dimanche 10 novembre 2013

L’ANNÉE 2014 SERA SANS ÉQUIVOQUE NI DOUTE, CELLE DE L’ENCLENCHEMENT ONUSIEN DU MEILLEUR DESTIN DU SAHARA MAROCAIN !

       L’arithmétique dans l’art diplomatique marocain pluriel ne peut être vraiment efficace que si tous nos diplomates officiels et officieux connaîtraient bien leur dossier sur tout plan anthropologique sociologique culturel cultuel et politico historique. Ainsi, leur accréditation doit être un levier de différenciation dans les démarches de recrutement s'inscrivant dans une optique de maîtrise des préoccupations essentielles en plus des sécurisations de leurs contacts et de leurs rapports rendus en ce sens. Tout simplement pour qu’ils puissent user d’approche relevant de détails d’un niveau plus fouillé dans cette affaire préfabriquée par Boumediene et Bouteflika au lendemain du sommet tripartite algéro-maroco-mauritanien d’Ifrane en 1972. Notamment, ce qui touche d’abord l’historicité événementielle du montage des influences intrinsèques coté défavorable pour en comprendre la suite des mécanismes de flux et reflux des positionnements des groupuscules pro-polisariens. Et, ensuite coté favorable du coup de génie hassanien d’avoir pu anticiper les clashs onusiens en ces temps-là de dichotomie idéologique, dont beaucoup de receleurs de l’inventivité informationnelle suspecte en ont oublié le poids d’alors.

       N’est-ce pas le Maroc nouveau sous le Roi Mohamed VI, doit continuer par le raisonnement concis précis à montrer du doigt les manigances d’interactions politico structurées extrinsèques d’ONG et leurs relais conglomérats présides sub-étatiques ? Et en plus se soucier d’où elles viennent, particulièrement celles émanant de l’Algérie officiellement billettiste puisant dans la richesse du peuple et à ses dépens. Evidemment, qu'elles sont tout bonnement à visée d’écran de fumée pour cacher les pires atrocités de torture et dépassement de respect des droits de l’homme dans les camps du terrorisme et de la honte. Soutenant aveuglement même ces entités fantoches, voire dédommagement sans fondement ni avis du peuple honorable algérien, longtemps à l'écart au vu de sa saignée socio économique. Ne se taisant plus, de par leur dépendance devenue désagréablement coutumière aux fluctuations petro dinars que tout le monde connaît désormais. Et dont certains de nos diplomates portes attachés-cases recevant les coups mais n’absorbant pas les chocs seulement les transmettant, doivent se bouger pour décrier cet état de fait et ne plus considérer leur prolongement en fonction une priorité d'apaisement seulement. D’autant plus se cramponnant aux ténors, lesquels, se croyant incontournables pour faire face aux éventuels maux et déconvenues pouvant s’immiscer dans les efforts d’initiation des nouveaux arrivants.  

       En conséquence, alors que le temps diplomatique dans cette affaire se raccourcit jouant un rôle clé dans les chancelleries dynamiques et au fait des aléas, voilà une modeste note-synthèse à décortiquer pour sortir notre diplomatie officielle et parallèle des sentiers battus. Parce qu’elle a tendance manifestement souvent à tirer ses réjouissances à chaque moment paroxystique, par contre-balancement vers la réactivité et non l’action par l’anticipation. Sauf que, c’est toujours le cas ces dernières années, ce sont d’extraordinaires inductions de dissolution des malentendus après interventions royales, néanmoins constitutionnellement indispensables à la marche diplomatique, qui soudainement assuraient ces réjouissances. Ce qui explique les malaises de toutes sortes de par réflexions et attitudes des ennemis et récalcitrants à l’égard de cette méthodologie de dernier sprint du Maroc, car ne pouvant aucunement ébranler l’aura de Sa Majesté le Roi Mohamed VI , lequel ne cesse de s'élargir géo-stratégiquement et s'agrandir bilatéralement rationnellement sensationnellement dans le concert des chefs d'Etats. En ce sens d’un discours royal à l’autre, les scrutateurs les plus vaillants commencent à isoler les gènes de mal gouvernance responsables des nombreuses pannes dans l’affaire du Sahara marocain.

