JAMAIS, L'ALGÉRIE N'OBTIENDRA SATISFACTION COMPLAISANCE ET COMPRÉHENSION DES INSTANCES INTERNATIONALES.

L'ALGÉRIE N'EST-ELLE DÉJÀ DANS LA DIVERGENCE PROGRAMMÉE AVEC LE POLISARIO, PAR PEUR QU'IL NE SOIT REMIS DANS LES MAINS DU MAROC PAR L'ONU ?

      Désormais, l'Algérie ne sait plus sur quel pied danser face au Maroc. Ni, à quel Marabou-manitou se fier en Afrique, pour nuire à ce voisin terriblement indocile d'après ses services de sécurité extérieurs. N'a-t-elle, par ailleurs résumé le 34-ième Sommet de l'UA qui eut lieu via visioconférence les 06-07 Février 2021, sorte de projet de scénario déstiné à l'isoler et à conduire la "rasd" vers la porte de sortie en actant sa fin. Pourtant, on ne peut pas dire qu'elle n'y eût pas cru à la complicité active de certains chefs d'États africains pour la soutenir dans ses prétentions inavouées au Sahara marocain. Moyennant, la promesse qu'elle leur a faite de mettre fin au leadership diplomatique économique politique cultuel et sécuritaire du Maroc. Quitte à le pousser sur le sentier de la guerre malgré la justesse de son offre d'autonomie 2007. Ce qu'évidemment, n'est pas du goût des peuples qui, sans tarder ont pris sur eux de leur imposer une démarche pro Maroc à suivre dans ce conflit préfabriqué. En effet, ces quelques chefs d'États y ont, tous, ramassé une gamelle distancielle depuis Addis-Abeba. Dont, le constat final montre que leurs délégations étoffées, y ont été à ce Sommet pour boire des tasses de café arabica et/ou robusta à la façon Négus. Alors-même qu'elles étaient honteusemsnt brieffées, pour faire bloc anti Maroc par le prétencieux et impoli Smaïl CHARQUI.

       À dire vrai, Smail CHARQUI sait que les dés sont jetés, mais n'en fait qu'à sa tête. Allant jusqu'à prendre prétexte d'un soi-disant refroidissement de circonstance avec Moussa FAKI Mahamat, pour écourter sa présence à Addis-Abeba. Un déni des réalités, dont il est temps pour ce régent-invariant de la diplomatie algérienne de songer à troquer ses méthodes mafieuses. Parce qu'une fois de retour à Alger, sans un autre poste du même niveau, c'est sûr et certain que ça n'aille pas mieux pour lui. Les exemples de Abdelaziz Sellal, Ahmed Ouyahya et d'autres sont toujours fumants en ce qui concerne les détournements de fonds sans valeur ajoutée au soutien de la thèse séparatiste. Comme ça, à la lumière de la défaite diplomatique de l'Algérie à ce Sommet, les polisariens des camps de Lahmada-Tindouf savent à présent, que le pouvoir à Ksar Almouradia ne faisait que du bruit inaudible pour l'en répandre à son avantage. Étant donné que pour lui, il ne faut plus aider le Polisario à prendre contact direct avec l'Espagne la France et surtout les USA, par peur qu'il ne soit remis dans les mains du Maroc. Voilà, donc, sa raison pour continuer à faire des louanges à l'Afrique du Sud pour ses tentatives en troïka débridée de rapatriement du dossier du Sahara marocain à l'UA. Pour, ne laisser le terrain se refroidir ni politiquement ni diplomatiquement et encore moins militairement. 

       Tout le monde aura compris qu'au moment de ses nombreux points de presse, Nasser BOURITA sur un ton aussi calme que décidé, s'est tenu à décortiquer la logique contradictoire de cette argumentation. En faisant allusion au déclenchement de la tornade algérienne tous azimuts contre le Maroc. Dont, Sabri BOUKADOUM le tenancier de la quincaillerie diplomatique vetuste algérienne, croit bon continuer ses surenchères sur les propos et déclarations de son homologue marocain omniprésent. S'entendant en mauvaise conscience la vielle rengaine du mozambicain menteur Joaquim CHISSANO. Lequel, ayant auparavant fait signifier dans ses rapports-propositions propolisariens de ne pas renvoyer le dossier du Sahara marocain au Conseil de Sécurité de l'ONU. En cela, n'est-ce là une raison  pour mettre en garde BOUKADOUM CHENGRIHA et d'autres idiots qui tournent autour d'eux, que la moindre incartade en terre marocaine provoquerait l'ire sans pareille des FAR ? D'autant plus, il faut le dire sans résérve, à l'issue de ce 34-ième Sommet c'est un souffle nouveau qui s'installe. Loin des complicités d'antan, et dont l'Algérie candidement croit pouvoir encore en être l'une des pierres angulaires. Autrement dit, elle n'en obtiendra plus aucune complaisance de la part des Instances Internationales, telles l'UA l'UE et l'ONU dans les tensions entre pays africains. À bon suiveur, bon décryptage !