jeudi 8 août 2013

AH, CES CHEVALIERS DE LA DISCORDE, AIMANT ERRER DANS L’APPROXIMATIF SE PRÉTENDANT TENIR LES MAROCAINS EN HALEINE !

De toute évidence l’histoire de chacun d’eux est connue, tellement qu’arrivera le moment de tout déballer sans rancune ni aucune sournoiserie à propos de leur sens de l’honneur. Entre déloyauté en catimini à la royauté pour certains, et désamour de la patrie pour d’autres sur commande de leurs pourvoyeurs de fonds. 

Justement, à cet effet,  leurs jeunes relais naïfs et inconditionnels non encore rodés à la manipulation politique, sauront effectivement à quoi s’en tenir avec eux toute tendance confondue. Et, c’est dans leur intérêt de savoir que pendant longtemps certains de ces soi-disant aînés chantres seulement de l’amphigouri, ont auparavant bénéficié des largesses de ce même Etat qu’actuellement ils vilipendent sans fondement. 

Par conséquent, pour tous ces jeunes, au lieu de se tourner vers ce monde propagandiste déjà périmé, ils pourraient continuer leur chemin librement qu’ils en doutent où pas de l’héroïsme logorrhéique de ces gens là. N’est-ce pas par l’adoption d’un nouveau temps politique consensuel que désormais le succès de la démocratie participative l’emporterait ?

C’est bizarre cette guerre de ces coutumiers essayistes politiques par la création du smog, aspirant tous remporter le marché de la Mouzayada Assiassaouia rien qu’au bénéfice du doute qui n’a pas lieu !

       N’est-il vrai que beaucoup de ces dignitaires de la plume, rouspéteurs jouant les efforts de leur préservation, ont bien été fabriqués sous les arcades de la fameuse Résidence au ministère de l’intérieur sous Basri ? Disons le franchement, c’en est trop de cette pression politicienne de désunion de leur part pour faire revenir le pays à une mentalité de guerre des tranchées, à même d’être de surcroît froide vis-à-vis de l’institution royale.  
       
    Oh, ces gens voulant imposer la chape de plomb de leurs idéologies respectivement dictées de l’extérieur, finalement n’ont-ils provoqué que contre offensive de gens sincères ? De ce fait donc, ne se trouvent-ils aujourd’hui entre dilemme de création de passions sans lendemain pour les uns, et pulsions dramatiques de ne réussir l’accompagnement de mise en scène de la totale comme sous des cieux non envieux pour les autres. Déjà, on peut avancer sans se tromper qu’établir un bilan premier de ce qu’ils ont apporté par leurs différentes disettes dans le domaine politique n’en exigerait pas un volume pour grande lecture, mais plutôt un feuillet où c’est résumé « circuler y a rien à voir ».       

       Mais à part leurs épîtres scandées ici et là, que veulent-ils vraiment ces rouspéteurs n’usant que d’élégies de l’approximatif ? Désirent-ils mettre le pays dans des parcours à l’égyptienne des frères, voire à la tunisienne tendance ghannouchienne, où même à la libyenne dont se succèdent les orchestrations des drames confusionnels et passionnels ? En tout état de cause, vu de la sorte, ne pourrait-on dire que Benkirane en tant que chef du gouvernement, s’essayant lui aussi à l’état de transe unissant emphase ballade non innocente, ne fait qu'apporter de l'eau à leur moulin ? Par ailleurs, optant pour le déni des réalités sur ce qui a été fait par les gouvernements précédents dans une théâtralité politicienne qui laisse à désirer. Qu’heureusement Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans son discours du trône 2013 l’en a exhorté de retourner sur les pas des gouvernements antérieurs. Tout compte fait que le gouvernement le veuille ou pas, ceux-la n’apparaîtront jamais au peuple marocain comme des hommes et femmes humbles probes sereins et clairvoyants.    

       Il est vrai, le peuple comme les observateurs avertis du champ politique marocain, voient en eux des imbus d’eux-mêmes, dénués de tout sens de responsabilité, préférant jeux interdits s’attelant à tirer le pays vers l’inconnu. N’est-ce pas ainsi qu’ils provoquent sciemment des polémiques stériles entre seconds couteaux ? Et ce, sans modération montrant plutôt tyrannie dans les propos, qu’au final n’apportant aucune innovation dans la réflexion sur le fond.    

N’est-ce pas qu’au plus fort de toute tempête, un vrai chef d’Etat se distingue par sa réactivité concevant le meilleur scénario de sortie de crise?

       Voilà qu’encore et comme toujours, le génie de Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans le rétablissement de l’entente dans la concordance, a frappé à point nommé en pleine désolante affaire désormais connue par la Daniel-Gate. N’est-ce pas d’abord il a démontré dans un premier temps que la persistance de relations contre nature entre obscurantistes et les quelques illuminés libéraux laïcisés se croyant démocrates au dessus de tout soupçon, ne fait pas d’émules ? Et dans un deuxième au contraire, elle en galvaude le peuple, suscitant autant de satisfaction à propos de sa réactivité avec célérité, provoquant comme à l’accoutumée consensus légaliste autour de sa personne.

       Cependant, en plein paroxysme de la Daniel-Gate, tandis que les diffuseurs de calomnies de par leur pseudo rôle expressif approximatif, s’en trouvent prisonniers dans la médisance, le gouvernement comme les partis politiques ont joué aux nains se couvrant de ridicule à suprême ironie. Tout simplement loin de toute lucidité ni sagesse d’être à coté du Roi, en plus n’ayant rien tenté pour affronter ces chevaliers périmés de par leur bascule intempestive dans une opposition irréelle, entre contraste  pathétique des chemins pris et dialectique mélancolique. Heureusement n’ayant pas eu d’écho dans les préoccupations légitimes du peuple, d’autant plus les responsables au sein de la mécanique de l’Etat n’ont en pas fait preuve de génie. Mais c’est au chef de gouvernement que vont les opprobres restés inavoués par ses soins, n’ayant réalisé son rêve d’héroïsme de sauveur du Roi dont il nous en chauffe quand il a l’occasion les tympans.

       Maintenant que les choses se sont stabilisées, pourquoi ce chef de gouvernement voulant à tout prix rester aux affaires, cherche à capter l’attention du peuple par d’autres promesses au gré du hasard de l’action même aux relents inopportuns parfois vulgaires ? C’est en tout cas ce qui ressort de ses tractations avec Mezouar, s’étant fixé pour règle première de satisfaire le goût des RNIistes ministrables en proposant une tendance mouture échappant à toute classification. Comme ça, le futur gouvernement s’il voit le jour n’affectionnera point ni les modérés usant de style élaboré pour crier au scandale du non respect de la constitution, ni les diffuseurs de calomnies dont l’hostilité est si flagrante à toutes les institutions de l’Etat.  

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