dimanche 9 novembre 2014

Y’EN A MARRE DES DIGRESSIONS POLISARIENNES ET, SURTOUT DES PARASITAGES ALGÉRIENS SOUS CONTRÔLE SOUS-ADJACENT USAEN-ONUSIEN !

NE S’AGIT-IL DU DISCOURS ROYAL DE L’OFFRE DE LA DERNIÈRE CHANCE POUR L’ALGÉRIE DE SE RACHETER ?

       Désormais au Maroc, il n’y a plus de place aux traîtres comme aux opportunistes bi-intentionnés dans l’affaire du Sahara marocain. Dès lors que ces derniers temps, s’étendait l’immense inquiétude chez les marocains, surtout les diplomates et autres fins analystes politiques à propos d’un stratagème qui se trame dans les coulisses onusiennes pour piéger le Maroc dans son Sahara. Dont le Roi Mohamed VI en a esquissé précisément les relents dans son discours du 06 Novembre 2014 au trente neuvième anniversaire de la Massira. C’est d’ailleurs le sens et le fond de l’accélération marocaine pour anticiper ces agissements malintentionnés, d’où la structuralité sans ambages de ce discours royal.

       Evidemment, c’est ce que confirme sa HRP (Haute Résonance Politique) à l’international, sur l’intérêt de ce sursaut de prévenir cette tendance échangeuse de mensonges et contrevérités. C’est vrai, le ton y était poignant avec sérénité qui n’a d’égal que sa valeur souveraine dans les temps qui courent. S’appropriant d’abord dans le style, la clarté dans les propos face à l’Algérie, s’ajoutant à la communication-messagerie directe de l’intransigeance dans le positionnement vis-à-vis de toute traîtrise. Puis dans l’intonation, l’utilisation pour la première fois d’un NON expressif fort et sans équivoque, s’adressant aux nationaux comme aux étrangers usurpateurs usant de tromperie syndrome des fausses béquilles de fausse rectitude. Parce qu’il s’agit d’opportunisme purement malveillant de leur part, dont le Roi est venu dresser le bilan des trente neuf années d’utilisation de leur schizophrénie comparative, voire mutualisée parfois par ricochet entre eux du point de vue de la structure de la haine qu’ils portent sans raison valable au Maroc.

       Ce faisant à l’évidence, c’est ce qui a d’emblée boosté les marocains humbles et honnêtes, hommes et femmes petits et grands à se concentrer davantage, en raison du climat de confiance que suscita la spécificité de la teneur de ce discours d’ontologie. En l’occurrence, du coup, se voyant mémorablement porter par l’ivresse-liesse de reconnaissance à la détermination royale exprimée par un talent politique clairvoyant, ayant souligné un point essentiel dans l’offensive marocaine qui n’est autre que l’obligation de rester dans la vigilance absolue. Notamment, vis-à-vis des manipulateurs-analystes géopolitiques soufflant des vents d’idées, dont tout un chacun connait désormais les bas-rebonds pernicieux. Car, il faut le dire, y’en a marre de ces exacerbations aiguës importées d’un temps l’autre pour narguer le Maroc, qu’en plus apportées dans différentes recommandations algériennes en ce qui concerne la prise en charge de la MINURSO du volet des droits de l’homme dans le Sahara marocain. Notons que ce n’est pas la première fois, qu’en effet auparavant ils avaient déjà essayé de franchir de la sorte l’étroite bande de confiance de la représentativité que normalement l’ONU doit objectivement montrer. N’est-ce là, dans ce discours précisément,  le Roi du Maroc a dévoilé la nécessité d’un bon usage de la sagesse (Hikma) du Conseil de Sécurité de l’ONU par les faits et non les paroles, en accordant plus d’attention à l’offre maxima marocaine d’autogestion équitable et viable dans le cadre de la régionalisation avancée, quoiqu’en disent les maquilleurs des faits historiques?  

