FACE A LEUR NON-SENS POLITIQUE DE PRISE DE LEURS RESPONSABILITÉS, L’INTÉRÊT DU MAROC N’EST-CE L’ÉVALUATION EN CONTINUE DE LA QUALITÉ DE SA VIGILANCE ?
Il est
maintenant clair à tout un chacun que le Maroc résiste à la trivialité du
département d’Etat américain, aux manigances de Ban Ki Moon et aux menaces
terroristes sous coupole de l’Algérie avec la convenance de la Mauritanie toujours
otage du non dit. D’autant plus qu'il le fait avec le succès que
l’on sait par la mise en application de son plan national sécuritaire, contrecarrant
ainsi la trilogie diffuse de leur ressemblance presque mafieuse. D’où l’on
trouve à juste titre qu’elle est contestable, car moins significative par rapport
à toute démarche relationnelle honnête voire diplomatique sainement entreprise.
Triste constat pour leur projet, et ce, dans la mesure où le Maroc s’est montré
capable de s’opposer à toutes leurs malveillances décrites ici et là de leur
représentation n’étant en vrai qu’une coquille d’illusions ! Dont le
passage de l’une à l’autre n’apporte rien à l’univers du vivre en paix, de surcroît ne montrant seulement qu’une circularité de multiples essais-renvois de
leurs croyances sans effet sur l’ordre des choses sur le terrain hautement
sécurisé coté marocain.
C’est là
précisément que le pouvoir algérien et la présidence mauritanienne paraissent
comme des fossoyeurs des tensions, en construisant des schémas
d’intelligibilité qui ne font plus appel à la retenue ni au bon voisinage. Même
s’il faut nuancer, justement, que toute la classe politique algérienne porte la
responsabilité du gâchis qui continue et du malaise qui perdure. Notamment face à la
légitimité du désir de création et de matérialisation du rapprochement avec le
Maroc par les peuples algérien et mauritanien. D’ailleurs, n’est-ce pas que sur
cette continuité qu’est fondée la fraternité entre marocains algériens et
mauritaniens raisonnables dans leurs environnements respectifs? Qu’effectivement aujourd’hui
n’ont leur place socio-économique culturelle cultuelle et sécuritaire politique
qu’au Maroc et nulle part ailleurs dans la région. Et, dont cette idée doit normalement peu à peu réduire les
invectives des gouvernants vis-à-vis du Maroc en allant vers une maîtrise de
plus en plus grande d’eux-mêmes.
Aussi, pour être
plus exhaustif dans ce raisonnement, les pouvoirs algérien et mauritanien désormais
qualifiés nécessiteux mais ne se privant de l’engrenage du luxe, ne se voient-ils
mangé peu à peu par les excroissances des libertés matérielles et immatérielles
du Royaume du Maroc ? Dont l’analyse politique du progrès enregistré par
ce dernier, montre facilement qu’il déborde le domaine des besoins fondamentaux et du développement pléthorique, avec rendement non stéréotypé que la présidence
en Mauritanie daigne à ne pas intégrer dans son logiciel. Néanmoins, de par
leur citation en tant que partie prenante concernant l’affaire du Sahara
marocain, ne sont-ils le visage de l’aliénation et dépossession
d’eux-mêmes ? Parce que s'il est facile de démontrer le mécanisme de leur
machiavélisme producteur de malveillances anti Maroc au nom du mensonge
tricherie et contrevérité, la tache est plus ardue quand il s’agit de détruire
leur tentative de séduction notamment sur les pays de la région surtout sur quelques
foyers résiduels jaloux de l’époque Benali en Tunisie.
Alors, par
conséquent, que faire dans ces conditions, face à cette interminable cascade de
jeux de souffrance régionale, s’ajoutant aux manipulations systématiques dont
sont victimes les ONG et sociétés civiles dans ces pays ? S’additionnant
au désespoir qui ronge leurs populations qu’au demeurant tous les éléments
de sa production sont devenus finalité sournoise de freiner les tentatives et
essais d’envols marocains vers l’émergence sociale économique cultuelle
culturelle et institutionnelle politique. Voilà pourquoi il n’est plus si aisé pour
quiconque de remettre en question la détermination du Maroc d’aller de l’avant,
et/où se mêlent dans sa ligne directrice le respect des droits humains et la reconnaissance du droit de chaque pays du Grand Maghreb à réaliser ses programmes
de développement selon ses potentialités géopolitiques et opportunités stratégiques.
Comme d'ailleurs ce qu’a fait le Maroc en anticipant par ses atouts en tant que pays
sérieux méritant confiance, d’abord sur le déplacement du centre d’intérêt à
l’international à tout point de vue dans les dix prochaines années vers l’Inde la Chine la Russie
l’Asie du Sud-Est et toute l’Afrique. Puis, sur les priorités de faire voir et valoir le
saut qualitatif de sa diplomatie offensive dotée de soutien surtout de la France
Espagne des pays du CCG Chine Turquie Pakistan Japon Russie et autres pays d’Amérique
Centrale et du Sud ainsi que des pays africains.
