A CET EFFET, POURQUOI PORTE-IL TOUJOURS EN LUI L’ÉCLAIR DE FUREUR ENVERS CEUX QU’IL APPELLE BIZARREMENT LES PROTÉGÉS MAUDITS.
A-T-IL DE FAIT OUBLIÉ SES SEMBLABLES AVANTAGÉS AYANT FAIT DU PARTI UNE SORTE DE GROTTE AU TRÉSOR, DONT IL NE POUVAIT N’AVOIR RIEN ENTENDU DU VACARME LES CONCERNANT.
A-T-IL DE FAIT OUBLIÉ SES SEMBLABLES AVANTAGÉS AYANT FAIT DU PARTI UNE SORTE DE GROTTE AU TRÉSOR, DONT IL NE POUVAIT N’AVOIR RIEN ENTENDU DU VACARME LES CONCERNANT.
CEPENDANT, DEPUIS LONGTEMPS, A
L’ÉCURIE DE L’USFP IL N’A JAMAIS CESSÉ DE PRÉPARER SES POULAINS, POUR
D’ÉVENTUELS ORDRES A L’ARRAISONNER VERS LE CAP DE SON DÉSIR D’AVENIR. SAUF QUE L’ANCIEN CANNETTAN ET AMI, REVENANT DU CANNET, PLUS MALIN, AVAIT TOUT PENSÉ POUR L’EN EMPÊCHER.
C'EST VRAI QUE RESTAIT ALORS
L’AFFRONTEMENT DU CONGRES POUR LES DÉPARTAGER, PARCE QU’APPAREMMENT
ILS NE POURRAIENT SE METTRE D’ACCORD ENTRE EUX POUR LE CHOIX D'UN COMMUN CANDIDAT. FINALEMENT
CHACUN D’EUX PRÉPARAIT A FRAPPER UN GRAND COUP, ESPÉRANT LAISSER L’AUTRE PÉTRIFIÉ DEVANT L’INCERTITUDE DU DESTIN.
MAIS ATTENTION
L’ANGOISSE SERRANT A CETTE EPOQUE LES GORGES DES USFPEISTES NOTAMMENT CEUX DU
M20F, POUVAIT PROVOQUER LA SURPRISE POUR EUX DEUX, SI ET SEULEMENT SI, EL MALKI LE
SOLITAIRE SOLIDAIRE AVAIT JOUÉ FINEMENT SA PROPRE PARTITION DANS CE CONCERT INÉDIT. NOTAMMENT EN
ENTENDANT CORRECTEMENT LES INTONATIONS QUI LUI ÉTAIENT DISTILLÉES. DE SORTE QU’EN
ARRIVANT A LEVER CETTE INCERTITUDE POUR POUVOIR SE QUALIFIER AU DEUXIÈME TOUR,
IL AURAIT PU RAFLER LA MISE PAR DÉFAUT DE CONCURRENCE OBJECTIVE. ET QU’ENSUITE
VEILLER EN PERSONNE A CE QUE LE NOUVEAU DÉPART DE L’USFP NE SUBISSE PLUS LES MÊMES DÉCONVENUES, ET DE FAIT DÉPASSER LES ESSAIS DES CORROMPUS TOUJOURS INSENSIBLES AU MOINDRE
CHANGEMENT.
Mais qui est-il au
juste EL YAZGHI Mohamed dans la chaîne tempestive politicienne marocaine ?
Homme politique lettré au référentiel
socialiste, et à la connaissance cognitive du champ politique marocain du fait
de sa longue expérience de surcroît mouvementée. Et que sous l'examen de ses
yeux, il y a eu entre instants accablants de ses silences surtout lors des
nombreux procès des années de plomb, beaucoup de mobilisation de conscience.
D’ailleurs à peu de chose près, simplement pour évocation il ne pouvait être que
de l’avis du CNDH à propos du rapport sur l’état des prisons au Maroc. Et ce
n’est pas par hasard qu’on l'appelle Si Mohamed au parti, parce que c'est un
tacticien rodé à la chose politique. Mais parfois hardi voire d'état d'âme
incontrôlé ne se gênant pas de dire les choses quand ça l’arrange seulement,
tellement qu'il avait même failli en faire les frais dans l'affaire Laila.
