samedi 16 septembre 2017

C'EST QUOI CETTE NOUVELLE POSTURE DIPLOMATIQUE MAURITANIENNE MI-PROVOCATION MI-GAG ENVERS LE ROYAUME DU MAROC ?

QUE CHERCHE-T-IL LE PRÉSIDENT DE LA MAURITANIE MOHAMED OULD ABDELAZIZ, EN BRULANT TOUTES SES CASQUETTES PAR SES DISCOURS AMBIGUS POUR LE MOINS ESPIÈGLES ANTI OFFRE MAROCAINE 2007 D'AUTONOMIE GESTIONNAIRE DANS LA RÉGIONALISATION AVANCÉE ?

       Aujourd'hui, le président de la Mauritanie Mohamed Ould Abdelaziz, hélas, pour remédier à ses ennuis en interne et contrer les dangers de déstabilisation en externe, est entré dans un nouveau concept de séduction du pouvoir algérien. Dont, qu'on ne le veuille ou pas, on en perçoit se dessiner une culture diplomatique aux relents troubles, par ses postures changeantes faisant figures d’anecdotes politico-médiatiques à l'UA à l'UE et à l'ONU. Et ce n'est pas pour rajouter la communication à sa Com qui ne gomme rien de son approche farfelue sur un rythme culotté, ne sachant, étonnamment, que le Maroc n'a jamais cherché à lui nuire. Mais, seulement, il fait connaitre le ''made in morocco'' en diplomatie loin de toute incivilité de se faire imposer le choix de ses ambassadeurs plus dans l'air du temps, par ailleurs devenus respectables et redoutés de par les exemples tous puisés dans l'univers de la chancellerie moins conformiste.  Et, dont le ministère des affaires étrangères et de la coopération se sent l'obligé d'assurer les mauritaniens à travers la continuité du maillage de la desserte aérienne via la RAM, et aussi des perspectives d’augmentation des échanges commerciaux routiers via le point-portail Guergarate avec les pays de la CEDEAO. D'ailleurs, n'est-ce là où l'on devine que la Communauté Internationale en apprécie, particulièrement, le flux de ces échanges qui s'en dégagent ? Malgré les gesticulations infondés non recevables du Polisario, sans que les marocains ne deviennent les contrôleurs actifs, subodorant, présumant voire interprétant les dires et attitudes de l'Algérie à ce sujet.

       C'est même plutôt stupéfiant, sans être suffisant pour que Mohamed Ould Abdelaziz pense qu'un jour il puisse renverser le sens de l'Histoire, en même temps dedans et dehors de la recherche onusienne d'une solution politique équitable et viable. Et, donc, de s'arroger le fait de pouvoir atteindre son but, traduisant de fait, la tendance des ennemis à espérer en trouver un écho favorable par rapport à la réalité sur le terrain. S'ajoutant, en même temps, à ses discours espiègles et ambigus pour le moins anti offre marocaine 2007 de l'autonomie dans le régionalisation avancée, croyant, ainsi, faire une offrande aux Généraux algériens qui cherchent à conjuguer les éléments de la tension Alger-Rabat en des événements malheureux. Cependant, autant le rappeler sans équivoque, n'ont-ils montré à maintes reprises qu'ils n’hésitent devant rien pour trouver des soi-disant arguments à leurs tromperies les plus basses ? Et ce, pour déstabiliser les échanges commerciaux prometteurs avec la Mauritanie, en s'essayant de vouloir redorer la place du port d'Oran estampillé plaque tournante des détournements des aides humanitaires pour les séquestrés des camps de la honte dans le Sud algérien. D'autant plus, le faisant avec une emphase caractéristique de leur rhétorique blessante pour faire craquer les nerfs des mauritaniens et rétablir l'autre axe des autres points de chute des trafiquants et terroristes via Tindouf-Zouirat. 

       En cela, n'est-ce la question qui taraude c'est qu'attend-il le Maroc pour accélérer le verrouillage de cette rythmique suspecte de ce créneau de recherche à le doubler ? Qu'évidemment, les premières lézardes dans le séparatisme prémonitoire mauritanien propolisarien, remontent au début des années 70 pour provoquer trouble et confusion, dont à cette époque l'Algérie de Boumedienne, elle aussi, s'en était assez moquée. N'en croyant ni aux gesticulations de Mokhtar Ould Dada premier président mauritanien,  ni à l'origine du travestissement par certains égarés de l'indéniable fixation des années 60 pour ce que préparait Feu Hassan II. En effet, pour Mohamed Ould Abdelaziz, faut-il encore le rappeler, que dans sa recherche de charisme c'est juste l'occasion à ne pas rater son plongeon dans l'univers politique ultra-concurrentiel des chefs d’États de la région. Néanmoins, même s'il en est convaincu que cette passion de fabrication de mousse tensioactive diplomatique dans le couple Maroc-Algérie, ne faudrait-il qu'il sache que ça ne servirait jamais ses intentions de revenir au centre du bras de fer sur le Sahara marocain. Voire même, d'en attendre la moindre aide par-ci et par-là, jusqu'à être en mesure de s'imposer comme le chainon manquant de la dernière série de ses trouvailles pour enquiquiner le Maroc. Ce qui, conséquemment, pourrait resté gravé comme acte rare, de fait inconcevable de par sa fronde mi-intrépide mi-circonspect, en parallèle à la synergie guerrière des impostures de soutien au Polisario par les ennemis du Maroc.

       Voilà, pourquoi pour lui, de son point de vue, il n'y a qu'un saut de puce pour la naissance de ses critères de séduction de l'équipe Boutaflika à Ksar Lamradia d'Alger ? En plus  à des fins d’interprétation du rôle de rebelle sans savoir à quoi ça le mènerait, tant qu'il ne fait pas du bon voisinage son adage. N'est-ce, par conséquent, ce qui ramène à son idée de bruler toutes ses casquettes, en pensant de la sorte, pouvoir prendre un peu de l'air du temps pour s'en sortir des colères de la société civile et contrattaques de l'opposition en Mauritanie ? Sauf que, chose qu'il n'arrive à intégrer dans son calendrier, c'est que l'usage de ce genre d'initiatives, un peu isolées, mi-provocation mi-gag, font partie de l’anecdote politique dépassée. Parce que, en ce temps présent, pas si évident ni sur, d'arriver à ébranler ni la perspective de prospection géostratégique marocaine usant des partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal avec toute l'Afrique, ni géopolitique spécifique et économique évolutive dans l'espace CEDEAO. Comme quoi, ne faut-il qu'il s’attelle, assidument, à régler la problématique des poches de l'esclavagisme qui sévissent encore en Mauritanie ? N'est-ce cela qui en témoigne qu'il s'expose, à la fois à la remontrance de la Commission de l'UA sous Mohamat Moussa Faki et à l'ire du Conseil de Sécurité de l'ONU au vu de ces poches de résistance à l'application de la charte des droits de l'homme ? Tout à fait comme les autres protagonistes, en l'occurrence Christopher Ross et Ban Ki Moon qui jouaient de rôle double sans recensement des séquestrés. Usant, d'une collection d'actes politiques partiaux non neutres, de mode lobbyings anti Maroc qui veulent imposer la guerre dans la région sans tenir compte des résolutions onusiennes dans l'affaire du Sahara marocain. A bon entendeur, salut !

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