L’arithmétique dans l’art diplomatique
marocain pluriel ne peut être vraiment efficace que si tous nos diplomates
officiels et officieux connaîtraient bien leur dossier sur tout plan
anthropologique sociologique culturel cultuel et politico historique. Ainsi, leur accréditation doit être un levier de différenciation dans les démarches de recrutement s'inscrivant dans une optique de maîtrise des préoccupations essentielles en plus des sécurisations de leurs contacts et de leurs rapports rendus en ce sens. Tout
simplement pour qu’ils puissent user d’approche relevant de détails d’un niveau
plus fouillé dans cette affaire préfabriquée par Boumediene et Bouteflika au
lendemain du sommet tripartite algéro-maroco-mauritanien d’Ifrane en 1972.
Notamment, ce qui touche d’abord l’historicité événementielle du montage des
influences intrinsèques coté défavorable pour en comprendre la suite des mécanismes
de flux et reflux des positionnements des groupuscules pro-polisariens. Et, ensuite
coté favorable du coup de génie hassanien d’avoir pu anticiper les clashs
onusiens en ces temps-là de dichotomie idéologique, dont beaucoup de receleurs
de l’inventivité informationnelle suspecte en ont oublié le poids d’alors.
N’est-ce pas le Maroc nouveau sous le
Roi Mohamed VI, doit continuer par le raisonnement concis précis à montrer du doigt les
manigances d’interactions politico structurées extrinsèques d’ONG et leurs
relais conglomérats présides sub-étatiques ? Et en plus se soucier d’où
elles viennent, particulièrement celles émanant de l’Algérie officiellement
billettiste puisant dans la richesse du peuple et à ses dépens. Evidemment, qu'elles sont tout bonnement à visée d’écran de fumée pour cacher les pires atrocités de
torture et dépassement de respect des droits de l’homme dans les camps du
terrorisme et de la honte. Soutenant aveuglement même ces entités fantoches, voire dédommagement sans fondement ni avis du peuple honorable algérien, longtemps à l'écart au vu de sa saignée socio économique. Ne se taisant plus, de par leur
dépendance devenue désagréablement coutumière aux fluctuations petro dinars que tout le monde connaît
désormais. Et dont certains de nos diplomates portes attachés-cases recevant
les coups mais n’absorbant pas les chocs seulement les transmettant, doivent se
bouger pour décrier cet état de fait et ne plus considérer leur prolongement en fonction une priorité d'apaisement seulement. D’autant
plus se cramponnant aux ténors, lesquels, se croyant incontournables pour faire
face aux éventuels maux et déconvenues pouvant s’immiscer dans les efforts
d’initiation des nouveaux arrivants.
En conséquence, alors que le temps
diplomatique dans cette affaire se raccourcit jouant un rôle clé dans les
chancelleries dynamiques et au fait des aléas, voilà une modeste note-synthèse
à décortiquer pour sortir notre diplomatie officielle et parallèle des sentiers
battus. Parce qu’elle a tendance manifestement souvent à tirer ses
réjouissances à chaque moment paroxystique, par contre-balancement vers la
réactivité et non l’action par l’anticipation. Sauf que, c’est toujours le cas
ces dernières années, ce sont d’extraordinaires inductions de dissolution des
malentendus après interventions royales, néanmoins constitutionnellement
indispensables à la marche diplomatique, qui soudainement assuraient ces
réjouissances. Ce qui explique les malaises de toutes sortes de par réflexions
et attitudes des ennemis et récalcitrants à l’égard de cette méthodologie de
dernier sprint du Maroc, car ne pouvant aucunement ébranler l’aura de Sa
Majesté le Roi Mohamed VI , lequel ne cesse de s'élargir géo-stratégiquement et s'agrandir bilatéralement rationnellement sensationnellement dans le concert des chefs d'Etats. En ce sens d’un discours royal à l’autre, les
scrutateurs les plus vaillants commencent à isoler les gènes de mal gouvernance
responsables des nombreuses pannes dans l’affaire du Sahara marocain.