Longtemps au Start Up n'ayant jamais cessé
d'en paraître le chef légitime héritier d’Abderrahim Bouabid, avec l'ambition
affichée de main mise sur l'appareil du parti. Mais pour beaucoup de ténors non
suiveurs et autres observateurs avertis de l'USFP, c'était sans compter sur les
apparatchiks sbires de Youssefi, qui voyaient en lui un habitué dévié de la
récolte des gens du passé. Malgré qu'il ait eu sa cote-part de chef de parti
par intérim en liberté provisoire, d’où il faisait quelques pas en direction du
makhzen par pragmatisme. Ainsi, il semblait marcher au rythme imposé en
courbant légèrement son buste ne s’expliquant pas cette posture, vu qu’avant il
se savait épier par Basri. Tellement qu’à l’une de ses rencontres avec les
usfpéistes d’Azrou il s’était fait interdire son rassemblement même étant
ministre sous Youssefi. Benkirane ne doit aucunement s’en offusquer de sa mésaventure à Tanger, car de tout temps le ministère de l’intérieur veille au
grain interdisant les rassemblements politiques non préalablement autorisés.
Dans sa fonction intérimaire qui ne dura
guère longtemps, la gué guerre était trop inégale au point que ses supporteurs
furent retranchés dans les rigoles du chantier USFP. D’ailleurs ils en portent
les traces visibles de leurs peines après son limogeage par le bureau politique
se hâtant d'en finir. Tellement qu’après à son intention qui n’est
plus secrète s’ajouta sa prétention de
reprendre la main en supportant dans un furtif moment la candidature de Zaidi pour le secrétariat général du parti, après avoir gentiment écarté Mohamed Redha Chami son poulain
d’autre fois. Pour lui il est normal d’essayer d’installer au plus haut de la
battisse USFP l’un de ses préférés, afin qu’il soit plus prêt du foyer
décisionnel de l’Etat et donc rendre pénible les ascensions des autres
postulants. Quant aux remerciements de ce dernier pour lui, il ne s’en croit
pas obligé de les prendre comme argent comptant car il en aurait fait autant pour
n’importe qui pouvant faire barrière aux non affiliés à sa projection d’avenir.
El Malki, Achaari et à moindre raison Lachguer le vainqueur de l'étape, n'étaient avertis de cet
invraisemblable amoncellement de jalons pour balisage des parchemins encombrés
menant à la chefferie. A cet égard, n’est-ce pas que les tractations au congrès
s'annonçaient à feu rompant sur les extrémités du parti ? Parce que c’était là
où risqueraient de s’ouvrir les âmes des congressistes, par la vengeance des
uns par rapport aux autres notamment s’il y a un deuxième tour.
Justement après l'alternance sous
Youssefi, il fut sévèrement critiqué, et s'était terré dans l'impuissance par
suite à sa schize de la base. Puis se relevant extraordinairement de ce tumulte
cruel pour lui, en étant partagé entre fidélité
à l'esprit de son formatage ultérieur pré pensé pour rester dans la
mêlée, et retrait préconisé par les frondeurs du mal sacré koutléen. Dont il
s'était étrangement accommodé en s'accomplissant officiellement par un
lestage incompréhensible, en
l'occurrence un maroquin de ministre d’Etat dans le gouvernement sortant. Était-ce fait par nécessité tout simplement d'anticipation d'aménagement
territorial du futur de sa lignée où désir d'accompagnement en double aveugle
de l'action gouvernementale qui fut soporifique jusqu'au bout. Par ailleurs,
hormis qu’il ait marmotté qu’il n’en croyait pas ses yeux en franchissant le
rideau des critiques et s’en tirer sans trop de dégâts, l'effrayant effort de
surcroît accéléré qu'il s'était imposé pour se rattraper se devinait à son
appel de rénovation consensuelle de la constitution
après le discours royal du 9 Mars 2011 en réponse rapide et solennelle au
printemps arabe par l'intermède du ton revendicatif bruyant du mouvement 20
Février.
