jeudi 23 juin 2016

C’EST QUOI CES SIGNAUX SUBLIMINAUX PAR MÉTAPHORES-RÉQUISITOIRES INJUSTES, DES POUVOIRS ALGÉRIEN ET MAURITANIEN CONTRE LE MAROC ?

LE MAROC EN DÉCRYPTAGE CONTINU DES ESSAIS-MISSIONS D’OUVERTURE DES PORTES DE L’ENFER AU GRAND MAGHREB, DE LA PART D’ALGER NOUAKCHOTT ET SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU.

       L’Algérie entre pétrole et misère, ne se dirige-t-elle vers le chaos sans trouver inspiration de résoudre ses échecs itératifs socio économiques par suite de mauvaise gouvernance, s’ajoutant à ceux culturels identitaires désolants à tous les points de vue ? Ni même, d’assurer rétroaction politique structurelle de repentir pour s’en sortir et échapper à ‘’Adieu pouvoir algérien, Bonjour la Kabylie le Chaouia le Touarguis le Sahara oriental marocain spolié et d’autres contrées’’. Contrairement au Maroc stable, qui, lui, est dans son dynamisme politico-institutionnel sécurisé et évolutif via des processus d’excellence exécutive socio économique écologique culturelle et cultuelle. Et ce, pour la finalisation cohérente de son objectif de surveillance de tels essais incendiaires à Alger Nouakchott et au Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon voulant saper cette tendance marocaine vers l’émergence.

       Alors, face à cette situation, que peut-on dire de la Mauritanie productrice du doute existentiel de la paix au Grand Maghreb, du fait qu’elle est protectrice de la route de Daech vers le Golf de Guinée ? A cet égard n’est-elle dans son rêve de vouloir sans pouvoir, exploiter la mésentente Maroc-Algérie par son jeu balançoire dans l’affaire du Sahara marocain ? Ne sachant qu’à l’origine, son installation à elle sur le prolongement du Maroc n’était qu’une étape militaire de descendre vers le Sud de la part de la France et l’Espagne. Pour s’emparer des centres miniers et commerciaux particulièrement sur la route de l’africité marocaine, n’ayant malheureusement aboutit par jalousie depuis l'époque de Feu Boumedienne qu’à l’imbroglio onusien en ce temps présent sur le Sahara marocain. Qu’au demeurant, effectivement, cette tendance est devenue presque une foire annuelle fondée sur marchandisation et échange des voix au Conseil de Sécurité de l’ONU dans ce conflit qui n’a que trop duré.

       Néanmoins par ailleurs, devant une telle problématique, que doit faire aujourd’hui le Maroc pour remédier à ça, alors même que les marocains sahraouis s’y étaient exprimés dans la transparence au niveau de la pratique pour la contribution à la qualité de la démocratie lors des élections locales et régionales du 04 Septembre 2015 ? Ne doit-il lui-même en tant que pays expert censé et responsable en sécurité mondialisée tout comme ses alliés géopolitiques et stratégiques, de s’inscrire dans l’évolution de disposer d’outils référentiels de lutte sans merci contre les infiltrations. A même militairement contre les harcèlements territoriaux réputés gravissimes venant du Polisario de l’Algérie et de la Mauritanie à l’intérieur des zones de séparation ? C’est ainsi, qu’en plus, voyant sa population sahraouie civilement s’associer à la gestion de proximité avec la manière idoine de se prendre elle-même en charge pour son bien-être, le Maroc n'a plus de choix que de conserver coûte que coûte, diplomatiquement, la proéminence de son offre d’autonomie gestionnaire de son Sahara dans la régionalisation avancée pour les 03 régions Dakhla-Laayoune-Gelmim. Sans tenir compte des récentes attitudes non bien calculées de la Mauritanie à Mauritel à Attijariwafa Bank et autres Sociétés étatiques envers lui. De surcroît cachant d’autres surchauffes annonçant des bruits de bottes, dont personne ne peut nier qu’il s’agisse d’envenimation relationnelle dictée par les envies d’hypertrophie frontalière algérienne.

       Cela ne signifie-t-il que le travail de la machine diplomatique marocaine, particulièrement le noyau qui traite de l’information géopolitique et stratégique, ait été parfaitement dans la vigilance et la maîtrise par les décryptages de toutes les malveillances. Dans la mesure où sûrement cette machine humaine a pu mettre à jour des raisonnements encore inconnus du marocain lambda, par manque d’échange informatif en ON et non par dépassement de ses forces de compréhension. Or, qu’on ne le veuille ou pas, à ce double égard aujourd’hui, ni l’aide de Ban Ki Moon à l’Algérie ni l’emprise du Département d’Etat américain sur la présidence en Mauritanie ne présentent de prime abord un intérêt géostratégique de stabilité régionale. Si ce n’est, seulement, géo-politiquement encourager le pouvoir algérien à continuer à vouloir s’élancer militairement via le Polisario vers l’Ouest pour réaliser son rêve d’avoir un comptoir sur l’Atlantique. Notamment par l'usage d'effet de surprise et donc le fait accompli tout en offrant un champ d’exploration à la nébuleuse terroriste. Sans en nier la part importante des aides-encouragements des lobbyings occidentaux surtout américains aspirant s’approprier de ce conflit-tiraillement Rabat-Alger pour pousser au déclenchement du remembrement de tous les pays de la région. Sauf qu'il ne faut pas se leurrer, le Maroc n'est pas né de la dernière pluie pour se laisser berner à ce point, il a sûrement placé le meilleur dispositif pour verrouiller ses frontières de manière à contrôler à tout instant toute inimitée de quelle origine qu'elle soit et d'y répondre de façon éclair terriblement énergique. Même sortant des commodités, comprendra qui voudra!  

       Voilà pourquoi, même si, pour le président mauritanien sa stratégie constitue d’après lui un défi où il n’y a pas la moindre fausse note, comment expliquer le scepticisme dans lequel l’Egypte Soudan Liban CCG Libye et même Israël quelque part son bailleur de fonds, n’accueillant pas d’un bon œil sa préparation du Sommet Arabe sans garantie de n’harceler le Maroc qui, lui, l’eut souverainement évité. N’est-ce cela prouve sans aucune humiliation ni snobisme, que la Mauritanie ne pourrait un jour être l’élément incontournable sur le plan diplomatique dans le règlement du conflit au Sahara marocain ? Car seule l’Algérie est la clé de voûte, dont malheureusement sa diplomatie belliqueuse à tendance guerrière de par l’escalade qu’elle mène vis-à-vis du Maroc, n’est autre qu’une activation sournoise du processus de descente aux enfers de toute la région Euro Méditerranée Maghreb et bande Sahélo subsaharienne africaine. Alors que cette étendue géographique est déjà devant un paroxysme ethnoculturel-cultuel qui certainement aura un coût élevé de prise en charge terroriste hors portée de tous les pays qui la constituent si rien n’est rattrapé.

       C’à quoi, en résumé, que le pouvoir algérien et la présidence mauritanienne cessent de parler par métaphores, puisqu’en vrai ils prononcent leurs réquisitoires combinés injustes contre le Maroc. Sachant, pertinemment, qu’il y a des pays et non les moindres qui n’acceptent ni leurs tergiversations ni les manigances de Ban Ki Moon, en tentant de faire bouger les choses d’abord sur le recensement des séquestrés marocains dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs, puis sur les détournements des aides humanitaires et le financement de l’armement du Polisario s’alliant à la tactique militariste à outrance du pouvoir algérien. A bon suiveur bonne lecture !   

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