       Mais, est-ce qu’aujourd’hui trente neuf ans après, on ne peut pas dire que le capital mémoire de la Massira, fait partie de la richesse de l’histoire immatérielle du pays ? En tout cas, on n’a pas besoin de creuser ni sociologiquement ni psychologiquement et encore moins politiquement pour s’en convaincre. Car, d'autant plus ça saute aux yeux de voir l'effort colossal de développement matérialisé à coup de gros budgets sur le terrain et consenti par les marocains, même entre les réussites et les déceptions par rapport aux gouvernances successives qu’a connues le Sahara marocain depuis. En ce sens, est-ce ce que les jeunes marocains sahraouis d’aujourd’hui et demain, sauront-ils scruter le déterminant immatériel de cet épisode et en exploiter positivement les leçons politiques ? Bien sûr que Oui, surtout en s’appropriant les moyens institutionnels et constitutionnels avec responsabilité et abnégation, dès lors que l’accélération du processus de la régionalisation avancée est annoncée par le souverain. Tout simplement en révisant de fond en comble le mode de gouvernance par eux-mêmes, loin des essais de manipulation de l’essentiel et surtout sans repousser aux calendes grecques les délais de concrétisation de la démocratie participative.

       Et oui, ce discours royal de la fermeté, de la détermination et du recadrage de maximalisation des initiatives et attributions de la souveraineté marocaine, est un tournant décisif dans l’histoire de ce conflit préfabriqué. Mettant la communauté internationale devant ses responsabilités, l’exhortant de sortir du jeu irrationnel petro-dinar-dépendant décevant, allant à contresens de la vérité historique. A cet égard, le Maroc n’a-t-il de tout temps montré sa disponibilité et son souci de collaborer avec l’ONU sur bien de sujets tout aussi sensibles, qu’en plus il est le seul pays de la région se trouvant sur les rails de la démocratie évolutive sans surchauffe ni tension ethno-tribale ? Contrairement à l’Algérie tanguant dangereusement, parce que nourrissant la chronique d’une historicité événementielle gouvernementale pathétique. Tellement, progressivement, partout on a énormément glosé sur ses virages de mauvaise perspective dans le choix démocratique de sa gouvernance, dont malheureusement le slogan politique c’est « rester en transe anti Maroc coûte que coûte ». A même d’en soudoyer encore plus les traîtres sous-mariniers enragés qui sont restés sous sa coupole, et aussi les politiques étrangers bi-intentionnés de surcroît amphotères dans leurs positionnements selon les opportunités.

       Finalement, en étant plus clair, que le pouvoir algérien soit tranquille ! Jamais le Maroc tel qu’il est bâti depuis des siècles, ne se laisserait dépasser par les chimères et les mirages des séparatistes et leurs portes attachés-cases. Sa stabilité passe avant tout, usant de son expertise dont personne n’en nie l’efficacité, et/où n’en peut l’attaquer sur quel plan que ce soit. C’est même devenu un art de gouvernance sécuritaire labellisé reconnu, recherchant continuellement les moyens pour faire face aux dangers endogènes et exogènes sous contrôle du parquet spécialisé. D’autant plus, au niveau du respect des droits de l’homme, le Maroc devance haut la main l’Algérie et de quelle manière, de sorte que tout un chacun le sait, elle est le dernier pays qui peut parler de ce volet. Voilà, c’est là encore un point fort du discours, ayant levé le voile sur les attouchements des ONG corrompues avec le pouvoir algérien, au demeurant longtemps leur agence-billetterie préférée, malheureusement au détriment du mieux vivre du peuple frère algérien.

       A dire vrai, toutes ces ONG petro-dinar-dépendantes ne pourront jamais trouver leur marque, du fait de leur servilité connue à un pouvoir rancunier portant sa rancœur à son cash-flow plus de cinquante ans. Dont ses médias n’en démordent pas en ce moment, s’étant rentrés dans une phase rageuse coléreuse vis-à-vis du Maroc par suite aux répercussions internationales du discours du souverain marocain. A bons suiveurs bonne lecture !           

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire