NE S’AGIT-IL DU DISCOURS ROYAL DE L’OFFRE DE LA DERNIÈRE CHANCE POUR L’ALGÉRIE DE SE RACHETER ?
Désormais au Maroc,
il n’y a plus de place aux traîtres comme aux opportunistes bi-intentionnés
dans l’affaire du Sahara marocain. Dès lors que ces derniers temps, s’étendait
l’immense inquiétude chez les marocains, surtout les diplomates et autres fins
analystes politiques à propos d’un stratagème qui se trame dans les coulisses
onusiennes pour piéger le Maroc dans son Sahara. Dont le Roi Mohamed VI en a
esquissé précisément les relents dans son discours du 06 Novembre 2014 au
trente neuvième anniversaire de la Massira. C’est d’ailleurs le sens et le fond
de l’accélération marocaine pour anticiper ces agissements malintentionnés, d’où
la structuralité sans ambages de ce discours royal.
Evidemment,
c’est ce que confirme sa HRP (Haute Résonance Politique) à l’international, sur l’intérêt de ce sursaut de prévenir cette tendance échangeuse de mensonges
et contrevérités. C’est vrai, le ton y était poignant avec sérénité qui n’a d’égal
que sa valeur souveraine dans les temps qui courent. S’appropriant d’abord dans
le style, la clarté dans les propos face à l’Algérie, s’ajoutant à la
communication-messagerie directe de l’intransigeance dans le positionnement vis-à-vis
de toute traîtrise. Puis dans l’intonation, l’utilisation pour la première fois
d’un NON expressif fort et sans équivoque, s’adressant aux nationaux comme aux
étrangers usurpateurs usant de tromperie syndrome des fausses béquilles de
fausse rectitude. Parce qu’il s’agit d’opportunisme purement malveillant de
leur part, dont le Roi est venu dresser le bilan des trente neuf années d’utilisation
de leur schizophrénie comparative, voire mutualisée parfois par ricochet entre eux du
point de vue de la structure de la haine qu’ils portent sans raison valable au
Maroc.
Ce faisant à l’évidence,
c’est ce qui a d’emblée boosté les marocains humbles et honnêtes, hommes et
femmes petits et grands à se concentrer
davantage, en raison du climat de confiance que suscita la spécificité de la
teneur de ce discours d’ontologie. En l’occurrence, du coup, se voyant mémorablement porter
par l’ivresse-liesse de reconnaissance à la détermination royale exprimée par un talent
politique clairvoyant, ayant souligné un point essentiel dans l’offensive
marocaine qui n’est autre que l’obligation de rester dans la vigilance absolue.
Notamment, vis-à-vis des manipulateurs-analystes géopolitiques soufflant des
vents d’idées, dont tout un chacun connait désormais les bas-rebonds pernicieux.
Car, il faut le dire, y’en a marre de ces exacerbations aiguës importées d’un temps l’autre pour narguer le Maroc, qu’en
plus apportées dans différentes recommandations algériennes en ce qui concerne
la prise en charge de la MINURSO du volet des droits de l’homme dans le Sahara
marocain. Notons que ce n’est pas la première fois, qu’en effet auparavant ils
avaient déjà essayé de franchir de la sorte l’étroite bande de confiance de la représentativité que normalement l’ONU doit objectivement montrer. N’est-ce là, dans ce discours
précisément, le Roi du Maroc a dévoilé
la nécessité d’un bon usage de la sagesse (Hikma) du Conseil de Sécurité de l’ONU par les faits
et non les paroles, en accordant plus d’attention à l’offre maxima marocaine
d’autogestion équitable et viable dans le cadre de la régionalisation avancée, quoiqu’en
disent les maquilleurs des faits historiques?
