SA DEVISE, SANS LE
FAIRE PARAÎTRE C’EST LAISSER SES DÉTRACTEURS AU PARTI SE FAIRE DÉVORER DE
JALOUSIE, PARCE QUE N’ARRIVANT PAS ENCORE A APPRÉCIER LA TENEUR DE LA TOURNURE
QUE PREND LE TEMPS PRINTANIER DU MP. PENSANT MÊME QUE C’EST LE MEILLEUR MOYEN
DE S’ASSURER SON FAUFILAGE INTENTIONNÉ ENTRE LES MAILLES DU PARTI.
SAUF QU’ELLE EN A
GOUTTÉ L’AMERTUME DANS SON FIEF ÉLECTORAL, SE VOYANT AUX ELECTIONS DU 25
NOVEMBRE 2011 OBLIGER D’ABANDONNER LE POSTE A UN TRANSITAIRE
TRANSFUGE DU PAM POUR SAUVER SON AURA D’ANTAN AU PARTI AU NEZ ET A LA BARBE DES ADHÉRENTS DE LONGUE DATE.
ET C’EST PARCE
QU’ELLE NE S’ILLUSIONNAIT GUÈRE DE LEURS SENTIMENTS A SON ÉGARD LA CÔTOYANT PAR HYPOCRISIE QU’ELLE-MÊME LE FAISAIT RIEN QUE POUR CONTINUER A AVOIR UNE
PLACE DORÉE AU BUREAU POLITIQUE DU MP. N’ÉTAIT-CE PAS LE SIGNE D’UNE ÉVENTUELLE DESCENTE AUX ENFERS PAR UNE DÉSHÉRENCE POLITIQUE ANNONCÉE.
MAIS ATTENTION, MÊME SI TOUT CELA EST VÉCU DANS UN DÉSAPPOINTEMENT IL SE FAIT AUSSI AVEC ESPIÈGLERIE LANGUE BIEN RODÉE MIELLEUSE ET IMAGINATION FERTILE, DONT LE BUT
PRINCIPAL EST DE PARACHUTER SON PRODIGE PROTÉGÉ LE CAS ÉCHÉANT A LA CHEFFERIE
DU MP.
Mais qui est-elle
vraiment ASSALI HALIMA dans la mouvance
populaire ?
Une femme amazighe inconnue au départ
mais starisée à coups de réceptions d’offrandes et aussi à distances d'affirmations
par des supports médiatiques à son avantage.
Toujours éprise de loyalisme envers les siens seulement, mais ne bénéficiant pas
réciproquement automatiquement du même traitement, seulement au cas par cas.
Depuis son enfance au plateau d’Ajdir à Ait Boumezough des territoires Zayans, que de choses vécues.
Pour rappel, au lendemain des évènements du 03 Mars 1973 de Moulay Bouazza
Khénifra Assoul Oujda Casa, lorsque Feu
Mohamed Benhima ministre de l’intérieur descendant de l’hélicoptère accompagné
d’Aherdane et du colonel Arzaz, visages défaits, annonçant aux tribus Zayans
sur la place d’Azlou l’investiture de ce dernier en tant que gouverneur
militaire de tous ces territoires, les zayans surtout Ait Khouya ne savaient
pas ce qui les attendait. En somme beaucoup de souffrances dans leur chaire et
leurs biens, dont l’IER (Instance Équité et Réconciliation en avait eu des
années après de plus amples détails.
Par contre elle s’était
extraordinairement transformée si on songe en particulier aux
informations qu’elle eut à entendre sous la bannière des amehzounes.
Aussi, au seuil de sa maturation politique elle s’était engouffrée dans le
patio exigu interne à la mouvance populaire, jouant des coudes et dépassant
toutes les nuances d'interprétation qui risquait de la faire tomber. C'est
comme ça qu'elle avait fait in vraisemblablement de l’ombre à tout le monde, sachant qu'elle était drapée
dans la légitimité de proximité des amehrouqs imahzanes, dont l'aura politique
en ces temps là était conséquente au sein du MP. En effet, lors de la traversée
du désert d’Aherdane pour incompatibilité d’humeur avec Basri et ses
inconditionnels gouverneurs, la présence non seulement amicale de Mohamed
Amehrouq surnommé Caidi par ses satellites à
ses cotés, avait fait cimenter davantage leurs liens d’avant. Supportant
sans hésitation avec d’autres le nouveau parti MNP, parce qu’une armée de leurs
suiveurs en turban les avaient rejoint.
Justement, suite à cela, il fallait
qu’elle en soit une femme imaginative de trucs, vivant en évènementiel permanent pour être restée longtemps si prêt des décideurs du MNP refondu
ensuite en MP après l’union comme jadis. Parce que pour elle, tant ses
détracteurs au parti n'étaient pas hors portée, des remontrances coléreuses des
patrons, elle continuait à gagner ses galons. Profitant de la première occasion
des quotas pour l’entrée des femmes au parlement, pour se placer au devant et
vivre elle aussi son expérience de parlementaire, pour ne plus subir les clins
d’oeils des érudites du parti en l’occurrence Keheil, Gajmoula et d’autres. En
revanche sa prise de position aux élections législatives anticipées du 25
Novembre 2011 pour, la non reconduction des femmes à une troisième députation
via la liste nationale, est intéressante s’il n’y avait pas intrinsèquement une
complicité passive de substitution familiale derrière. En tout cas elle a adoré
montrer cette docilité ayant un écho positif chez les militantes, alors que
c’est une espièglerie à même de les fédérer autour de cette nouvelle ligne
politique au langage fleuri seulement.