Bienséant, quand ses réflexions spontanément
s'étaient coïncidées sur la première mouture discrètement sous-entendue de la
constitution de la commission Mennouni, il avait vu son faciès rosir de
satisfaction et ses yeux se larmoyer de joie. Sauf que le PJD avait tiré
rapidement la sonnette d'alarme par un serrement de ses rangs réclamant à la
commission plus d'attention au référentiel de l'Etat musulman, ce
qu'immédiatement fut fait. Mais voilà qu'une prétention naquit chez les
opportunistes à tout vent, et habilement relayée par leurs relais improvisés,
qu'un diable avait infiltré la conscience de ces tenants et aboutissants du
projet de constitution voulant
prétendument laïciser l'Etat. Quel hypocrisie! A voir comment leurs pensées se
sont entremêlées avec l’expression de dédain du PJD sentant la colère s’emparer
de lui. Alors qu'en vérité ils ont manqué de courage de rester sur leur position
d’avant, demeurant paisiblement à la fenêtre à regarder ces pjdistes prendre le
dessus pour le plus grand soin de leur lampe au reflet brûlant suivant au pas
les chemins du M20F. Attendant le moment propice pour s’emparer du butin, on ne
vendant emphatiquement que des images pieuses à la Nahdha tunisienne, se
référant aussi à l’opportunisme des frères égyptiens.
Mais pour les observateurs avertis,
connaissant quelques réalités des choses par confidence soutirée ici et là auprès de
ces commissionnaires, c'est évidemment de l'exploitation politicienne du timing
du temps marocain dans l'embrouillamini révolutionnaire arabe dont il s'agissait.
Et qu'au bout du compte le revirement d'alors n'était que la conséquence d'une
historiette seulement, dont le déroulement était dans les têtes de ces crieurs
en vogue. Pour preuve ce soi-disant diable s'était-il volatilisé laissant les
marocains entre les paragraphes des bons articles de la constitution? Qu'ils
avaient eux mêmes plébiscités par référendum à plus de 98%, de surcroît mémorable
à tous les niveaux. N’est-ce pas que le discours royal au trente septième
anniversaire de la Massira, en a montré le référentiel démocratique porté,
sachant le désir des marocains à s’en acquitter fièrement en s’initiant à une
dynamique palliative à l’action du gouvernement. Marquant surtout le sérieux de
la proposition de la régionalisation avancée finement balisée par les articles
de la constitution, que le CESE d'alors sous Benmoussa en est devenu responsable
d’en établir objectivement les fondements, loin des rafistolages partisans où
autres calculs politiciens. D’ailleurs soyons courageux ! Dans l’immédiat et même après on ne pouvait trouver mieux pour aborder rigoureusement ce chantier, parce qu’une
bonne proportion des parlementaires actuellement, n’est pas en mesure à prendre
à bras le corps ce dossier sensiblement technique. D’abord par incompétence pour
certains, puis par souci de bien faire vu les dégâts causés dans leurs cerveaux
pour les autres de par les joutes et vociférations échangées entre eux.
Mais voilà d'après les gens sensés, n'est-ce pas là la singularité du Maroc et la particularité de sa population de toujours aller à l’essentiel en dehors
de tout markéting neuro-conscient par des essais amalgamés ? Comme lors
des questions orales au parlement ne servant qu’à montrer les tentatives de
faire coucher les ministres sur les bancs de l’hémicycle lors de la fameuse
glissade du ministre des affaires islamiques et habous le jour du vote
référendaire.
