La haine et le déni représentent le degré de spécialisation le plus pérnicieux chez les "Kabranates" vert-kaki algériens. Ainsi, de fait, l'on peut affirmer que par rapport au voisin de l'Ouest qu'est le Maroc, leur procédé révèle des similitudes avec celui d'une fraction de leurs maîtres à la DGSE française avec à leur tête le satanique Gerard ARAUD l'ex-ambassadeur à l'ONU. S'additionnant à la perspective malveillante d'Emmanuel MACRON qu'au demeurant est enveloppée de sadisme et rancœur envers toute l'Afrique. Dont le Maroc, qu'on ne le veuille ou pas, s'en tire bien grâce au savoir diplomatique que lui procure l'épaisseur des dispositifs de vigilance et de veille mis en place. Un cas d'école qu'évidemment, salue avec appui référenciel l'influent ex-ambassadeur à Alger Xavier DRIENCOURT. Autrement dit, c'est la raison pour laquelle le Roi Mohamed VI lors de son ordre du jour du 14 Mai 2023 au soixante septième anniversaire de la formation des FAR, en avait appelé à une consolidation stratégique inédite de toute la constellation de défense civile et militaire marocaine. Pour éviter les emphases d'autoflagellation publique ici et là, comme aussi les cacophonies politico-économico-sociétales de certains chefs de partis. Sans oublier les mystères et risques de vulnérabilités diplomatique et militaire, en mettant en effectivité la légitimation des Centres d'Etudes Géopolitiques et Groupements d'Analyses Géostratégiques.
À dire vrai, cela ne se fera qu'avec la liberté de collaboration des Universités Publiques et Privées Marocaines (U2PM) et autres think-thank à bas bruits sous parapluie étatique. Et ce, afin que le Maroc rayonne encore plus tout en interpellant le monde sur les vielleries procéduriales que pérorent toujours les diplomates algériens sur le grand Sahara marocain oriental et occidental. En effet, tout indique que le processus de déliquescence de l'Algérie va s'accélérer, au vu qu'il est déjà à l'œuvre dans les rapports des "Kabranates" avec les Régions et Wilayas. À l'exemple de l'Azawade aujourd'hui insurrectionnel par l'entrée en scène du MLT (Mouvement de Libération de Tamanrasset) enclenchant la rebelion si ce n'est la révolution avec assurance pour être lui-même. Voulant rompre avec la conception des frontières héritées de la France, comme pour Hassi Messaoud le Chaabni le Mzab le Constantinois l'Oranais et le Sahara Oriental marocain. Pour se faire reconnaitre en tant qu'entités géographiques et politiques et ne plus paraitre comme les choses offertes au pouvoir militariste de Ksar Almouradia d'Alger.
Voilà, pourquoi, la Kabylie au plan politique se montre à l'œuvre et s'impose déjà comme un État futur qui se sait valeureux et s'affirme digne. À la différence de la déraison de l'État algérien, d'abord par le jeu politique spéculatif outrancier d'Abdelmajid TEBBOUNE dans son rapport tensionnel avec les voisins. Puis, par l'ordre émanant de Said CHENGRIHA de redéploiment de l'Armée en guise soi-disant de renforcement des frontières avec le Maroc notamment la région de Bachar. Un jeu dangereux, dont il pourrait en regreter amerement la conception et le montage. Alors-même que tous les experts militaires de par le monde, sauf ceux de la DGSE, lui annoncent sa fin probable s'il n'obtempère pas et revenir à la raison. À bon lecteur, bon décryptage !
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