mercredi 26 février 2014

LE COMBAT DU ROI ET DU PEUPLE MAROCAIN SUR TOUS LES FRONTS, FACE AUX OFFENSES D'UN DIPLOMATE DE HAUT RANG ET AU TRAITEMENT BIZARROÏDE CONSIGNANT L'AVERSION D'UN JUGE POUR LA DST !

C’EN EST ASSEZ ! APRES LES MYSTÈRES DE L’OUEST D’AVRIL 2013, C’EST MAINTENANT LES BALIVERNES DÉSOBLIGEANTES ET ACTES INJUSTES DE FÉVRIER 2014 VIS-A-VIS DU MAROC. 

       L’imaginaire d’un diplomate sensé être équilibré et un juge puisse-t-il être zélé, doit normalement relever d’affranchissement des contraintes dans une lutte sans haine contre toute manipulation. Parce que, c’est là où apparaît la force de caractère de dire la vérité, par rapport à ce qu’il aurait apparemment dit l’un et entrepris sans hésitation l’autre, au vu de l’émotion qu’ils ont produit chez tout un peuple. Certes, ce n’est là qu’un aspect de tirage des ficelles fait par les services de pays tiers, dans une chronologie qui n’est pas due au hasard s’adaptant à l’ambiance politique algérienne incertaine, pour contrecarrer le constat flagrant de la puissance marocaine montante surtout en Afrique. D’ailleurs pour en comprendre la portée spirituelle cultuelle socio économique et politique marocaine, il n’y a qu’à bien analyser les échos  à l’international à l’exemple de, les nouvelles lettres persanes dans leur consonance de rapprochement stratégique avec le Maroc malgré le risque de chiisme au Maghreb et dans la bande sahelo-africaine, l’encouragement sans ambages d’Obama-Hollande au Roi du Maroc dans cette offensive inédite mettant de l’ordre et l’entendement d'emblée  reconnus par Ban Ki Moon et toute la communauté internationale, l’intéressement des pays BRIC au Maroc pour sa stabilité et bien d’autres indicateurs encourageants.

       En ce sens en référence à la fronde mini secousse dont tout le monde en parle, il est loin le temps où la diplomatie était une morale aristocratique qui faisait référence au grand intérêt d’Etat seulement. Parce qu’en décryptant toutes les pannes relationnelles franco-marocaines, dont certaines sont des drames historiques, on en comprend la fabrique désinvolte du temps présent usant de sournoiseries stratagèmes et combinaisons politiciennes. Malheureusement sortant coté français, d’un tangage gouvernemental facilitant des actes intolérables par ailleurs, en plus en concomitance de petites phrases lancées ici et là choquant l’honneur la conscience et la moralité des marocains. N’est-ce pas là aussi, tous les observateurs avertis marocains connaissant l’histoire contemporaine avec la France, lui reprochent d’encore mêler au thème principal qu’est la bonne entente, le flou de ce genre de relance de brouillage intriguant, qu’en effet ne fait que casser l’action et le rythme de la confiance entre le Maroc et la France ? D’autant plus faisant de ne supporter la posture du renoncement à l’action commune en terre africaine, alors qu’il y a des agissements incompréhensifs de certains dans les rouages de l'administration, jetant leurs derniers essais de consolidation de l’isolement du Maroc en Afrique mais en vain heureusement.           

       Désormais, quelque chose dit aux marocains qu’il y a déjà du changement dans l’air en matière des relations franco-marocaines ! Il faut pourtant savoir qu’il se dégage de la tournée royale africaine 2014, la grande puissance de projection dans une gouvernance d’union nationale pour faire face à tout jeu d’illusion honteuse fut-elle diplomatiquement distillée à mille lieux. Qu’en plus, à cet égard, quand deux pays amis vivent des revers préfabriqués par des manutentionnaires en cale judiciaire taubiraéenne à l’insu du ministre de l’intérieur Valls, que reste-t-il de la coopération sécuritaire et judiciaire jusque là exemplaire ? Pire encore, cette opération de caniveau s’est faite alors  même le ministre Valls recevait son homologue marocain, et dont ses flics subalternes faisaient le nombrilisme de mèche devant la résidence de l’ambassadeur marocain lui aussi ex ministre de l’intérieur ayant combattu le terrorisme et le crime transcontinental organisé. Dont, hélas certains dans les interstices du pouvoir judiciaire français ont commis l’erreur impardonnable, ayant pris cela comme une vénération du pouvoir marocain à leur vis-à-vis. Ce qui a mis le Quai d'Orsay dans la désolation et incompréhension, tout en se positionnant en même temps dans les tranchées de la séparation des pouvoirs.