Mais, est-ce
qu’aujourd’hui trente neuf ans après, on ne peut pas dire que le capital
mémoire de la Massira, fait partie de la richesse de l’histoire immatérielle du
pays ? En tout cas, on n’a pas besoin de creuser ni sociologiquement ni psychologiquement et encore moins politiquement
pour s’en convaincre. Car, d'autant plus ça saute aux yeux de voir l'effort colossal de développement matérialisé à coup de gros budgets sur le terrain et consenti par les marocains, même entre les réussites et les
déceptions par rapport aux gouvernances successives qu’a connues le Sahara marocain depuis. En ce sens, est-ce ce que les jeunes marocains sahraouis d’aujourd’hui
et demain, sauront-ils scruter le déterminant immatériel de cet épisode et en
exploiter positivement les leçons politiques ? Bien sûr que Oui, surtout en
s’appropriant les moyens institutionnels et constitutionnels avec
responsabilité et abnégation, dès lors que l’accélération du processus de la
régionalisation avancée est annoncée par le souverain. Tout simplement en
révisant de fond en comble le mode de gouvernance par eux-mêmes, loin des
essais de manipulation de l’essentiel et surtout sans repousser aux calendes grecques
les délais de concrétisation de la démocratie participative.
Et oui, ce
discours royal de la fermeté, de la détermination et du recadrage de
maximalisation des initiatives et attributions de la souveraineté marocaine,
est un tournant décisif dans l’histoire de ce conflit préfabriqué. Mettant la
communauté internationale devant ses responsabilités, l’exhortant de sortir du
jeu irrationnel petro-dinar-dépendant décevant, allant à contresens de la
vérité historique. A cet égard, le Maroc n’a-t-il de tout temps montré sa
disponibilité et son souci de collaborer avec l’ONU sur bien de sujets tout
aussi sensibles, qu’en plus il est le seul pays de la région se trouvant sur
les rails de la démocratie évolutive sans surchauffe ni tension ethno-tribale ?
Contrairement à l’Algérie tanguant dangereusement, parce que nourrissant la
chronique d’une historicité événementielle gouvernementale pathétique.
Tellement, progressivement, partout on a
énormément glosé sur ses virages de mauvaise perspective dans le choix
démocratique de sa gouvernance, dont malheureusement le slogan politique c’est
« rester en transe anti Maroc coûte que coûte ». A même d’en soudoyer encore plus les traîtres sous-mariniers enragés qui sont restés sous sa
coupole, et aussi les politiques étrangers bi-intentionnés de surcroît amphotères
dans leurs positionnements selon les opportunités.
Finalement, en
étant plus clair, que le pouvoir algérien soit tranquille ! Jamais le
Maroc tel qu’il est bâti depuis des siècles, ne se laisserait dépasser par les
chimères et les mirages des séparatistes et leurs portes attachés-cases. Sa
stabilité passe avant tout, usant de son expertise dont personne n’en nie
l’efficacité, et/où n’en peut l’attaquer sur quel plan que ce soit. C’est même
devenu un art de gouvernance sécuritaire labellisé reconnu, recherchant continuellement
les moyens pour faire face aux dangers endogènes et exogènes sous contrôle du
parquet spécialisé. D’autant plus, au niveau du respect des droits de l’homme, le
Maroc devance haut la main l’Algérie et de quelle manière, de sorte que tout un
chacun le sait, elle est le dernier pays qui peut parler de ce volet. Voilà, c’est
là encore un point fort du discours, ayant levé le voile sur les attouchements
des ONG corrompues avec le pouvoir algérien, au demeurant longtemps leur agence-billetterie
préférée, malheureusement au détriment du mieux vivre du peuple frère algérien.
A dire vrai,
toutes ces ONG petro-dinar-dépendantes ne pourront jamais trouver leur marque,
du fait de leur servilité connue à un pouvoir rancunier portant sa rancœur à son cash-flow plus
de cinquante ans. Dont ses médias n’en démordent pas en ce moment, s’étant
rentrés dans une phase rageuse coléreuse vis-à-vis du Maroc par suite aux
répercussions internationales du discours du souverain marocain. A bons
suiveurs bonne lecture !
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