De
toute évidence l’histoire de chacun d’eux est connue, tellement qu’arrivera le moment de tout déballer sans rancune ni aucune sournoiserie à
propos de leur sens de l’honneur. Entre déloyauté en catimini à la royauté pour certains, et
désamour de la patrie pour d’autres sur commande de leurs pourvoyeurs de fonds.
Justement, à cet effet, leurs jeunes relais naïfs et inconditionnels non encore rodés à la manipulation politique, sauront effectivement à quoi s’en tenir avec eux toute tendance confondue. Et, c’est dans leur intérêt de savoir que pendant longtemps certains de ces soi-disant aînés chantres seulement de l’amphigouri, ont auparavant bénéficié des largesses de ce même Etat qu’actuellement ils vilipendent sans fondement.
Par conséquent, pour tous ces jeunes, au lieu de se tourner vers ce monde propagandiste déjà périmé, ils pourraient continuer leur chemin librement qu’ils en doutent où pas de l’héroïsme logorrhéique de ces gens là. N’est-ce pas par l’adoption d’un nouveau temps politique consensuel que désormais le succès de la démocratie participative l’emporterait ?
Justement, à cet effet, leurs jeunes relais naïfs et inconditionnels non encore rodés à la manipulation politique, sauront effectivement à quoi s’en tenir avec eux toute tendance confondue. Et, c’est dans leur intérêt de savoir que pendant longtemps certains de ces soi-disant aînés chantres seulement de l’amphigouri, ont auparavant bénéficié des largesses de ce même Etat qu’actuellement ils vilipendent sans fondement.
Par conséquent, pour tous ces jeunes, au lieu de se tourner vers ce monde propagandiste déjà périmé, ils pourraient continuer leur chemin librement qu’ils en doutent où pas de l’héroïsme logorrhéique de ces gens là. N’est-ce pas par l’adoption d’un nouveau temps politique consensuel que désormais le succès de la démocratie participative l’emporterait ?
C’est bizarre cette guerre de ces coutumiers essayistes politiques par
la création du smog, aspirant tous remporter le marché de la Mouzayada Assiassaouia
rien qu’au bénéfice du doute qui n’a pas lieu !
N’est-il vrai que beaucoup de ces dignitaires de la plume, rouspéteurs jouant les efforts de leur préservation, ont bien été
fabriqués sous les arcades de la fameuse Résidence au ministère de l’intérieur
sous Basri ? Disons le franchement, c’en est trop de cette pression
politicienne de désunion de leur part pour faire revenir le pays à une mentalité de guerre
des tranchées, à même d’être de surcroît froide vis-à-vis de l’institution royale.
Oh, ces gens voulant imposer la chape de
plomb de leurs idéologies respectivement dictées de l’extérieur, finalement n’ont-ils provoqué que contre offensive de gens sincères ? De ce fait donc, ne se trouvent-ils aujourd’hui entre dilemme
de création de passions sans lendemain pour les uns, et pulsions dramatiques de
ne réussir l’accompagnement de mise en scène de la totale comme sous des cieux non envieux pour les autres.
Déjà, on peut avancer sans se tromper qu’établir un bilan premier de ce qu’ils
ont apporté par leurs différentes disettes dans le domaine politique n’en exigerait pas un volume pour grande lecture, mais plutôt
un feuillet où c’est résumé « circuler y a rien à voir ».
Mais à part leurs épîtres scandées ici
et là, que veulent-ils vraiment ces rouspéteurs n’usant que d’élégies de
l’approximatif ? Désirent-ils mettre le pays dans des parcours à l’égyptienne des frères, voire à la tunisienne tendance
ghannouchienne, où même à la libyenne dont se succèdent les orchestrations des
drames confusionnels et passionnels ? En tout état de cause, vu de la
sorte, ne pourrait-on dire que Benkirane en tant que chef du gouvernement,
s’essayant lui aussi à l’état de transe unissant emphase ballade non
innocente, ne fait qu'apporter de l'eau à leur moulin ? Par ailleurs, optant pour le déni des réalités sur ce qui a été fait par les gouvernements précédents dans une
théâtralité politicienne qui laisse à désirer. Qu’heureusement Sa Majesté le
Roi Mohamed VI dans son discours du trône 2013 l’en a exhorté de retourner sur
les pas des gouvernements antérieurs. Tout compte fait que le gouvernement le
veuille ou pas, ceux-la n’apparaîtront jamais au peuple marocain comme des
hommes et femmes humbles probes sereins et clairvoyants.
Il est vrai, le peuple comme les
observateurs avertis du champ politique marocain, voient en eux des imbus d’eux-mêmes, dénués de tout sens de responsabilité, préférant jeux
interdits s’attelant à tirer le pays vers l’inconnu. N’est-ce pas ainsi qu’ils
provoquent sciemment des polémiques stériles entre seconds couteaux ? Et
ce, sans modération montrant plutôt tyrannie dans les propos, qu’au final
n’apportant aucune innovation dans la réflexion sur le fond.
N’est-ce pas qu’au plus fort de toute tempête, un vrai chef d’Etat se
distingue par sa réactivité concevant le meilleur scénario de sortie de
crise?
Voilà qu’encore et comme toujours, le
génie de Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans le rétablissement de l’entente dans
la concordance, a frappé à point nommé en pleine désolante affaire désormais
connue par la
Daniel-Gate. N ’est-ce pas d’abord il a démontré dans un
premier temps que la persistance de relations contre nature entre
obscurantistes et les quelques illuminés libéraux laïcisés se croyant démocrates
au dessus de tout soupçon, ne fait pas d’émules ? Et dans un deuxième au
contraire, elle en galvaude le peuple, suscitant autant de satisfaction à
propos de sa réactivité avec célérité, provoquant comme à l’accoutumée
consensus légaliste autour de sa personne.
Cependant, en plein paroxysme de la Daniel-Gate , tandis que
les diffuseurs de calomnies de par leur pseudo rôle expressif approximatif,
s’en trouvent prisonniers dans la médisance, le gouvernement comme les partis
politiques ont joué aux nains se couvrant de ridicule à suprême ironie. Tout
simplement loin de toute lucidité ni sagesse d’être à coté du Roi, en plus
n’ayant rien tenté pour affronter ces chevaliers périmés de par leur bascule
intempestive dans une opposition irréelle, entre contraste pathétique des chemins pris et dialectique mélancolique.
Heureusement n’ayant pas eu d’écho dans les préoccupations légitimes du peuple,
d’autant plus les responsables au sein de la mécanique de l’Etat n’ont en pas
fait preuve de génie. Mais c’est au chef de gouvernement que vont les opprobres
restés inavoués par ses soins, n’ayant réalisé son rêve d’héroïsme de sauveur
du Roi dont il nous en chauffe quand il a l’occasion les tympans.
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