En effet ça ressemblait à un regard
neuf, une stratégie de levier de décision transformatrice de désignation plus
crédible, au vu des messages distillés ici et là dans la presse pour faire sa
promotion politique. D’autant plus elle fait partie de ces politiciens amazighs
polychromes, dont le comportement varie selon le moment entre l’entêtement
filali, la fierté jdidie, la vaillance tétouanie, la réserve fassie, le nez
oujdi, l’éloquence sahraouie, la
feinte slaouie et
la félicité marrakchie.
Un vrai programme comportemental qui laisse à
désirer, qui fait penser au partage de soi, entre fureur d'être et joie d'en
rire.
Parmi eux, il y a aussi bon nombre de ses
détracteurs actuels mêmes proches du cercle emblématique du MP, qui pensent
qu’elle n'a que faire des défis sociétaux hors incarnation de l'amazighité, par
ailleurs constitutionnalisée depuis le oui référendaire du premier Juillet 2011.
S'agit-il pour tout ce beau monde d'une obsession pour éviter toute fiction de
leur souffrance intime, de ne pouvoir la déstabiliser en tant que membre
influent du bureau politique du MP ? Où au contraire, c'est une démarche
conforme à leurs impulsions politiques saccadées selon les circonstances seulement,
pour montrer leur appétit de renouvellement des rapports de force au sein de
l’instance dirigeante vieillissante. D'ailleurs, comme par hasard elle en fait
siennes en cette période de grand remue-ménage au MP, par lesquelles, elle essaye
de jeter en infra liminaire la base de sa nouvelle conception à la visée politico
électoraliste d'écartement d'autrui. Sauf qu’il serait difficile pour elle, de
faire croire aux scrutateurs observateurs qu'elle ne veuille propager l'esprit
communautariste, lequel est viscéralement rejeté des marocains. Voilà quelque
chose qui la laisse sceptique, mais elle n’en dit toujours rien, tant le
message est rudement codé et de haute voltige politique demandant une maîtrise et une assurance dans les éléments de réponse Au fond, c'est astucieux de sa
part de s’éviter la foudre des constitutionnalistes ! Ainsi, l’exiguïté de sa
marge de manœuvre ne lui permet sans doute pas de donner plus de place à la
prise de parole en réponse à ses détracteurs, sachant que la nouvelle
constitution est explicite à cet égard, condamnant toute tentative d’ emmure ment ethno-culturel.
Que ses détracteurs le veuillent ou non,
elle est la vraie pacificatrice du mouvement populaire, ayant poussé Aherdane
comme Laenser à déposer leurs haches de guerre. D’ailleurs, en ce moment là ils
connaissaient trop ses machineries en sourdine conjuguées à celles tapageuses
des composantes de la mouvance sous son emprise, cachant un nid de crabes pour
oser la contrarier, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. A cet effet elle
était parvenue à leur donner une nouvelle raison de coexister ensemble, pour
pouvoir survivre politiquement au-delà de l’absurdité des chamailleries
provoquées du temps de feu Basri. Néanmoins, elle en avait récolté gateusement
la primeur, de quoi elle avait rassuré davantage son transitaire transfuge qui
fut écarté du PAM, et qu'elle avait réussi à investir en tête de liste aux
élections du 25 Novemre 2011, sur un conseil d’une Shaquie, malgré le tohu-bohu
provoqué au sein du MP à Khénifra.
Parce qu'elle se savait en perte de
vitesse, ne pouvant décrocher ce poste ni pour elle ni pour aucun de ses proches même consanguins.
Il ne lui restait donc que de se plier en quatre devant les habitants d’Ait
Ishaq et Ouaoumana, les suppliant, ne sachant même pas l’existence d’une haine
électoraliste entre Ichaqquirnes et Shaquis que d’ailleurs avait expliqué fort
bien l’enfant adoptif du pays Mohamed Haddou Echeguer dans son mémoire des
années soixante du siècle passé. Comme ça en votant massivement chacune des
tribus pour son rejeton sans tenir compte de sa couleur politique, elles ont
raflé deux postes sur trois un MP l’autre PPS. A cet effet, au delà de se
montrer au sein du bureau politique comme visionnaire rapportant un siège
difficile à conquérir, elle devait les remercier d’avoir consenti à lui tendre
cette perche pour sauver son parti d’une déconvenue annoncée.
