vendredi 7 juin 2013

LE GOUVERNEMENT BENKIRANE N’EST-IL PAS EN VOIE DE DÉCOMPOSITION SACCADÉE, LOIN DE TOUTE AMÉLIORATION CONSTRUCTIVE DE SA DÉFENSE COMMUNICATIVE !

APRÈS LES COUACS RÉPÉTITIFS DU PJD TENTACULAIRE EN MATIÈRE DE GOUVERNANCE CAR NE S’ATTELANT QU’AUX JEUX DES STAFFS, L’HEURE DE VÉRITÉ POUR LA COALITION GOUVERNEMENTALE A PEUT ÊTRE SONNÉ  ! PARCE QUE, QUEL EST L’INTÉRÊT DE BENKIRANE ET CHABAT DE NE RIEN FAIRE, SURTOUT EN LA LAISSANT DANS L’EXPECTATIVE POURSUIVANT TOUS LES DEUX UNE MULTITUDE D'OBJECTIFS DIFFÉRENTS MAIS  CONTRADICTOIRES ?

AUSSI, QUAND ON REGARDE CETTE DÉMARCHE GOUVERNEMENTALE À LA RENVERSE, ON PEUT PENSER QUE CE QU’IL AURAIT FALLU FAIRE, C’EST LE CHOIX DES GRANDES REFORMES SANS HÉSITATION NI TERGIVERSATION. EN CELA IL IMPORTAIT POUR LES COALISÉS DE DÉCELER PAR ANTICIPATION LES EFFETS NUISIBLES DU RETARD DE CES INITIATIVES LOUABLES ET, SAVOIR SPONTANÉMENT QUELLES SONT LES MESURES URGENTES A ENTREPRENDRE POUR RATTRAPER LE COUP. DE SORTE PAR CETTE AMBITION NON FANTAISISTE, POUVOIR SAUVER CETTE COALITION DE LA DESTRUCTION. SURTOUT, EN MONTRANT COMMENT DOIT-ELLE FAIRE POUR FINANCER DE TELLES INITIATIVES SANS SE REMETTRE EN QUESTION EN USANT SPÉCIFIQUEMENT QUE DE DÉPENSES LÉGITIMES ET LÉGALES ?

EN TOUT ÉTAT DE CAUSE, IL EST VRAI QU’EN PROSPECTION DE VIGILANCE DE QUALITÉ POUR LE SUIVI DU FIL DES ACTUALITÉS  POLITIQUES, N’EST-CE PAS QUE LE TEMPS DE SAUVETAGE EST ARRIVE ? POUR QU’ENSUITE NE PLUS CONTINUER À CONSTRUIRE POLITIQUEMENT CE DÉFICIT CRIARD DE MAUVAISE GOUVERNANCE. DONT BENKIRANE EN PORTE TOUTE PROPORTION GARDÉE UNE LOURDE RESPONSABILITÉ HISTORIQUE. SI NON, SEUL LE DIVORCE ENTRE PJD ET PI SERAIT LE REMÈDE FINAL POUR ÉVITER D'AUTRES MÉSAVENTURES ET INDIFFÉRENCES DÉSASTREUSES AU VUE DE LA MAUVAISE ENTENTE.

Mais pourquoi la coalition gouvernementale ne prend-elle pas son courage de proscrire les mauvais besoins de sa gouvernance ?

       Le gouvernement Benkirane n’a cessé depuis sa mise sur pied de recevoir, des notifications par les observateurs politiques avertis sur sa méthodologie de gouvernance via les réseaux sociaux et autres supports médiatiques notamment envers son portail cyber-electronique. Malheureusement il en a fait fi, ne s’en souciant guère de l’impact de ces signaux dans l’échelle des  valeurs de cotation de sa propre politique. Ne se substituant qu’à une complémentarité d’interdépendance virtuellement effective, surtout dans ses actions par ailleurs aucunement réalistes. Par conséquent non porteuses de bonifications adaptées aux besoins et à la demande des populations.