       Outre cet élément de projection dramatique, il importe pour cet honorable juge d’instruction de savoir le symbolisme des personnages des Etats, et donc de la portée politique relationnelle pour ne pas sortir de l’éthique diplomatique en peignant cette affaire de l’univers passionnel du slogan tant décrié en France  « république des juges ». Ainsi à travers son droit inaliénable d’instruire une information judiciaire, c’est son modèle de procéder qui a fait tilt, alors que ses propres observations de soi-disant génie contributeur à la réalisation de la justice ont fait psitt. Parce que le Maroc, depuis toujours ne badine pas avec l’atteinte de ses fondamentaux, ne se privant de liberté de ton selon les circonstances pour dénoncer les dérives. En tout cas, çà ce voit chez ce juge et ses amis en cale, qu’ils sont à la renverse pré calculée dans leur vision et raisonnement. Parce qu’on ne peut pas dire qu’il ne savaient pas ce que représente DST en tant que valeur sûre de lutte contre le terrorisme en nombre d’heures de veillées d’analyses de décryptage, bien sûr et d’interrogatoires selon la loi comme ce que par ailleurs fait la France et aussi tous les pays.

       Rien aussi ne dit que ce juge avec le feuilleton des affaires judiciaires en France, se voyant le Baltazar français à la recherche de la une, ambitionnant une charge plus élevée dans la hiérarchie, sa non vigilance l’ait conduit à commettre cette erreur d’appréciation. Que le Sénat le lui reproche ouvertement demandant au gouvernement de stopper net ce genre d’amateurisme atteignant la mesquinerie. Finalement, l’idéal de la diplomatie même dure  et stricte c’est l’appel à l’effort du dépassement et non les fantaisies sous des formes d’influence à l’ancienne comme du temps révolu France-Afrique. C’est d’ailleurs là où commence le paradoxe de la France, qui lui vaut la place à reculons aujourd’hui dans la conscience des marocains. En cela chers amis français, n’en croyez pas que les marocains sont dupes s’abandonnant librement à leur gout d’oublier pour la cordialité et la paix. Ils veulent rester dans leur positionnement dans un Etat créatif original sous l’Égide du souverain assurant mobilité des idées et des hommes partout dans le monde. Et ne désirent aucunement user de mesures à même psychologiques douces de rétorsion ciblée, pour se présenter comme les continuateurs de ce jeu de souffrances à l’instar de ce que font d’autres pays. Qu’au demeurant Sa Majesté le Roi du Maroc  corrobore cet évitement de rehaussement du ton par sa hauteur de vue des relations avec la France, mais montrant clairement sa réprobation tout en procédant avec détermination à l’apaisement, parce qu’il y a certainement décelé une sincérité du président Hollande au cours de leur échange téléphonique.


       En résumé, voilà pourquoi le discours royal de l’appel au réveil de l’Afrique dans la concorde au Forum Cote d’Ivoire-Maroc Février 2014 d’Abidjan, fort et concis par des idées structurées et cadencées, tend à pousser les africains à épurer leur façon d’appréhender l’avenir par un nouveau style de confiance en eux. Surtout en leur capacité de relever les défis qui se posent, de façon de plus en plus réaliste en prenant exemple de l’expertise marocaine de l’INDH le microcrédit et les coopérations de grandes envergures infra structurelles agroalimentaires touristiques logistiques industrielles et autres par partenariats gagnant-gagnant.

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