vendredi 19 mai 2017

A QUOI PEUT-ON MESURER LA NOUVELLE PERFIDIE DE L’ARMÉE ALGÉRIENNE DE DÉSTABILISER L'AFRIQUE ?

AUJOURD'HUI, EN 2017 OU NOUS SOMMES, CETTE MENACE ALGÉRIENNE EST-ELLE UNE FICTION DE SCÉNARISATION DE DÉSTABILISATION DE L'AFRIQUE OU UNE RÉALITÉ DE PERFIDIE SOUS SA FORME LA PLUS INTRIGANTE  ? 

       Ce n'est nullement une fiction de dire, l'Armée de Gaid Salah réveille ses vieux démons pour paralyser l'Afrique, qu'en effet qu'elle ne le veuille ou pas ne la grandissent pas outre mesure. D'autant plus, elle le fait, parce que ça lui déplaît de laisser filer d'entre ses mains l'UA sortant de son joug au sens temporel du terme. Chose, que comptablement elle commence à constater de visu sur le terrain africain et sud américain, après dilapidation de ses rentrées de la rente gazière et pétrolière qui s'est altérée peu à peu suite au soutien aveugle du Polisario. D'où, c'est évident avec les temps qui courent, elle-même, n'est-elle traquée actuellement de sa mauvaise gouvernance, d'abord par la folie de se surarmer jusqu'à hypothéquer l'avenir des algériens. Puis, par ce qui s'appelle la nécessité de continuer dans son arrogance en se mettant à préparer d'autres fourberies et filouteries à prix coûtant tout en affichant son mépris au Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutterres. D'ailleurs, au Maroc, on s'en rappellera que le 28 Avril 2017 fut un sombre jour pour l'Armée de Gaid Salah, le Polisario et leurs soutiens résiduels à l'UA UE et aux Nations-Unies. Tellement, en raison de la mise en garde qui leur était faite par la Résolution 2351 du Conseil de Sécurité, le pouvoir Boutaflika s'y est mis en rétropédalage de désagrément diplomatique dans le vide. Au point d'en arriver à ce qu'un de ses diplomates à la réunion de Sainte-Lucie aux Caraïbes, se voyant écrasé de honte car ne devant être fier de soutenir une cause perdue, agresse physiquement son homologue marocain. Ce qui confirme, que chez certains parmi ces inclassables diplomates, il y eut une déception qui ne s'apaise toujours pas et qu'au demeurant ne peut se justifier par cette sorte de vocation de contrariété jusqu'à la violence, dont sûrement ils n'y arriveront jamais de s'en remettre.  

      A cet égard, faut-il le rappeler, n'est-ce parce que l'Histoire est une grande source d'inspiration de tout essayer pour éviter la guerre, que le Maroc avance sereinement dans ses choix de configuration géopolitique après son retour triomphal à l'UA ? S'ajoutant à ceux géostratégiques élaborés d'un pas royal maîtrisé avec CCG USA Chine Russie France Espagne Inde Japon Turquie et Pakistan, sans se laisser prendre dans le jeu méprisable du pouvoir algérien. Lequel, n'est-ce pas depuis le début, il ne fait aucunement dans la dentelle pour s'y opposer allant jusqu'à monter une usine à mensonges et contrevérités qui n'a d'égal nul part ailleurs ? Et, dont, Gaid Salah en a accepté la place de contre-maître, bien sûr, en se prenant dans ses contradictions sans se poser les vraies questions car il les a enfouies si profond pour ne les extérioriser au moindre contre-coup. Croyant ainsi, pouvoir trouver une sorte de revanche dans sa médiocrité de contre-sens à l'Histoire, pour ne pas être le damné poussant des cris inaudibles en usant que de sa litanie anti Maroc. Alors même que les observateurs internationaux veulent savoir où trouve-t-il le recours pour se faire accepter parmi les maîtres-chanteurs d'ici là, après toutes leurs défaites communes successives qui, normalement, devraient leur ôter l'espoir jusqu'à leur faire accepter le doute et l'idée du désespoir ? Ne peut-on même confirmer sans aucun risque de se tromper, qu'aujourd'hui, le Pentagone la CIA et le DEA en plus des services de renseignements français espagnols égyptiens israéliens japonais chinois et russes, les considèrent tous comme un amas de maintien du Polisario en survie au milieu de protubérances terroristes ? Sorte de faillite encore plus grave, par le tirage de la carte-zéro de Gaid Salah qui, lui, porte une volonté de destruction malveillante de la marche du Maroc pour la mettre en tendance déclinante rien que pour s'en faire valoir après.   

