constitutionnelle ? Mais seulement les répliques émouvantes bien construites fondées, par des personnes imperturbables bien au diapason de l’économie réelle, face à la démarche gouvernementale saccagée par les pensées populistes qui n’émeuvent et ne surprennent plus.

       Cependant, pourquoi dans l’équipe Benkirane II, certains ministres sont devenus à ce point presque des Kamikazes politiques, faisant fi de l’effectivité réelle de la constitution sur le terrain notamment au détriment des démunis ? Découvrant ce créneau, en  n’usant en plus que d’idiomes, d’abord pour remodeler leur prétention de ne plus croire à la quête douloureuse de la réalité, et ensuite pour se dissoudre dans la bulle des créations de diversions surprenantes tout en négligeant de répondre aux critiques fines des spécialistes savamment illustrées. A cet égard que pense El Ouafa de cet apport de solutions à cette problématique-affection vu que pour lui aussi comme eux, voter ne signifie plus effectuer un saut performant que possible de l’état d’apprentissage de la démocratie dans le Maroc nouveau ? Pourra-t-il un jour s’il en a encore le temps dire aux marocains, pourquoi ce gouvernement traîne-t-il les pieds dans la mise en place du rôle des oppositions institutionnelles ? N’est-ce simplement peut-être,  pour ne pas favoriser de rapprochement entre elles où avec d’autres, notamment en rythmique des contestations contre la politique gouvernementale ?

       En effet ne sait-il encore que depuis l’arrivée des pjdistes aux affaires, leur thématique politique principale ne représente plus les choix judicieux d’une politique publique sereine et efficace pour remettre le pays en bonne marche ? Parce que, quel que soit la gravité du sujet à traiter politiquement, ils se retrouvent toujours face à leur propre handicap cognitif des connaissances ne sachant pas bien faire. Ce qui retenti automatiquement sur la qualité des lois et procédures et aussi sur la marche économique sociale culturelle éducationnelle et psychologique du pays. Mais là ou le bas blesse, c’est que parmi eux certains égarés au gouvernement ne veulent se libérer, restant sans vraie fonction étatique seulement rodant autour du chef en donnant l’impression de contrôler la Halqa. Dont d’autres tout aussi perdus s’y amusent politiquement, au point même découvrant la diversité et la richesse de la vie publique de ministérialité au quotidien, ils ne font que laisser les marocains à leur faim sans les délivrer des mille contingences des somnolences. Surtout à zéro lendemain sans normalisation politique des facettes cachées du mal fait par les discours pjdistes mirobolants à connotations populistes, par rapport à leurs rêves et méditations légitimes sur l’avenir bien avant un certain 25 Novembre 2011.

       D’ailleurs que ces égarés séduisent ou qu’ils irritent nul ne peut rester insensible à leur extinction de mémoire en matière d’analyse à l’exemple de prendre la réinsertion de la citoyenneté faisant partie des arts et métiers. Encore une extravagance montrant l’essoufflement dans leurs pensées, car il s’agit d’un strabisme d’évaluation politique, alors que, se reflètent chez d’autres compétences plus aguerries maintes approches par l’aisance du verbe concret et la finesse de décrire les situations sans blabla de mal-être. En somme, ne faut-il pour Benkirane d’arrêter ce processus désolant par une prise en charge effective de la gouvernance concertée, qui saura coordonner les filières et institutions d’intervention dans un cadre pluridisciplinaire réadapté aux réalités du pays sans complaisance ni tremblement ? Et ne pas continuer dans la voie ouafaéenne qui fait tant de mal au pays au nom de Char’iya de l’emphase, malheureusement sans résultat apparent. Surtout en ce moment de trade-unions qu’orchestrent alors des forces sociales vives en l’occurrence les syndicats, heureusement dans la non violence ne laissant de place qu’à la défense légitime des valeurs de la dignité des marocains. Qu’au demeurant n’en fini toujours pas sous des cieux pas lointains, allant en direction de désintégration de la signification du mot Char’iya, où, s’entretiennent des rapports politiques violents entre les protagonistes.


       En résumé, pourquoi n’y a-t-il qu’esprit fantaisiste et criée d’humour avec préciosité dans le langage d’El Ouafa ? N’est-ce pas qu’en s’essayant toujours de s’exprimer sous une forme d’existence rusée soi-disant librement complètement, il ne fait que démontrer la pénitence qu’il s’est imposée ? Surtout en employant pour sa défense la seule arme qui l’affectionne et qu’il ne maitrise pas, en l’occurrence le faisceau informatif à reculons. Voilà ce qui nous ramène au plus fort de son extase suite au miracle d’être ministre de l’Education Nationale, et qu’en effet il n’avait montré la moindre tristesse d’avoir été doublé à la veille de sa prise de fonction, à propos des parachutages des délégués provinciaux révérencieux opportunistes et incompétents qui par ailleurs n’excellent que dans les offrandes et réceptions-séjours en thermalisme Été comme Hiver en mer et sur les dunes du désert. Et ce, en faveur de leurs protecteurs d'en haut et leurs familles, car occupent des postes décisionnels dans les rouages de l'administration centrale du ministère. Comme ça, n’a-t-il montré son vrai ancrage dans l’attitude de ne rien faire ni dire de cette faute originelle de l’ex-ministre Madame Laabida, même à demi-mot lors des passations de consignes. N'est-ce pas qu'il est certain que cette nonchalance de sa part a provoqué raillerie, dont il fut l’objet de la part du corps enseignant, comme des observateurs politiques. Tellement que Belmokhtar le ministre actuel revenant au poste, ne peut ne pas en apprécier le mécontentement royal à propos de la rentabilité en qualité d’enseignement public et privé voire de gestion de bon nombre d’académies et délégations se prêtant rien qu'à la confusion des genres. Dont tout le monde en parle ici et là, concernant certains étant en même temps les administrés et chefs administrateurs du secteur de l'Education Nationale dans leur territoire, sorte de non sens de la responsabilité. Ce qu’apparemment hante El Oaufa ne voulant se voir inexorablement imposer un silence dans ses réflexions pour éviter d’autres dédifférenciations de l’âme de sa conscience, vu qu'il avait découvert sur le tas un peu tardivement, les quelques trames de filouteries administratives tissées à son insu. Finalement ne peut-on dire qu’El Ouafa est devenu malgré lui la préoccupation essentielle des scrutateurs politiques, cherchant à quel degré ses réponses sarcastiques à la limite e la correction, ses sorties médiatiques profuses non calculées et ses décisions administratives n’excluent en aucune façon le copiage de la spontanéité du chef du gouvernement ?

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