       Désormais, en ce temps présent, est-ce que le gouvernement ne se trouve-t-il pas contraint de réagir vite à cette impédance multisectorielle de surdimensionnement de son ego ? Alors qu’en fait, par analyse politique minutieuse des ses seuls raisonnements, seule la composante pjdiste est dans cet état d'esprit. Parce que subconsciemment ottomano-dépendante, voulant sans scrupules en être le porte oriflamme officiel à la place de ses coalisés et de tous les marocains après le déferlant printanier arabe. Mais, les résistances diverses en interne du gouvernement par le PI et MP en plus de la majorité des marocains, les en ont empêché par crainte de subir leur joug d'islamité-autoritarisme. En effet l'axe de leur vision politique s'articule sur cette dépendance allant jusqu'à vouloir dans le futur s'ouvrir par mutualisation à la façon de faire de l'AKP turc vis-à-vis des mouvements islamistes de mise en commun des actes politiques sans garantie ni réserve. 

       Alors pour le PJD, ne lui faut-il plutôt d'installer une bonne gouvernance, et la valoriser par la transparence dans les actes sur la base de la démocratie participative, pour aboutir à une efficience gestionnaire? N'est-ce pas l’échec cuisant de la visite d’Erdogan le fougueux conservateur autoritaire, a occasionné d’autres déchirures liées au mode d’expression comportementale de Benkirane. D'où est décelée aussi l’incapacité des pjdistes à comprendre ce que c’est une préparation d’une visite officielle. D'ailleurs ne s'agit-il en l'occurrence du mal digestion des vraies valeurs de gestions des affaires de l’État? Dont ces novices pjidistes en souffrent chroniquement, malheureusement pour eux surfant sur les accointances doctrinales, les ayant à contrario mis en mauvaise posture dans l’arène de la communication sur la cyber-toile tous les supports confondus. En cela, ils n’ont en récolté rien que de fausses indications, leur montrant les difficultés d'agir sur seulement les déterminants qui n’aideraient pas le gouvernement à sortir du sable mouvant de leur amateurisme.

       A toute fin utile, on peut affirmer qu’ils sont même jetés en pâture par leurs proches coalisés en vue de consommation politicienne, parce que n’ayant montré que cette forme grave d’égoïsme gestionnaire, vu le surpoids des crédits abusifs contractés et dont ils s’y sont embourbés hypothéquant l’avenir du pays. En plus s’ajoutant aux  dérives gestionnaires du soi-disant rééquilibrage par les coupes budgétaires oh combien superflues, voire contre-productives vis-à-vis de la croissance et du pouvoir d’achat des ménages. Un dilemme déconcertant de par la rareté de ressources humaines compétentes autour du chef du gouvernement pour l’aider à faire de meilleurs choix. Qu’au demeurant elle est considérée par les observateurs nationaux et étrangers comme, la conséquence de cet amateurisme flagrant orientant les actions de Benkirane vers le solde négatif de son bilan à la tête du gouvernement.

       En revanche, ne faut-il pas indûment mettre en place une nouvelle étape de gestion des affaires de l’État pour palier à cette déplétion structurelle dans l’action du gouvernement provoquée par la chamaillerie Benkirane-Chabat. Cela évidemment inclurait primo la réorganisation de la façon de faire entre de nouveaux coalisés pour éviter les pannes institutionnelles, et secundo la restructuration des dispositions organisationnelles juridiques et financières à prendre dans le respect de la constitution. Non pas pour s'ancrer dans le privilège du pouvoir de l’Exécutif, mais exclusivement dans l'incarnation du pouvoir comme il se doit. Dont l'objectif unique serait de renforcer politiquement l'autonomie des responsables et anticiper la prévention des crises par des initiatives équitables. Ainsi les priorités dans l’action se réviseraient et donc automatiquement viseraient un nouveau large de démocratie participative, où toutefois, il serait aussi bon de satisfaire les doléances du peuple dans la responsabilité et la sérénité que d'assainir les rouages du fonctionnement de l'Etat.

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