       D'ailleurs, si l'on prend la peine de scruter son passé à ce Général viscéralement anti Maroc, on trouvera bien le moment où il a basculé par insensibilité à l'Histoire du Grand Maghreb et à la recomposition d'aujourd'hui que vit l'Afrique derrière et à côté du Maroc, dans la catégorie des hauts officiers militaires algériens un peu suspects par leur menace qu'ils font planer sur la Mauritanie le Mali le Niger la Tunisie la Libye la Gambie et la Côte d'Ivoire. Dont il ne faut pas être un expert en stratégie d'analyse communicationnelle, pour en déceler chaque jour leur tendance de provoquer complotisme via métamorphose suspecte venant des structures de leurs rangs. Même si, aujourd'hui l'UA en sent dans leurs propos que de la démagogie, ces quelques gradés algériens impliqués que l'on pourrait appeler chercheurs-promoteurs de ''mutins potentiels'' au-delà du sens de leurs airs d'insatisfaits pour un oui ou pour un non dans ces pays africains, ils seront honnis par les peuples et donc à l'évidence deviendront non respectables au sein du ''G5 Sahel'' si ce n'est aussi dans le G5+5. Sauf si, sans continuer comme des imbéciles, ces insatisfaits sortent de cette obsession de déstabiliser l'Afrique où les pousse le malade Gaid Salah portant ses lunettes pour souligner sa malice et son optimisme démesuré dans cette nouvelle perfidie. Parce que, avec le temps, contrairement à l'Algérie en pleine autodestruction le Maroc a accumulé plus d’expérience pour comprendre qu'il y a une inspiration de revanche de la part des militaires algériens sur les pays de la région en se cachant derrière la notion d'ancrage d'un nouvel ordre pour conduire le combat sans cap ni gloire ni fin en vue. Alors, quoi faire face à cette théorisation de la déstructuration de toute la région devenue inflammable, sinon la contrer par des actes forts de vigilance sécuritaire et s'en débarrasser par mutualisation des investigations du développement dans la transparence ? 

       Mais, pourquoi après 43 ans et demi, même étant aujourd'hui hospitalisé lui aussi à Ain Naaja, ce n'est bizarrement ni le fait de mourir qui le préoccupe ni le désastre irrémédiable qui s'annonce imminent en Algérie boutaflikienne qui le dérange ? Du fait que, lui, en tant que gardien pendant tout ce temps du secret de Boumedienne d'avoir à épouser la thèse du séparatisme qu'avait porté après El Ouali Essaid avec ses compagnons, une fois qu'ils aient été mal traités par Oufkir et ses successeurs. Dont, comme par hasard en ce temps présent à Al Hoceima dans le Rif marocain, certains ne veulent ni réparer ce qu'ils appellent à tort ou à raison l’irréparable outrage à la cohésion et à l'unité du pays, ni sortir du bras de fer qui n'augure rien de bon. En tout cas, n'est-ce là un levier pour discuter, parce que le thème de la régionalisation-décentralisation-déconcentration qu'ils ressassent ici et là, est trop sérieux pour qu'il reste sous-forme d'œuvre-jouet aux mains de quelques souffleurs sur les braises de la haine et discorde des deux côtés de la barrière psychologique désormais visible entre les composantes sociétales et l'administration territoriale ? Dont il faut l'avouer, c'est l'une des premières conséquences des tergiversations pendant six mois à former un gouvernement, car, le Maroc ne peut se permettre cette façon de faire. N'est-ce pour cela, et je regrette de le dire aussi crûment au vu du résultat obtenu de l'entente dans la mésentente pour la formation de son gouvernement, alors qu'à l'international il est considéré au cœur des transformations numériques énergétiques et géopolitiques, il faudrait pour lui changer vite de braquet pour qu'il ne paraisse plus restant encore dans le sous-développement philosophique de l'action publique ?