Vraiment est-ce que le contexte
particulier de cette année en attendant d’évaluer correctement l’impact de la
méthodologie préconisée par le CESE, ne doit-il pas imposer un toilettage sans
vergogne des recoins du mammouth diplomatique dévoreur de devises parfois par
transfèrement infructueux voire inutile ? En plus de redistribution des
compétences de manière qu’elles s’adaptent aux nouvelles exigences de leur mise
à niveau dictée par l’intérêt du pays. S’ajoutant à la mobilisation de toutes
les composantes sociétales civiles et étatiques, en gardant toujours en mémoire
les objectifs à continuer à réaliser pour garantir aux marocains davantage de
dignité (Alkarama) dans la sécurité et l’unité. Ce que les mentalistes
structuralistes pourraient expliquer par l’infiniment réaliste des marocains
usant des avancées sur le plan du respect des droits de l’homme et grandes
réalisations infra-structurelles par rapport à l’éloignement infiniment
grotesque et chimérique des pro-polisariens s’opposant à tout point de vue à la
thèse marocaine. Dont l’arrêt des discussions directes officielles où non entre
le Maroc et le Polisario, est souvent qualifié de prédisposition secondaire
évidente aux interférences algériennes. Que par ailleurs beaucoup
d’observateurs internationaux estiment que ces prévalences répétitives sont
dues à la surcharge et au surmenage du Polisario par l’épiage subi n’arrivant
plus à en acquiescer voire à en supporter la rythmique.
Pour cela, il faut savoir user de tact en
démontrant une grande aptitude à réconcilier les priorités de chacune des
composantes, pour une meilleure intégration des nouvelles données
susmentionnées par le CESE sur le terrain. Parce que, outre ce signe de
reconnaissance des nouveaux droits civils et politiques, la diplomatie travaillant
d’arrache pied avec abnégation, en prenant des initiatives réfléchies selon modérabilité calculée des opportunités, s’en trouverait écoutée et encouragée
dans son exercice noble. Sachant d’emblée, ce n’est plus le courage de le faire
qui manque après la salve coléreuse des derniers discours royaux,
sous-entendant la levée de l’autocensure. Pour ne laisser aucune entité où
structure-relais adverse sans scruter leur fonctionnalité et leur médiagénie
corrompue partiale, laquelle est sans fondement seulement sous forfanterie bouteflikienne.
Qu’en fait, Mezouar, ça l’aiderait dans son rôle de chef de la diplomatie dans
toutes les circonstances pour contrer les forfaitures de ces enragés des
disettes et racontars. Surtout la cohorte généralissime officielle algérienne
Laamamra-dépendante, s’appuyant sur certains entichés du concubinage d’intérêts
à l’étranger voulant donner raison aux rapports pessimistes et études scandaleuses
de mercenaires administratifs.
Mais, on ne saurait omettre le
branle-bas de combat qui annonce au delà
des tergiversations gouvernementales encore comme il y a deux ans, le début des
travaux législatifs et administratifs d’effectivité de la régionalisation
avancée. Et c’est en évoquant ce saut déterminant à grande valeur ajoutée pour
le Sahara marocain que le CESE a déjà enclenché sous l’Egide du Souverain, qu’on
peut mentionner la prédisposition du Maroc dans le cadre de sa constitution à
aller de l’avant de la sorte et par la suite avec le temps l’élargir sur tout
le territoire national. De ce point de vue, il ne faudrait plus que certains
coutumiers du faire plaisir à autrui, continue à vouloir nous en mettre plein
les yeux d’historiettes connues et sues de tout un chacun proposant la
faisabilité rapide et brouillonne dans tous le royaume. Mais, comment se
fait-il trente huit ans après ils ne savent pas encore, que c’est la clarté des
commentaires par l’aisance du repérage de leur signification qui ouvre l’esprit
de n’importe quel diplomate à l’international aux initiatives proposées selon
la réalité du paysage politique en question ?
A
cet égard, cependant, concernant l’ouverture en ce temps précis d’autres
problématiques, ce serait avant toute chose diplomatiquement inconcevable, au
vu des notifications de politique-vigilance dans l’usage rationnel du temps onusien
pour le Maroc. Parce que le ton du temps de la rhétorique phraséologique de
dire les choses sans en soupeser les conséquences relève de myopie
intellectuelle politiquement dangereuse. Aussi, il serait impardonnable de s’y
investir ainsi, au détriment de la méthodologie concertée pondérée voire
offensive quand il le faut le cas échéant. Evidemment dans le but de consolider
les acquis qui feront que l’offre marocaine d’autogestion dans la
régionalisation avancée, pourra relever les défis pour le bien-être de tous les
citoyens. En plus d’autres préoccupations riches en nouveaux défis attendant
aussi la diplomatie économique marocaine, par exemple, l’accentuation des
accords de libre échange avec l’Afrique. Qu’au final vont, selon les
observateurs internationaux consolider la marche du Roi du Maroc, et surtout
avoir des répercussions négatives sur la viabilité des mensonges émanant de l’Algérie
et ses génériques de la compromission anti Maroc.
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