AH, CETTE TOURNÉE TRIOMPHALE DU ROI DU MAROC DÉCHAÎNANT L’ENTHOUSIASME DES PEUPLES AFRICAINS VIBRANTS, MAIS PROVOQUANT
ENCORE LA HAINE DES ILLUSIONNISTES PATENTÉS ALGÉRIENS TOUJOURS PLAINTIFS.
Ce n’est
nullement un éloge de la vanité de dire, n’est-ce pas le Maroc s’y était essayé
à merveille à maintes reprises du rôle de ré-unificateur au Grand Maghreb, n’ayant
jamais cessé de montrer dans ses souhaits d’atteindre un degré d’unification
formelle ? Ne faudrait-il en suivant l’exemple des pas du souverain Sa
Majesté Mohamed VI en Afrique de se poser la question cruciale, pourquoi
cette entité arabo-amazighe a-t-elle contracté la maladie grave dont elle
conserve les séquelles ? Celles de l’impossibilité même en 2014 d’intégrer
la mondialisation en tant que bloc unique pour pouvoir briguer une meilleure
place. Parce que, comment pourrait-on encore supporter les essais des officiels
algériens de leur désir de revanche infortune sur le Maroc datant de la guerre
des sables ? N’est-ce pas qu’avec le temps ces essais sont devenus
seulement des programmations des intolérances au gré de leurs passions
diversifiées ?
Evidemment,
lorsque le chef de l’Etat algérien se prend lui-même au jeu des blessures, ne
sait-il qu’il ne fait qu’accentuer la turgescence de la saignée entre deux
peuples frères ? Par ailleurs, de ce fait, ne les met-il en exposition aux
violences verbales non calculées, comme ce qu’est arrivé après son discours
d’Abouja ? Voilà pourquoi il faudrait dépasser cette attitude fort
dangereuse, car dictée par un tempérament suspect à l’insu des peuples du Grand
Maghreb. Tant aux yeux des survivants de la réunion historique de Tanger qui
eurent tôt fait poser l’idée à le construire, qu’à ceux des représentants
officieux et officiels de la communauté internationale ne comprenant ce retard.
N’est-ce pas que le Maroc, même si, toujours de marbre restant à demi-sourd aux
divagations algériennes, il n’abandonne aucune occasion comme la tournée royale
africaine de démontrer à tous, ce que pourrait apporter comme rayonnement le
Grand Maghreb, hélas encore rabougri en attente de cautérisation de ses
cicatrices ?
Déjà de l’avis
de tous les analystes politiques, le thème dominant de la tournée royale
africaine est la haute moralité du souverain d’honorer sa parole donnée. Et ce,
par l’engagement politique effectif multidisciplinaire du Maroc de traiter
d’égal à égal avec les pays africains les diverses initiatives, et/où se
conjuguent avec autant de bonheur partenariats gagnant-gagnant. N’est-ce pas là un nouveau progrès
dans la prise en charge de l’Agence Internationale de Coopération pour la
construction d'infrastructures, la réconciliation avec la bonne gouvernance et développement de l’investissement marocain
en Afrique? En concomitance au soutien et financiarisation des PME-PMI, les télécommunications, l’électrification et l’eau potable, la formation universitaire et socioprofessionnelle
pour palier les souffrances et les manques dans la santé et en agro-alimentaire
voire fertilisation des cheptels, le transport et la logistique, les mines et
surtout la construction d’une usine d’engrais au Maroc à Jorf Lasfer sur
directives royales seulement à destination de l’Afrique.
D’autant plus, n’est-ce
pas une telle œuvre aussi vaste et composite ne pouvait manquer d’influencer
d’autres postulants voulant leur réévaluation pour réintégration ? Au
point qu’en Algérie son essai-escalade d’attaquer le poste frontière marocain
par manque d’inspiration, évoque son creuset hypocrite et haineux vis-à-vis du
Maroc. Suite à quoi évidemment, le Maroc s’est montré moins heureux mais ferme
et déterminé, face à ce genre de procédés contestables. Attirant l’attention de
l’Algérie dans les règles diplomatiques et aussi de la communauté
internationale de ce bien curieux bon voisinage. En ce sens, ne faut-il reconnaître au Maroc son sang froid et maîtrise loin de tout appel à l’emballement verbal, ni aussi à la vengeance symbolique soit-elle ?
De ce fait, à
priori, ce n’est nullement étrange d’entendre un ex ministre algérien reconnaître que l’Algérie a perdu l’Afrique sans avoir gagné l’Europe.
Toutefois, l’ampleur de cette déconvenue comme le prédisent tous les observateurs
avertis du champ politique algérien, s’accentuera quasiment contextuellement
par les nombreux facteurs de l’émergence marocaine en interne et en Afrique.