       Cependant, c'est vrai que les choses se compliquent pour Gaid Salah qu'effectivement il n'est pas porteur d'une solution ou d'un élan, mais seulement de l'isolement de l'Algérie. D'ailleurs, autant le marteler sans gènes, n'a-t-il de par ce constat cuisant tout raté, jusqu'à ne vouloir se poser au plus profond des circonvolutions des hémisphères de son cerveau en souffrance à quoi cela lui a-t-il servi ? Tellement, d'après quelques indiscrétions, aujourd'hui le Polisario s'interroge et se demande si, oui ou non, il n'est pas le dindon de cette farce. Laquelle, bien entendu, a commencé avec Boumedienne le goupil mais très vite prise en main par le trublion Kadhafi, qu'en effet tous deux avaient reconnu de leur vivant qu'ils avaient mal manœuvré ou plutôt qu'ils s'y aient été mépris sur le compte de Feu Hassan II. A ce propos, n'est-ce là où toute la perfidie du temps passé au Secrétariat Général de l'ONU avec Ban Ki Moon et son délégué Christopher Ross, prend tout son sens déstabilisateur de la région, qu'évidemment Rex Tillerson n'a pas omis de le rappeler à Ramtan Laamamra le 17 Mai 2017 au DEA, en lui traçant les lignes rouges à ne pas franchir ? D'où la région MENA-Sahel subsaharienne africaine ne doit s'en trouver exposée à de perceptibles grondements terroristes jihadistes de Daech Aqmi et Boco Haram, que le Polisario ridicule qu'il est, en a envie de continuer d'imiter sur ordre du manitou Gaid Salah en bénéficiant de la logistique de Bachir Tartag. Sauf que, là où c'est incompréhensible, pourquoi continuent-ils à vouloir berner tout le monde, en se faisant passer comme une communauté retranchée dans l'oisiveté et la déréliction. Ne sachant, qu'ils sont épiés et donc montrés du doigt car ne pouvant plus avoir d'entrées et sorties dans les sociétés des militaires dans beaucoup de pays africains pour raison facile à deviner. A bon suiveur, bon décryptage !

3 commentaires:

  1. Bien que d accord avec vous. Vous suggère alléger votre texte. Le rendre conforme au mode de rédaction actuel des medías. Simple et clair. Vous torturez trop le texte. Merci.

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    1. Sans aucun doute, qu'au demeurant pourrait être compris comme coïncidant avec la marge de ma façon de relater certaines vérités, j'avoue que ce n'est pas facile d’alléger le contenu pour le rendre conforme comme vous le dites, au mode de rédaction actuel des médias. D'autant plus, je ne suis pas journaliste et je ne désir pas passé pour en être un, tout simplement pour éviter de tomber dans l'illusoire des idées reçues même par la soi-disant simplicité et la fausse clarté. Car, je ne nie pas l'existence parmi-eux de quelques proclamateurs seulement dans leur imaginaire, des contextualisations manipulées s'en détournant du réel non supportable pour leurs commanditaires. Alors, tout compte fait, je n'ai pas l’impression de vous avoir torturé ni vous ni le texte en question, car vous me paraissez à prime abord bien au diapason du fil d'actualités pour que cela vous tourmente. Salutations et merci de l’intérêt porté !

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    2. Correction ; (...et je ne désire pas passer...)

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