mercredi 3 février 2021

LE MAROC DANS SON APPROCHE ASCENDANTE DIPLOMATIQUE ÉCONOMIQUE ET SÉCURITAIRE SANS ARBITRAIRE NI DÉRIVE AU SEIN DE L'UA.


LE MAROC EST TRÈS HEUREUX DE MONTRER AU MONDE ENTIER, SA RÉSILIENCE GRANDISSANTE ET SA RESISTANCE SANS LIMITE, POUR RECOUVRER SA SOUVRAINETÉ TOTALE SUR SON SAHARA.


      Plutôt sans la "rasd" qu'avec, pourrait dire l'UA à la majorité des 2/3 au 34-ième Sommet du 06-07 Février 2021 à Addis-Abeba. Ce qui, sans doute, concrétiserait sous la présidence de Félix TSHISEKEDI le congolais, la fin de non recevoir opposée aux manipulations de l'Algérie. D'ailleurs, est-ce que Sabri BOUKADOUME et Smail CHARQUI ne cherchent-ils, vainement, appui d'autres pays en falsifiant le contenu de la charte de l'UA ? Et ce, pour monter une alliance militaire africaine dont rêve le Polisario en panique, pour éviter son craquellement annonçant sa fin. Certes, du point de vue géopolitique, il ne faut pas croire que ce coup de massue poussera le pouvoir à Ksar Almouradia d'Alger, maladivement orgueilleux, à geler ses turbulences diplomatiques au sein de l'UA. Au contraire rien n'est moins sûr ! Parce que les Généraux vert-kaki viscéralement anti Maroc, ne sont guère favorables à cette option. Même ayant, auparavant, menacé quitter la Ligue Arabe après les ouvertures des Consulats des pays du CCG à Laayoune et Dakhla.


       Cependant, alors que l'acte de mort de la "rasd" est en préparation, le non-État algérien en dépit des critiques qu'il subit continue, sciamment, à exercer des pressions de toutes sortes. Croyant, pouvoir prévenir toutes modifications des paragraphes d'articles concernant l'exclusion d'un pseudo-membre usant du statu quo existant. À l'évidence, la première tâche de la présidence congolaise pour le Sahara marocain, n'est-elle de construire une digue d'alinéas contre tout risque de récidive du non respect du droit au sein de l'UA ? Afin, de ne plus vivre ce qui s'est passé en 1984 à Nairobi d'où, le Maroc est parti avec fracas. En tous les cas, ce fut un risque diplomatique et non une altérnative pour garder le contrôle de la situation qui a duré 35 ans. Dont, certains pays de l'UE, surtout l'Espagne et la France, en vertu de prolonger leurs intérêts coloniaux dans la région, en ont joué double jeu sans choisir leur camp.


       Aujourd'hui à trois jours de ce Sommet, il y a jubilation pour imposer le tempo et la mobilité des institutions onusiennes pour l'adoption de l'offre marocaine d'autonomie 2007. Pour autant, il y a lieu aussi de garder la tête froide sans arbitraire ni dérive dans les gestes et les propos contre les ennemis déconnéctés des réalités sur le terrain. Même sachant que cette matière, diplomatiquement parlant, de reprendre la main au Sahara marocain est devenue un cas d'école par l'accompagnement des chancelleries et services consulaires. En montrant l'exemplarité de la résilience grandissante et la résistance sans limite de la diplomatie marocaine. Cependant, par suite à cette nouvelle donne, ne faut-il minimiser le risque de représailles ici et là sur commandes des services de renseignement civil et militaire du pouvoir algérien sans scrupule. En prêtant aide et assistance en ON via AFRICOM en utilisant les outils de l'entente géostratégique trilatérale USA-Maroc-Israël au Sahara marocain. Notamment, pour faire face aux propolisariens terroristes qui ont élu quartier de commandement dans le Sud algérien à Lahmada-Tindouf. Et, c'est là ou le bât blesse, en voyant la France qui se reconnait dans cette argumentaire, n'ayant toujours pas emboité le pas aux USA pour la reconnaissance de la Marocanité du Sahara ? Comprendront, ceux qui pourront ! À bon lecteur, bon décryptage !

1 commentaire:

  1. ce n'est pas à notre pays de pousser l'algérie vers le gel de ses turbulences diplomatiques au sein de l'UA,notre pays s'occupera à corriger l'anomalie de l'existence polizabalienne au sein de l'union africaine,les apprentis caporaux d'alger c'est au peuple algérien de les chasser du pouvoir de leur pays en sanction des milliards de $ gaspillés inutilement dans une cause qu'ils savaient qu'ils ne remporteraient jamais

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