En ce temps de dialogue de plus en plus
violent entre les postulants à la présidence du parti, et qu'au demeurant tous
tombent sous l'effet de la revendication de la jeunesse MP du 20 Février, elle
a aussitôt planté son bâton dans l’attente d’y voir plus clair. C'est
d'ailleurs sa marque de fabrique comme ce qu'elle avait déjà fait pour celui
qu’elle aimerait soutenir en l’occurrence son proche protégé, qu’auparavant elle
l’avait fait hérité d'un secrétariat d'Etat aux affaires étrangères ne faisant
que du tourisme diplomatique usant de son savoir linguistique dans le
gouvernement sortant. Et ensuite, ministre de la jeunesse et sport dans le
gouvernement Benkirane, parce que Laenser ayant vu que sa candidature ait été
refusée avait trop insisté pour sa reconduction. Cependant, elle espère le
parachuter à la tête du MP livré actuellement aux bourdonnements d'oreilles, vu
le charivari d’une douzaine de députés sur un total de vingt trois, ayant fait
le printemps de leurs âmes n’acceptant plus ce jeu préétabli comme un
déterminisme divin. Voulant imposer, soit le Gueulard Abdelkader Tatou toujours à la recherche d'une revanche, soit le tamponneur Moubdie trop benkiranié qui s'est vu aussi cautionné par elle pour la ministérialité, pour se montrer eux aussi révolutionnaires changeant la méthode du fait accompli.
Même à un moment donné allant jusqu’au murmures de changement de ministres
comme chez les istiqlaliens, augurant d’une vraie descente aux enfers pour le
gouvernement Benkirane I. Sauf qu’une surprise générale pourrait tous les attendre, s’il
arrive que Laenser ne postulasse plus parce qu'après le forceps de la naissance du gouvernement Benkirane II, il a perdu la Kalaa de l’intérieur pour le demi-poste que gérait Nabil Benabdellah. Donc c'est vrai qu'en pleine préparation du conseil national du parti beaucoup d’autres voix ne se taisant plus, espérant investir un autre visage tel le poids lourd au nom de
Hassan Abouayoub ayant un pedigree étoffé plus au diapason des conduites dans l’ombre et la pénombre. Et dont
l'histoire nous en dira davantage vu qu’il passe mieux en surface comme en
immersion dans la houle des réseaux sociaux, notamment facebookarde de la
jeunesse MP.
Ce n’est nullement une délation où
inconsidération que de relater une vérité politique de l’état d’âme qui la
dirige, et qui s'est grandiosement manifestée dans les tractations à propos de
la formation du gouvernement Benkirane I et meme la deuxième pouture ayant insisté sur la ministérialité de l'une de ses grandes amies en l'occurrence. N'était-elle pas la seule à
avoir parlé à voix haute pour dénoncer le fait que le MP s'est vu contraint de
rejoindre le G8 malgré lui au lendemain des élections anticipées du 25 Novembre 2011? Et dont après elle s’en est mordue les doigts
d’avoir eu cette profusion de langage, sachant après, que tout était en place
et qu’elle n’y est pour rien dans cette direction agitée. Peut-être tenait-elle
à montrer l'incroyable facilité avec laquelle les G-Huitards avaient accepté
leurs positionnements, jusqu'aux pires auto-flagellations pour certains et
auto-satisfactions pour d'autres. Mais j’en doute fort bien, parce que ce
raisonnement dépasse les filouteries politiciennes de bas de gamme qu’elle maîtrise assez bien.
L’atmosphère de kermesse qui règne actuellement au MP en attendant le
grand spectacle que le nouveau postulant au ministère de
l’intérieur prépare pour 2015, ne la rassure pas outre mesure. Parce que,
nombreux sont les conteurs rythmant la vie politique intérieure et extérieure
du parti par des récits relevant des charmeurs de serpents comme à Djamaa El
Fna, que par ailleurs était visible dans les prestations télévisées de Laenser après son débarquement du ministère.
N'est-ce pas ce qui risque de la faire balancer avec d’autres amis pensionnaires privilégiés des instances du parti, en dehors de l’arène jusqu’à se mettre à brasser son avenir seulement avec de l’air tempestif de la branche mpéiste du M20F, en plus avec accusé de réception de la peur de leur vindicte. Oui le MP, comme les autres partis n’ayant pas encore fait virer leur cuti pour la démocratie interne, risquent primo les soupirs agacés des serviles ne se voyant plus avantagés de leur servitude et secundo l’agitation des insatisfaits du travail effectué par les chefs porteurs de chimères et faux espoirs.
N'est-ce pas ce qui risque de la faire balancer avec d’autres amis pensionnaires privilégiés des instances du parti, en dehors de l’arène jusqu’à se mettre à brasser son avenir seulement avec de l’air tempestif de la branche mpéiste du M20F, en plus avec accusé de réception de la peur de leur vindicte. Oui le MP, comme les autres partis n’ayant pas encore fait virer leur cuti pour la démocratie interne, risquent primo les soupirs agacés des serviles ne se voyant plus avantagés de leur servitude et secundo l’agitation des insatisfaits du travail effectué par les chefs porteurs de chimères et faux espoirs.
ça c'est de la narration histpriquement millimétrique, peut être il faut un article sur sa fille la z amarhroq
RépondreSupprimer