LE ROI DU MAROC N’EST-IL EN PASSE DE DÉVELOPPER SA STRATÉGIE GAGNANTE POUR L’AVENIR DE L’ENTITÉ MAROC-AFRIQUE ?
Désormais
l’intonation des discours royaux, le style dans les initiatives en parfaite
symbiose de tous les ingrédients d’offre de bons partenariats et la continuité
de la démarche du déploiement des efforts sécuritaires sur toute la bande sahelo-africaine sous mandat onusien, montrent que le Roi du Maroc est à
l’écoute active de l’Afrique. Parce que s’étant fixé des objectifs clairs
d’anticipation et recadrage d’un nouveau programme-management
multidisciplinaire s’inscrivant en faveur de la femme la jeunesse et aussi l’élite africaine selon les moyens dont
il dispose. D’ailleurs le Maroc pour le citoyen africain, ce n’est pas
seulement le pays à l’africité prononcée de par les liens civilisationels
culturels et cultuels. C’est aussi et surtout la monarchie constitutionnelle
sociale victorieuse de l’épouvante du printemps arabo-amazigh dans le calme la
sérénité et la responsabilité. Dont le monde entier a découvert qu’il n’y a
dans cette démarche aucune censure présageant une fuite en avant, mais
seulement l’apparition d’un style réformateur politiquement assumé. Parce qu’en
plus relevant de force visionnaire sans faiblesse et aussi du cœur sans
déraison du souverain marocain.
A cet égard,
n’est-ce pas quand le fil d’actualités sert de référence et d’influence sur les
grands hommes d’Etats, il devient difficile pour eux d’en confondre le vrai de
l’ivraie ? En effet pour ceux des observateurs du champ politique
marocain, qui auraient oublié d’en retenir une leçon d’histoire, notons que la
marche du Roi en Afrique est d’une hauteur de vue profondément initiatrice de
l’intelligence des africains à délaisser les chemins des chimères loin des
vaines réticences et combats contre soi. A même de les sensibiliser de
rejoindre les nouveaux essais d’approfondissement des relations usant du gout
de la fraternité, sans en dépouiller le désir de reconstruction qui devine les
dangers et menaces pour s’en prémunir. C’est
en ce sens que le Maroc continue à le faire d’une manière claire et proximale depuis
l’avènement du règne de Sa Majesté le Roi Mohamed VI en 1999. Et ce, en formant les cadres de haut
niveau selon un référentiel made in morroco faisant l’objet de contrats-partenariats avec
quelques pays africains. Sachant d’avance que les bénéficiaires pourraient
intégrer à leur gré l’entreprenariat dans
le privé, en usant de clefs de bonne gouvernance dans un contexte évolutif s’articulant
autour de cinq modules social économique culturel politique et surtout cultuel.
Tout cela est
bien sûr afin d’en améliorer la rentabilité de l’engagement et la parole donnée
du souverain, en rapport de la demande consciente de ces chefs d’Etats de voir
le Maroc soutenir leur contribution à l’éveil africain et participer avec eux à
défendre les intérêts de leurs pays respectifs. D’autant plus, voulant dépasser
le gout de l’errance voire la quête de l’inattendu qui leur évoque le climat
mental dans lequel ils y ont vécu de mauvais souvenirs, et donc d’éviter la paranoïa
de certains Ex Chefs d’Etats hautains et de surcroît tyrans. Que par ailleurs
aujourd’hui, d’autres ne font qu’implorer Dieu pour que surgisse leur
réévaluation pouvant susciter une profonde attraction autour d’eux, surtout
celle du Maroc prévenant et réaliste. En fait, c’est l’appel à la dynamisation et
consolidation de leur rapprochement auprès du Roi du Maroc, qui au demeurant s’y
voit par responsabilité maîtrisée d’honorer son New Deal pour tous, dans le
cadre de sa stratégie globale initiée en Afrique. Et donc, par conséquent,
d’exhorter le gouvernement d’assurer à juste titre des formations continues à
la jeunesse africaine dès lors qu’il en reçoit les demandes, pour une meilleure
diffusion du concept de la gouvernance prenant en considération la sélectivité
et la spécificité des offres diversifiées de chacun des pays.
C’est vrai que
tout acte politique de haute teneur et de considération, contient une part
essentielle de recréation de l’histoire ne pouvant être retouchée ni remaniée.