En plus du suivi des critiques d’El Yazghi semblant revenir à lui sur la démarche à prendre, primo sur le retrait de Benkirane aux obsèques de Ben Bella et secundo sur la déconfiance à Christopher Ross sans concertations internes avec les partis, parce que d'après lui elles n’étaient qu’un coup porté à l’amateurisme du chef du gouvernement et du ministre de tutelle aux affaires étrangères El Othmani. Mais la question qui taraude à plus d’un titre les nonnistes déclarés, comment se fait-il qu’il n’y a que lui qui apparemment s’en était chargé explicitement de cette besogne dans tout le panel politique marocain ? En ce sens, ne s'agissait-il pas de sa part de marquer l'histoire, sachant que les marocains n'hésitent pas de le faire par la conviction, contrairement à ce qu’en pensent les sous mariniers mercenaires producteurs d’idées bizarroïdes tournant continuellement dans leurs têtes En effet comme par exemple pour ce qui est du choix du oui référendaire, il fut fait loin des courroies de transmission des agents d’autorités via les cheikhs et moqadems, et encore moins de ceux se prétendant gardiens du temple en l’occurrence les pjdistes qui en ont tout de même récolté la moisson. Vraiment l’histoire le dira, ce ne sont non plus ni les Afarits ni les Salahifs, qui les en ont convaincus d’opter pour le oui référendaire et les pousser à vivre ce destin paisible vers la régionalisation avancée malheureusement très retardée par la non raison de Benkirane, même si elle est qualifiée brillante par la communauté internationale.
En plus du suivi des critiques d’El Yazghi semblant revenir à lui sur la démarche à prendre, primo sur le retrait de Benkirane aux obsèques de Ben Bella et secundo sur la déconfiance à Christopher Ross sans concertations internes avec les partis, parce que d'après lui elles n’étaient qu’un coup porté à l’amateurisme du chef du gouvernement et du ministre de tutelle aux affaires étrangères El Othmani. Mais la question qui taraude à plus d’un titre les nonnistes déclarés, comment se fait-il qu’il n’y a que lui qui apparemment s’en était chargé explicitement de cette besogne dans tout le panel politique marocain ? En ce sens, ne s'agissait-il pas de sa part de marquer l'histoire, sachant que les marocains n'hésitent pas de le faire par la conviction, contrairement à ce qu’en pensent les sous mariniers mercenaires producteurs d’idées bizarroïdes tournant continuellement dans leurs têtes En effet comme par exemple pour ce qui est du choix du oui référendaire, il fut fait loin des courroies de transmission des agents d’autorités via les cheikhs et moqadems, et encore moins de ceux se prétendant gardiens du temple en l’occurrence les pjdistes qui en ont tout de même récolté la moisson. Vraiment l’histoire le dira, ce ne sont non plus ni les Afarits ni les Salahifs, qui les en ont convaincus d’opter pour le oui référendaire et les pousser à vivre ce destin paisible vers la régionalisation avancée malheureusement très retardée par la non raison de Benkirane, même si elle est qualifiée brillante par la communauté internationale.
A ce titre, lui l'usfpiste de toujours, quelle raison aurait-il
invoqué à l’époque de ne pas prendre en compte ce déroulement des événements purement
politiques, sans se faire passer pour le passionné du confort
d'installation ministérielle? De ce fait même après, à son sentiment
d'impuissance il opposa un calme déroutant, dès lors que son
habileté de toujours agir d'une façon concise fut mise à rude épreuve. Murmurant
que c'était juste un essai de jauge politicienne au temps politique en cour en
ces circonstances préélectorales du nouveau secrétaire général de l’USFP.
Forcément le désintérêt qu'il avait porté aux cris de non renouvellement du
bail gouvernemental auprès du PJD, par les militants après la débâcle du parti
aux dernières législatives, ne semble pas aller dans le sens d'un remerciement
gratifiant pour sa soi-disant aide désintéressée à sortir de l'enfer des positionnements
contradictoires. Vu que, ça l'avait fait blêmir repensant aux années de dèche de fonctionnalité étatique qu'il avait vécue des années durant dans
l'opposition, et dont il porte encore les séquelles surtout du colis piégé que
par ailleurs personne ne lui conteste.