Et pourtant, c’est
bien dans la perspective de confrontation entre structuralisme étatique
marocain civil et militaire très fort allant de l’avant et, présentation
idéologique comme une pure et simple jalousie de la Mauritanie surexcitée voire
Tunisie médusée et à plus forte raison du pouvoir algérien tétanisé, que l’on
peut situer certains aspects du prolongement de la mort géostationnaire du
Grand Maghreb. Ce qui, certainement, aiderait à les analyser et à en comprendre
les dessus-dessous pour découvrir tous les nœuds des thèmes des diverses malveillances
antis Maroc et aussi l’ampleur de leur corrélation. Notamment en les
utilisant en tant que socle d’investigations stratégiques pour trouver aisément
une explication ou une référence pouvant aider à l’assimilation des tendances
géopolitiques dans toute la zone Euro-Med Maghreb et bande Sahélo subsaharienne
africaine. Là aussi l’analyse structurale du désir de déflagration guerrière dont
on entend de temps en temps la juxtaposition des bruits dans la région, n'est-elle en
fait à l’œuvre qu’on ne le veuille ou pas ? Dans la mesure où l’activité
diplomatique belliciste par filiation de certains missionnaires rodant autour, s’explique
à plusieurs niveaux refusant malencontreusement tout mouvement de rappel
historique pour ne considérer que la permanence de la concurrence sinon l’adversité
Maroc-Algérie par les faits empiriques.
Cependant, et c'est là où le bas blesse, n’y a-t-il
là dedans un fait tangible dont il semble que les diplomates en Mauritanie n’en
tiennent pas compte, car sont subjugués par le rôle locomotive que les USA leur
miroitent dans le G5 d’Afrique subsaharienne ? Même sachant pertinemment
que le Maroc déjoue les ordinations du Secrétaire Général de l’ONU qui sont la
pensée même du département d’Etat américain voulant déstructurer les pays d’Afrique
du Nord et la bande sahélo africaine. Aussi, les structures mentales actuelles
de la ligue arabe ne peuvent aucunement changer ce dilemme régional, surtout
par des Sommets à l’emporte-pièce dont le Maroc n’en veut plus ayant dit
souverainement courageusement ce qu’il en pense. En effet, on retrouve là le problème tel
qu’il est formulé aujourd’hui par bon nombre d’observateurs sur l’inefficacité pour faire éviter à la ligue arabe cette continuelle douleur. A cet égard, ne faut-il pour
cela mettre sur pied un conclave de maturation des idées de normativité de
revigoration du monde arabe en déliquescence, pour remédier au profond désarroi dans lequel se débattent les peuples ? En fait, pour la Mauritanie dans son désir d'organiser le Sommet de la ligue arabe, l’accessibilité à cette révision intégrale s'impose avec acuité. Malheureusement son chemin est plein d’embûches au vu qu'elle n'est nullement souveraine pour ça, ne pouvant lutter contre l'inexorable joug du pouvoir algérien sur tous ses fonctionnements.
A cet égard, n’est-ce
là où l’on voit que la Mauritanie n’est pas capable d’affirmer les mêmes
valeurs que le Maroc, du fait non pas simplement d’avoir été conditionnée mais
de ne s’être normée elle-même en posant des fins de non recevoir au pouvoir
algérien en fin de vie ? Pauvre Mauritanie en l’occurrence ! Parce
que placée désormais dans l’ordre de l’alchimie terroriste dont les tenants et
aboutissants s’efforcent de la presser davantage par le chantage sur sa
stabilité fragile de par la guéguerre ethnoculturelle larvée existante. De
telle sorte qu’elle ne puisse rester malgré tout en dehors de sa neutralité
d’antan dans l’affaire du Sahara marocain, en alimentant en plus une polémique aussi
confuse qu’inappropriée sur le Futur du port de Dakhla qui serait la pierre
angulaire géostratégique des échanges commerciaux internationaux, et non pas
Nouadhibou concernant le développement de l’Afrique subsaharienne. En faisant délibérément
abstraction des termes des règles des possibilités nombreuses de collaboration
tripartite Sénégal-Mauritanie-Maroc pour le bien de l’économie et du commerce
transafricains. A bon suiveur bon décryptage !
Un article qui aurait pu être très intéressant et qui aurait beaucoup gagné si le style de français était plus simple et plus fluide. Les phrases sont trop longue et les idées ne trouvent pas l'expression la plus simple pour être exprimées.
RépondreSupprimerMerci quand même pour l'article.
Ce qui compte dans mon blog, c'est d’être suivi par plus 55000 lecteurs assidus sans compter Facebook Twiter et autres moteurs à travers le monde, et qu'à chaque nouveau article d’être lu par plus de 3000 suiveurs en moins de 24h. Le reste n'a pas d'importance surtout venant de gens dont on n'a encore lu à ce jour le moindre essai d'analyse ou décryptage du fil d'actualités. J'en conviens que c'est rudement codé, et c'est pour ça qu'il y a la mention à la fin '' A bon suiveur bon décryptage''. Vraiment toutes mes salutations à vous!
SupprimerContinuez à nous régaler Monsieur, c'est toujours un plaisir de vous lire
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