N’est-ce pas, bien avant les excellents accueils réservés au Roi du Maroc Mohamed
VI en Afrique lors de ses nombreuses visites qui ont eu lieu dans un passé
récent au Sénégal Cote d’Ivoire Gabon et Mali, le Maroc n’a cessé de mettre la
dimension socio-économique cultuelle et politique au centre de son organisation
diplomatique offensive ? Par ailleurs définissant les objectifs avec
soins, afin d’orienter chacun des pays selon ses forces et spécificités sur le
style partenariat à adopter, même en abusant à bon escient des vertus de la
bonne communication pour récolter communément les meilleurs résultats. Et/ou la
passion transcendantale est tout simplement la recherche des concordances des
suggestions sans jamais imposer une quelconque conviction d’un coté comme de
l’autre. Sauf qu’encore pour le moment, tout n’est pas acquis à d’autres pays
africains au vue de leur retard de prendre conscience de la force des vraies
raisons de s’embarquer avec le Maroc dans le train de la gouvernance. Surtout de
par leur déni des réalités non loin du broyage du bonheur de leurs jeunesses
par les sous-entendus des attouchements politiciens irresponsables. Dont la
visite officielle royale à partir du 18 Février 2014 au Mali Guinée Conakry et
la tournée de travail en Cote d’Ivoire et Gabon, s’annonçant de confirmation des liens en
interne et en externe de façon verticale et/ou transversale, les boostera et
les poussera à changer d’avis.
Néanmoins, outre
l’intérêt fondé que la communauté internationale porte au souverain marocain, n’est-ce
pas l’art politique de sa marche en Afrique avec laquelle il fascine occupe le
devant de la scène arabo-africaine ? Car en effet, il ne se passe guère de
jour sans qu’un article ne paraisse dans les journaux et revues à
l’international louant les raisons profondes de son marathon diplomatique
offensif en Afrique. Et dont voilà alors, est-ce que ces peuples africains
adhéreront-ils à ce nouveau concept déterminant jusqu’à la rupture définitive
avec les foyers de prêche de haine par les actes génocidaires voire terroristes ?
En tout cas, assez donc de bains de sang noyant toute idée légitime décriant le
sous-développement ! D’autant plus régis par des maîtres tragédiens détenant
toutes les franchises et les monopoles, tarissant par conséquent la conscientisation des
peuples africains. Assurément le souverain marocain par sa présence physique
répétitive, ne fait qu’établir la communication avec la patience d’orfèvre
politique pour mieux étayer l’interprétation consciente marocaine des essais et
tentatives d’évitement de la Fitna à propos du fil d’actualités africaines. Car
ne se doutant de l’apport de sa marche tranquille de par l’authenticité de ses
raisonnements pour le maintien et la faisabilité de la paix sur le terrain. Et ce,
en usant comme au Mali de l’art subtil de mener des opérations de
rapprochements des antagonistes de sorte que l’intégrité territoriale et la
cohésion sociétale ne reste dans le brasier et qu’elle puisse renaître des cendres de l’imbroglio malien. A cet égard, il suffit de lire les articles et
éditoriaux africains d’accompagnement de la réception de représentants de
l’Azawad, pour en déceler le mûrissement intrinsèque ayant produit
transmutation dans les positions des protagonistes se libérant des préjugés. Ce
qu’apparemment déconcerte le pouvoir officiel algérien touffu de rancœur, au
point de rester toujours maladroit dans ses agissements vis-à-vis du Maroc.
Cependant même
avec cette rancune des décideurs officiels algériens, n’est-ce pas enfin que pour
le Maroc-Afrique le futur réaliste étincelant provoquant l’admiration de la
communauté internationale, commence à se dessiner ? Surtout quand on voit
que le Roi du Maroc s’y implique fondant jour après jour avec des Chefs d’Etats
africains à l’exemple du Mali Tunisie Guinée Conakry Libye et bien d’autres, la
plateforme vivace et fraternelle sur le plan cultuel malékite. Afin de juguler
les déstabilisations de religiosités fanatiques, parfois confessionnelles de
confusions pan ethnicisées comme dans beaucoup de pays africains. L’exemple de
la Centrafrique, où les religions, l’ingérence étrangère, l’analphabétisme, les
viols des femmes et les mauvaises infrastructures jusqu’à l’inertie en matière
de gouvernance, brûlent les fondements de l’esprit de l’Etat-Nation. N’est-ce
le plus curieux coté de cette affaire centrafricaine n’étant pas arrivée à
maturation, même ayant déjà commencé à sceller la réconciliation par l’élection
d’une femme l’ex maire de Bangui à la présidence du pays ?
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