dimanche 25 avril 2021

LA FIN DU RÊVE D'UN BRIGAND ET TERRORISTE QUI S'EST MIS AU SERVICE DES BUREAUX SECRETS ESPAGNOLS.


QUI EST LE MANIPULATEUR DANS L'AFFAIRE BRAHIM GHALI, EST-CE LE GOUVERNEMENT ESPAGNOL, LA JUNTE  ALGÉRIENNE OU LES DEUX ?


       Désormais, l'on peut ranger cet épisode dans la catégorie générale des mauvaises histoires criminnelles mafieuses montées entre Alger et Madrid. D'autant plus le thème est tellement moderne qu'il est sans doute utile d'en disséquer l'arrogance et l'intrigue pour comprendre tous les maillons de la chaine. En cela, pour les services marocains de renseignement exterieur, la recherche des indices qui ont permis la découverte de ce montage perfide et secret, est plus que la fascination du crime supranational inter-États. D'ailleurs, le point d'intensité ou le coup de théatre a lieu lorsque la DGED a nourri le Magazine JEUNE AFRIQUE de la reconstitution du puzzle de l'exfiltration du criminel Brahim GHALI de l'Algérie vers l'Espagne. En effet, c'est après, que l'information est étalée avec toutes les preuves sur les réseaux sociaux et plateaux des chaines de télévision. Et dont, évidemment, la Communnauté Internationale en a décelé les suspiçions et donc la raison de l'insuccès de cette barbouserie indigne. Ne faut-il aussi dire que c'est juste un acte d'association de malfaisance étatique terroriste anti Maroc sous-couvert de prétention d'assistance médicale ? Et ce, afin de sauver un briguand, coupeur de route recherché de justice pour viols tortures et crimes contre l'humanité.


       Évidemment, à cause de l'idiotie et la légéreté de l'Espagne, la déclaration de la ministre des affaires étrangères Arancha GONZALÈZ LAYA reconnaîsant les faits, est dorénavant considérée comme une preuve irréfutable de trafic des humains par le faux et l'usage de faux. Dont on pense que le rouleau compresseur de la justice espagnole en fera usage, certainement à charge contre le gouvernement de Pedro SANCHÈZ. En tout cas, la ministre précitée n'avait pas besoin de dire les choses à moitié, en plus en s'attachant à justifier la solution prise communémment avec les Généraux vert-kaki algériens sans se soucier du principe de souveraineté. Alors que tout un chacun sait que cette voie est coupée de fausses pistes et de faux suspects, dont la junte militaire et les décideurs à Ksar Almouradia d'Alger ne sont jamais à court d'idées. En particulier de crimes défiant la logique pour déconcerter au maximum les analystes et observateurs. C'est vrai, pour ce régime militariste rancunier, les coincidences dans ses manipulations criminelles sont souvent amenées bien au-delà des limites de l'invraisemblable, par manque de réalisme et donc de vision politique. Ce qu'effectivement montre qu'il ne soit jamais dérangé par ses propres formulations et actes border-line qui offrent à chaque fois un contraste offensif violent à l'égard du Maroc. Allant parfois jusqu'à pousser à des actes hostiles par séparatistes-mercenaires à l'Etranger, comme la tentative de profanner le drapeau à l'Ambassade du Maroc à Berlin. 


       Voilà pourquoi le Maroc en colère, a convoqué l'ambassadeur espagnol pour s'expliquer davantage sur les motifs de l'hypocrisie dédoublée de son pays. Dans l'attente de sa riposte ciblée proportionnée pouvant provoquer un tremblement inattendu de ses relations avec l'Espagne. De fait, l'on peut dire, parce qu'en Espagne on est loin de l'élégance diplomatique et même de l'envoûtement comportemental marocain qui se distingue du modèle algérien sanguinaire, il est question de donner l'asile politique pour raison humanitaire à l'ancien président de la Catalane Carles PUIGDEMONT. Ne s'agit-il de la tradition marocaine à la maîtrise de soi dans ses réponses, celles qui incombent à l'observation de la légalité et de l'ordre sans plus ni moins ? Par ailleurs, n'est-ce là une déduction qui a conduit la DGED à appliquer le silence radio, dans son observance du transfert de Brahim GHALI d'Alger à Saragossa passant par Berlin et Paris, pour ne pas éveiller de soupçon ? Fini donc le temps d'impunité de ce gangster qui s'offrait des soirées fastidieuses sur le dos des algériens, en plus éprouvant le besoin pathétique de donner de lui une soi-disant image  de "Zaïm-guerrier" respectable. Oui, maintenant que les langues se délient à propos de ce fiasco politico-diplomatico-sanitaire entre Alger et Madrid, la question qui taraude, c'est qui est le vrai manipulateur de l'autre ? À l'évidence c'est une opération délirante incohérente de surcroît très mal menée qui a suscité un tollé médiatique planétaire. Et dont, les contractants tentaient faussement de se séduire par l'hypocrisie amalgammée. D'un côté, pour les vieillards Généraux algériens c'est une occasion de se débarrasser du fardeau pour le remplacer par l'ami intime de CHENGRIHA. Alors que de l'autre, pour le gouvernement espagnol c'est récupérer un agent informateur de premier plan qui a rendu des services au pays. Par conséquent, que peut-on dire à ce propos ? N'est-ce l'heure du Maroc est venue pour en finir définitivement avec le Polisario et ne lui laisser aucune autre occasion de se pavaner dans les chancelleries ennemies douteuses ? À bon entendeur, salut !

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