samedi 17 septembre 2022

FINI LE TEMPS DES FOSSOYEURS DE L'UA.


DE NOVEMBRE 1984 À SEPTEMBRE 2022, LES CHOSES ONT RADICALEMENT CHANGÉ À NAIROBI ET AILLEURS SUR LE SAHARA MAROCAIN.


      Ce n'est pas facile pour les grands commis de l'État de s'éveiller à la diplomatie du Roi Mohamed VI sans incarner tout ce qui est cher au cœur du peuple marocain. Et surtout, sans pouvoir interpréter avec délicatesse le contenu de la symbiose qui existe entre la DGED-DGDST et les services du ministère des Affaires Étrangères sous Nasser BOURITA. Autrement dit, aujourd'hui la diplomatie marocaine est indissolublement liée à la perénnité légendaire du Royaume Chérifien avec son héritage consistant. En effet, il s'agit d'adaptation normative et vigilance continue dans l'Odyssée des relations internationnales par rapport aux Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU sur le Sahara marocain. Sans omettre la valorisation de l'offre d'autonomie 2007 par transformation radicale des positions des ennemis en les rendant des alliés objectifs. Et, aussi en les sortant de leur agitation pour ne plus voguer entre les idées saugrenues inadmissibles du pouvoir rancunier algérien. 


       Ainsi, l'on peut affirmer, depuis l'épisode GARGARATTE la Zone Tampon à l'Est du Mur apparaît de plus en plus dans les communiqués précis et concis des FAR. Dont, leurs conséquences politiques et diplomatiques à l'UA et à l'ONU sont incalculables pour les "Kabranates" de Ksar Almouradia d'Alger et leur protubérance maligne le Polisario. Tellement, en Septembre 2022 à Nairobi avec l'élection de William TURO, les positions ont radicalement changé en faveur de la thèse marocaine. Fini donc le temps des fossoyeurs de l'UA en raison de l'admission de la "rasd" en Novembre 1984 dans la capitale kenyanne. Oui, le président fraichement élu a mis fin non seulement à la diplomatie du chequier des "Kabranates" de Mama França, mais aussi  aux conférences "Tam Tam" anti Maroc en Afrique comme l'avait formulé Feu Hassan II à l'époque du zélé togolais Edem KODJO en tant que Sécretaire Général de l'OUA ancêtre de l'UA (1978-1983). 


       Évidemment, tout un chacun peut en deviner qu'à présent le processus de révocation de l'entité fantoche est en marche à l'UA pour rétablir le droit juridique et historique du Maroc. D'ailleurs, avec cette perspective le Roi du Maroc Mohamed VI n'a-t-IL déjà gagné son pari, après s'être glorifié du retour triomphant au sein de l'UA ? N'est-ce parce qu'IL s'y est employé à développer des relations priviligiées avec les chefs d'États africains qu'IL les a mis devant la dynamique de la nouvelle donne ? Pour choisir leur camp loin de l'idéologie des arrières pensées du temps du défunt tyran Kadhafi. Ce qui, c'est sûr, conduira inéluctablement à la tentation de l'UA d'expulser rapidement la "rasd" et mettra l'usurpateur sans grandeur ni prestance qu'est Brahim GHALI en cage d'isolement définitif, comme ce qu'il vient de vivre à Luanda en Angola lors de la cérémonie de réinvestiture du président sortant Joao LAURENÇO. À dire vrai, l'année 2023 sera celle de fin de contrat-chiffon "Algérie-Polisario" avec des conséquences immédiates sur la France hypocrîte la Tunisie aventurière et la Mauritanie filipendule. Sachant, en plus que les USA ont ouvert les portes de l'enfer sur l'Algérie militariste pour lui faire vivre à son tour l'apocalyps à cause de son soutien financier déguisé à Vladimir POUTINE sous forme d'achats massifs d'armes. À bon lecteur, bon décryptage !

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