Sauf qu'aujourd'hui c'est d'un autre
Maroc dont il s'agit, celui de la jeunesse de l'espoir et du défi par le
réalisme économique numérisé, et non celui de l'échec n’évoquant que la
dormance de ces chefs politiques longtemps en place. Ayant tous failli à
instaurer la démocratie dans les rangs des partis, sans même dire une
quelconque oraison pour le repos de leurs consciences. En ce sens, ils avaient même cru trouvé Eden éternel, alors qu’au contraire tous les voyants de
l’économie sociale du pays clignotaient. Au point que, si on se réfère au
bulletin du commissariat au plan du troisième trimestre 2012, on peut en
déceler sans doute l’écho du flop de la majorité abbassienne sortante que l'histoire
jugera pour le grand bien de la réhabilitation de la politique. Mais aussi
l’écran du smog social et économique de mauvaise gouvernance, présageant, si rien n’est rattrapé des
lendemains désenchantés pour l’équipe Benkirane. Aussi, il était impératif de
sortir définitivement de la routine des interventions qui n'ont plus la même
cotation symbolique qu'autrefois notamment auprès des militants, parce que,
n’usant que de délires d'auto-réalisation des prévisions. Ce qu'avait évité Chabat de de continuer à faire pour ne pas s'engluer davantage avec le PI sous Benkirane en rendant le tablier.
A dire vrai, est-ce que le PJD en a
vraiment conscience des méfaits de cette malversation d'autosatisfaction qu’il
pratique sans gène, comme alors ses coalisés par l'intériorisation du non dit de leur
repentir ? En effet, de par l’ordre politique nouveau dont apparemment le
PI depuis l’arrivée de Chabat et sa prise du gouvernail du parti, s’était essayé déjà
à tourner les talons par un accordéonnisme de langage à la limite de la
contradiction. Avançant et reculant à la fois, se voyant menacer du fouet des
suffrages futurs si rien n’est corrigé, vu le constat cuisant d’une corruption
encore grondante, d’une rente évidente trop voyante toujours soutenue, d’une croissance en
décélération et du climat social délétère voir détonnant. A cet effet, que
pense El Yazghi de l’appel au secours de Benkirane auprès des députés et
conseillers de sa coalition, les ayant rassemblés voulant en faire une « sunna »
trimestrielle pour l'enfumage ? Parce que les bruits qui se faisaient entendre se mêlant parfois aux rires des istiqlaliens le voyant se tourner vers le palais
cherchant plus d’appui, ne le rassuraient pas outre mesure.
C’est vrai que le fait est là, mais
Benkirane aurait aimé ne pas subir auparavant la brutalité des usfpéistes affranchis se
donnant libres cours à se distancer politiquement de leurs manitous comme El
Yazghi Erradi, et aussi de leurs anciens cohabitants de Koutla. Et ce, pour
éviter d’éventuel rapprochement seulement vers ces ténors de l’USFP toujours
envieux de l’exercice du pouvoir. Lesquels croyant n’avoir aucune trace sur
leurs visages, du tatouage de la colère de ces jeunots du bas comme ils
aimaient les surnommer. A cet effet, que pensent-ils tous, des
sorties médiatiques notamment de Mohamed Boubekri Abdelhamid Jmahri et d’autres
pour ne pas tous les citer, en plus de la guéguerre des positionnements au sein
des réseaux sociaux, les contrariant sèchement dans leur désir d’avenir narcissique à vouloir se maintenir ? Ne voient-ils pas que toutes sont porteuses
du message en filigrane du positionnement de l'USFP dans la logique de
l'alternance seulement par les urnes, éloignant d’eux, même leurs sbires en veille du congrès du parti et au-delà ? Une grande leçon de démocratie qui
s’y est installée, parce que l'exiguïté nostalgique du creuset koutléen qu'au début
était idéologique ne les a aucunement servi. Vu qu’il ne leur a pas permis de
se sentir libre de sortir tête haute, alors que des avalanches de critiques
pleuvaient sans arrêt depuis longtemps sur la Koutla toute entière.
Excellent billet qui en dit long.
RépondreSupprimerBravo et merci Aziz IKKROU
Chahid Bendriss