Alors même, l’Algérie ne bénéficie d’aucun soutien des USA sans conditions et
encore moins du nouveau monde émergent (BRIC sans l’Afrique du Sud) trop mercantile, n’offrant pas
d’action de proximité avec une quelconque garantie de réciprocité. Ainsi, c’est
tout juste incroyable de constater l’amertume chez nombreux officiels à propos
du charivari entre les entités structurées de l’Etat algérien, en l’occurrence
l’Armée le FLN et Ksar Lamradia. Dont parmi eux, quelques courageux voulant
sortir de l’état de torpeur voire psychédélique, commencent à réaliser leur vie
dans une Afrique qui brutalement a changé s’élargissant seulement vers le
Maroc.
N’est-ce l’un
des aspects de cette tournée royale africaine, caractérisant la pensée puissante
du souverain de retourner aux sources fondamentales du non alignement par l’entraide
et la solidarité ? Loin des sacralités et passions sans raison, ayant
soumis l’Afrique aux critiques sur les méthodologies employées sentant la
dépendance dinar-petro-gazière. Notamment dans les échanges politiques
concernant le Sahara marocain, dès lors qu’ils s’appuient sur le mensonge et
non sur la tradition des liens séculaires
par comparaison effective du plein droit de l’Etat marocain sur tous ses
territoires. Que par ailleurs une Pléiade d’analystes politiques et intellectuels
à l’international, s’en inspirent du talent du Roi du Maroc et de sa
détermination politique constituant son meilleur crédit au vu de son approche socio-économico-culturelle
et cultuelle spirituelle féconde à la destinée peu commune. Vraiment, peu de Chefs
d’Etats pourraient le faire dans une tolérance améliorée d’efficacité reconnue,
leur permettant d’avoir la reconnaissance de ces intellectuels n’admettant plus
de se taire. Parce que s’y sont mis à explorer l’environnement politique à
propos des pensées démagogiques d’autres Chefs d’Etats africains constamment
tournés vers le mépris de leurs peuples.
Néanmoins,
dorénavant, le peuple marocain ne peut-il affirmer d’une seule et unique voix
qu’il est satisfait de cette audace royale exploratrice d’idées nouvelles
contributives à la diffusion de bonne gouvernance au Sahara marocain et en
Afrique. Contrairement à celles longtemps distillées empoussiérées sous des
commentaires allégoriques sournois relevant de prétention d’apparence. Comme ce
qu’a fait la girouette Aminatou sur France 24, vu qu’il s’agit en fait de
mesquinerie abstraite tirée de procédés désuets, usant seulement de blabla à propos
d’une chimérique gloire véhiculant propagande insipide révolue. Qu’à cet effet d’emblée
toutes les tribus sahraouies rejettent en bloc, même et surtout dans les camps
de la séquestration à Tindouf Rabouni et autres. D’autant plus, ce rôle de serveuse du pouvoir
algérien n’est plus porteur, en ce temps d’accélération de l’histoire pour
apprécier la débandade africaine dans beaucoup d’endroits. Toujours utile que
le journaliste de France 24 le lui a bien subtilement filtré en face sachant
que c’est une renégate attitrée.
Qu’en fait le
Maroc lui-même a viré son orgueil ne s’auto parlant plus, s’étant ouvert à
l’Afrique via les mêmes idées de l'INDH et les recommandations transformatrices élaborées par le CNDH et CESE pour le Sahara
marocain. Et même au-delà, car sont aussi destinées à mettre en valeur les
finesses astreignantes pour la gouvernance partagée dans un premier temps avec
l’Afrique de l’Ouest Subsaharienne. C’est ainsi, vu que sans l’étourderie la
paresse et l’oubli, qui des Chefs d’Etats africains voudrait encore suivre les
officiels algériens zélés dans leurs programmations toujours sournoises, par
rapport aux élégances diplomatiques
marocaines même dans l’offensive ? Ce qu’apparemment regarde la Mauritanie
d’un œil intéressé pour pousser à la renaissance du Grand Maghreb, car se
faisant redécouvrir le positionnement marocain dénonçant les hypocrisies et les
dévotions sans âme de certains officiels algériens et leurs satellites
pro-polisariens. Et ce du fait de par l’exégèse de l’apport déterminant du
Maroc assistant à toutes les conférences et manifestations, qu’elles soient
d’ordre politique économique où socioculturel et cultuel spirituel. Dont la
Tunisie en bonne voie d’accomplissement, comme aussi la Libye en recherche
d’équilibre politique, sont désireuses de copier le Maroc à bien des égards.
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