mardi 1 juin 2021

LE MAROC EN COLÈRE EST PLUS DANGEREUX DANS L'EXERCICE DE SA SOUVERAINETÉ.


LA PROPHÉTIE DE L'ESPAGNE EN DÉCRÉPITUDE APRÈS LE BREXIT SEMBLE SE RÉALISER.


       Aujourd'hui, l'on peut dire, dans la Ghaligate le système judiciaire espagnol n'est autre que le bras de justification de ce que veulent les ministres au gouvernement. C'est tellement évident que cet anachronisme judiciaire est batti pour s'opposer aux charges contre Brahim GHALI. Sans tenir compte des droits des nombreuses victimes dans les camps de la honte dans Lahmada-Tindouf, aux Iles Canaries et en Espagne continentale. Et donc, c'est un continuum qui rendra après son départ pour Alger, les relations maroco-espagnoles encore plus expréssivement tendues. Dont, la tâche du juge PEDRAS était de diriger la prise de décision pour le non lieu, en faisant de la comparution par visio-conférence de ce brigant tortionnaire et terroriste notoire une sorte de coup d'épée dans l'eau. Ne s'agit-il, en effet, de théâtralité de l'audience de refus de mise en détention pour soi-disant manque de preuves tangibles ? D'autant que c'est arrivé après qu'il y eût un amorçage d'appats aux vendeurs de leurs âmes pour jouer leur rôle de crieurs anti-Maroc. Voire aussi, des ordres du gouvernement adressés à la justice par des sorties médiatiques de Pedro SANCHÈZ lui-même. Dont l'éventail est, on le voit toujours, très large pour essayer de masquer tous les angles d'attaques ciblées foudroyantes de Nasser BOURITA et Karima BENAYCHE à l'égard de l'Espagne arrogante et hautaine.


       Là, en l'occurrence, que faut-il en déduire de ce double langage, si ce n'est avec cette alchimie d'intérêts géopolitiques contradictoires, il n'est plus question de continuer la collaboration avec l'Espagne déjà en décrépitude économique diplomatique et sécuritaire ? D'ailleurs, à cause de toutes ses déconvenues, n'est-il arrivé le temps pour le Maroc de renverser la table et geler les rapprochements au court terme dans l'attente d'y voir plus clair ? À dire vrai, l'attitude de ce juge, n'a-t-elle provoqué un tollé d'indignation à même au sein du Cortès contre sa transgression-perversion trop laxiste du code penal ? Au point que le ministre de l'Intérieur s'en est pressé à s'excuser à demi-mot de cet épisode malheureux pour la justice de son pays. Encore heureux que le Maroc l'ait prédit par anticipation sans aucune nuance, de la bouche de Nasser BOURITA comme quoi la comparution devant le tribunal de Brahim GHALI n'est pas une finalité en soi. Parce que le différend Rabat-Madrid est beaucoup plus profond que ça, touchant le recouvrement de la souveraineté totale du Maroc sur toutes ses terres de Melilia-Sebta jusqu'à Lagouira. Comprendront ceux qui pourront ! 


       À l'évidence, il s'agit de mise en demeure subliminale qui s'adresse surtout au gouvernement Pedro SANCHÈZ pour reconsidérer son positionnement avant qu'il ne soit trop tard. Parce que le Maroc pourrait démolir son avenir politique, tant la base de réciprocité c'est de placer en exergue le statut de la Catalogne en ligne de mire. Sous sa loupe d'aggrandissement politique en tant que moyen de rétorsion contre l'engagement immoral et contrariant de l'Espagne au Sahara marocain. De ce fait, il est aisé donc de faire comprendre que le Maroc en colère est plus dangereux envers ses ennemis déclarés contre le recouvrement de ses siuverainetés. En plus clair, il peut faire affronter à ce gouvernement d'incompétents espagnols, d'autres complications naissant de ses propres contradictions partisanes sociétales et territoriales. Autrement, autant le dire sans retenue, la prophétie selon laquelle la domination espagnole des présides Sebta-Melilia prendrait fin après le Brexit semble sur le point de se réaliser effectivement. À bon lecteur, bon décryptage !

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