       Vraiment est-ce que le contexte particulier de cette année en attendant d’évaluer correctement l’impact de la méthodologie préconisée par le CESE, ne doit-il pas imposer un toilettage sans vergogne des recoins du mammouth diplomatique dévoreur de devises parfois par transfèrement infructueux voire inutile ? En plus de redistribution des compétences de manière qu’elles s’adaptent aux nouvelles exigences de leur mise à niveau dictée par l’intérêt du pays. S’ajoutant à la mobilisation de toutes les composantes sociétales civiles et étatiques, en gardant toujours en mémoire les objectifs à continuer à réaliser pour garantir aux marocains davantage de dignité (Alkarama) dans la sécurité et l’unité. Ce que les mentalistes structuralistes pourraient expliquer par l’infiniment réaliste des marocains usant des avancées sur le plan du respect des droits de l’homme et grandes réalisations infra-structurelles par rapport à l’éloignement infiniment grotesque et chimérique des pro-polisariens s’opposant à tout point de vue à la thèse marocaine. Dont l’arrêt des discussions directes officielles où non entre le Maroc et le Polisario, est souvent qualifié de prédisposition secondaire évidente aux interférences algériennes. Que par ailleurs beaucoup d’observateurs internationaux estiment que ces prévalences répétitives sont dues à la surcharge et au surmenage du Polisario par l’épiage subi n’arrivant plus à en acquiescer voire à en supporter la rythmique.  

       Pour cela, il faut savoir user de tact en démontrant une grande aptitude à réconcilier les priorités de chacune des composantes, pour une meilleure intégration des nouvelles données susmentionnées par le CESE sur le terrain. Parce que, outre ce signe de reconnaissance des nouveaux droits civils et politiques, la diplomatie travaillant d’arrache pied avec abnégation, en prenant des initiatives réfléchies selon modérabilité calculée des opportunités, s’en trouverait écoutée et encouragée dans son exercice noble. Sachant d’emblée, ce n’est plus le courage de le faire qui manque après la salve coléreuse des derniers discours royaux, sous-entendant la levée de l’autocensure. Pour ne laisser aucune entité où structure-relais adverse sans scruter leur fonctionnalité et leur médiagénie corrompue partiale, laquelle est sans fondement seulement sous forfanterie bouteflikienne. Qu’en fait, Mezouar, ça l’aiderait dans son rôle de chef de la diplomatie dans toutes les circonstances pour contrer les forfaitures de ces enragés des disettes et racontars. Surtout la cohorte généralissime officielle algérienne Laamamra-dépendante, s’appuyant sur certains entichés du concubinage d’intérêts à l’étranger voulant donner raison aux rapports pessimistes et études scandaleuses de mercenaires administratifs.

       Mais, on ne saurait omettre le branle-bas de combat  qui annonce au delà des tergiversations gouvernementales encore comme il y a deux ans, le début des travaux législatifs et administratifs d’effectivité de la régionalisation avancée. Et c’est en évoquant ce saut déterminant à grande valeur ajoutée pour le Sahara marocain que le CESE a déjà enclenché sous l’Egide du Souverain, qu’on peut mentionner la prédisposition du Maroc dans le cadre de sa constitution à aller de l’avant de la sorte et par la suite avec le temps l’élargir sur tout le territoire national. De ce point de vue, il ne faudrait plus que certains coutumiers du faire plaisir à autrui, continue à vouloir nous en mettre plein les yeux d’historiettes connues et sues de tout un chacun proposant la faisabilité rapide et brouillonne dans tous le royaume. Mais, comment se fait-il trente huit ans après ils ne savent pas encore, que c’est la clarté des commentaires par l’aisance du repérage de leur signification qui ouvre l’esprit de n’importe quel diplomate à l’international aux initiatives proposées selon la réalité du paysage politique en question ?


       A cet égard, cependant, concernant l’ouverture en ce temps précis d’autres problématiques, ce serait avant toute chose diplomatiquement inconcevable, au vu des notifications de politique-vigilance dans l’usage rationnel du temps onusien pour le Maroc. Parce que le ton du temps de la rhétorique phraséologique de dire les choses sans en soupeser les conséquences relève de myopie intellectuelle politiquement dangereuse. Aussi, il serait impardonnable de s’y investir ainsi, au détriment de la méthodologie concertée pondérée voire offensive quand il le faut le cas échéant. Evidemment dans le but de consolider les acquis qui feront que l’offre marocaine d’autogestion dans la régionalisation avancée, pourra relever les défis pour le bien-être de tous les citoyens. En plus d’autres préoccupations riches en nouveaux défis attendant aussi la diplomatie économique marocaine, par exemple, l’accentuation des accords de libre échange avec l’Afrique. Qu’au final vont, selon les observateurs internationaux consolider la marche du Roi du Maroc, et surtout avoir des répercussions négatives sur la viabilité des mensonges émanant de l’Algérie et ses génériques de la compromission anti Maroc.

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