Et pourtant l’espoir et la lumière ne s’éteindront jamais au
Maroc !
En pratiquement une semaine, les marocains
ont changé de spin relationnel vis-à-vis du structuralisme de fonctionnement de
l’Etat. Lequel ne s’étant pas rapidement mis au diapason de la nouvelle
constitution, pourtant sachant qu’ils l’avaient avalisée à plus de 98% un
certain 01 Juillet 2011. N’est-ce pas que c’était fait loin des nuances
partisanes, des effets d’annonce des proximités électorales, des intrigues
politiciennes et/où autre accumulation de passions effaçant les lois morales?
A cet effet, tous ceux qui y ont
participé à cette Sahwa de la conscience marocaine par rapport à cette grâce-drame
n’illustrant qu’une fâcheuse manipulation pour nuire à l’image de marque du
Souverain, n’ont fait que leur devoir. Dorénavant, ils pourront même s’en
vanter d’avoir écrit le premier vrai jet de la mise en conformité de la
constitution avec l’aspiration du peuple. Justement, pour essayer de faire
rentrer le pays dans l’ère de la deuxième royauté tant espérée Contrairement à ce qu’en
colportent certains individus mitigeurs de contre vérités sur la toile Internet,
parce que soudoyés pour toujours continuer à tirer à boulets rouges sur
l’institution royale dès lors qu’ils en ont où même pas une occasion pour le faire.
Ne sont-ils pas allés si loin dans leurs médisances, jusqu’à qualifier à tort
de dérobade le courage évident du Roi le fait de retirer la grâce à ce monstre
pédophile ? Mais aussi à mettre leur ardeur lugubre adoptant une attitude
franchement hostile, voulant créer discordance martelant à redondance que c'est un cadeau empoisonné pour le roi d'Espagne, malgré les attestations ici et là en faveur de cette
initiative louable. En plus n’appréciant guère le soutien franc de la
population à l’institution royale, dont ils y ont reconnu dans cette affaire le
souhait de démasquer le où les tenants et aboutissants de cette manipulation
sordide quelle qu’elle en soit l’origine nationale où étrangère. Si bien que
déjà on en voie quelques têtes tomber en disgrâce, à l’exemple de Hafid
Benhachem ce mejjati feloul basrien nommé haut commissaire à la direction
générale des prisons ayant déjà connu une traversée du désert dans un passé pas
lointain.
Néanmoins, malgré la droiture de
certains tenants et aboutissants, désormais se penchant sur les parchemins qui
ont mené à la diffusion de listes de graciés à l’occasion de la fête du trône
2013, seuls le résultat d’enquête pourrait les dédouaner eux aussi. Quant au
peuple, n’étant pas question pour lui d’y avoir accès aux investigations, bien
entendu il ne trouvera son salut rien qu’en remettant en question cet état de
fait de la légèreté dans l’exercice de fonction. Nul doute que beaucoup
d’anciens détenus politiques comme les prisonniers actuels de tout bord
trouveraient ça une sorte de revanche du temps, et n’aient considéré ce
limogeage de Benhachem comme un don du ciel.
Un Roi sereinement actif parce que conscient du tort provoqué, seul restant
stoïquement au cœur de la mêlée !
Parmi tant de chefs d’Etats de toutes
les nations, s’appliquant avec abnégation et sérieux à l’instauration de la
démocratie basée sur les valeurs des droits de l’homme, Sa Majesté le Roi
Mohamed VI en est l’un des plus constants dans son approche. C’est ainsi,
s’ajoutant à sa détermination et son désir sans ambages de faire éclater la
vérité à propos de ce malheureux épisode, c’est de sensibiliser les
responsables au bon fonctionnement de l’Etat marocain. Et ce, dans toutes ses
structures civiles et militaires, du moins ceux qui y resteront aux affaires à
reconnaître l’énorme travail de vigilance qui les attend. Notamment, les
services de surveillance et de veille sécuritaire à tous les niveaux, pour
faire échapper l’Etat à la confrontation politico stratégique du fait accompli.
Parce que s’il s’avère que des malveillants étrangers s’y sont glissés par
personnes responsables de ce service de souveraineté dans le montage de la grâce
pour déstabiliser l’entente hispano-marocaine, il se pourrait que le Maroc de
la deuxième royauté en soit contraint à y faire face avec toute l’énergie et
vigueur qu’il faudrait car il y va de la stabilité du pays.
En revanche, en pleine tempête le
gouvernement tétanisé a montré sa valeur négative ne sachant pas qu’il allait
vite être désavoué par le retrait de la grâce. Hélas, il n’a servi qu’à
distribuer les coups de matraque avec une violence dans les gestes et les
verbes à l’encontre des manifestants aigris. En plus du comportement des partis
politiques médusés, faisant l’autruche face à cette situation et aussi par
rapport à la société civile réceptive dignement réactive avec calme et
responsabilité même subissant la bastonnade. De sorte, le Roi lui aussi en
colère se sentant trahi se voyant seul face au tolet populaire, dans sa
recherche tenace et obstinée de trouver le vrai coupable de tous ces déboires
il a su faire triompher son génie de réactivité réaliste. Qu’auparavant lui
avait valu le titre de clairvoyant pragmatique lors du déclenchement du
déferlant printanier arabo-amazigh.
Il est vrai que malgré ces divers soucis
jaillissant de la matérialisation temporelle de cette grâce inopportune même
suivi du retrait, le Souverain donne des gages de poursuivre les recherches qui
vont mener à une autre invention capitale de son génie. N’est-ce pas que l’on
déjà eu la confirmation de l’arrestation de ce monstre pédophile par le
ministère de l’intérieur en Espagne. Probablement il en écoperait d’un
emprisonnement de la durée restante dans les geôles espagnoles, sinon c’est de
sa déchéance de nationalité espagnole pour qu’il soit possible de l’extrader
vers le Maroc. Rapidement donc, l’Espagne apparemment s’y est appliquée, tout
d’abord par l’exécution audacieuse de ce nouveau temps politique vu
qu’Interpole s’est mobilisée pour rattraper ce monstre, puis pour faire amende
honorable en faveur des familles des enfants victimes. En ce sens,
le Maroc retrouvera plus tôt sa sérénité et de surcroît son rayonnement
qui le mènera une fois pour toute vers le passage à la Deuxième Royauté.
Finalement, tout ceci se traduit
principalement par le désir de secouement des cocotiers, d’abord parce que
l’age de la retraite doit s’appliquer pour tous, et ensuite mettre en
conformité constitutionnelle la relation de l’exercice de responsabilité avec
le fait d’être dans l’obligation d’automatiquement rendre des comptes. Ne
s’agit-il pas d’une évidence dont beaucoup de pays ont en pu éprouver leur
démocratie, et donc prouver l’efficacité du cursus de l’administration au cours
des carrières plus où moins bien remplies. Ainsi, pour s’assurer la confiance
du peuple en leurs responsables, il est normal de changer de braquet dans les
réformes structurelles et psychologiques pour éviter leurs incidences négatives
d’antan. Désormais le futur gouvernement doit obligatoirement en tenir compte
pour épargner au pays toute perte de temps.
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