POUR LUI EN OFF, TOUT
DOIT DEMEURER COMME PAR LE PASSÉ AU MP. MÊME SI EN ON, L’ARDEUR DE SES PAROLES
MONTRE A CONTRE-CŒUR QU’IL S’Y REFUSE AU FAIT ACCOMPLI.
PARCE
QU’ACTUELLEMENT IL SAIT QUE LES DÉPUTÉS ESSAYISTES A LA CATAPULTE, OU A
L’ÉCHELLE POUR AVOIR LA FORTERESSE MP, NE SONT PAS PRÊTS A TRANCHER LE STATUT
DU CHEF DU PARTI POUR ÉVITER LA SCISSION. D’AILLEURS LEURS MAINS EN CATIMINI,
CHERCHENT ANXIEUSEMENT LE SALUT DE LAENSER, CAR AU FOND D’EUX UN DÉSIR DE
RECONNAISSANCE DANS LE FUTUR.
EH OUI ! D’APRES
LUI, POUR QUE LAENSER LA LEUR RENDE UN JOUR, CES SOI-DISANT FRONDEURS DOIVENT BAISSER
LA PRESSION EN CE MOMENT, SINON ILS RISQUERAIENT LE COUP DE
BALAI EUX AUSSI.
PARCE QU’EN PLUS AVEC LA FRONDE DE LA JEUNESSE MPEISTE DU M20F, L’ÉCUME, LA TEMPÉRATURE ET LA VINDICTE GÉNÉRALISÉE POURRAIENT EN ÊTRE INITIATRICES D’UNE FAILLE PROFONDE AUX FLANCS AU MP.
PARCE QU’EN PLUS AVEC LA FRONDE DE LA JEUNESSE MPEISTE DU M20F, L’ÉCUME, LA TEMPÉRATURE ET LA VINDICTE GÉNÉRALISÉE POURRAIENT EN ÊTRE INITIATRICES D’UNE FAILLE PROFONDE AUX FLANCS AU MP.
MAIS, ATTENTION
CETTE GLACIATION DÉSIRÉE PAR LUI, RISQUE D’EFFILOCHER LE FONCTIONNEMENT DU MP
EN SE METTANT A MARCHER AU BORD DU PRÉCIPICE SOUS LA CONDUITE SNOBISTE DES
PRIVILIGIÉS(ES) DE LONGUES DATES DES INSTANCES SURTOUT DU BUREAU POLITIQUE.
Mais qui est-il
AMESKANE Saïd dans cette posture par l’avalement de dragées substitutives de
jointure à l’agréable ?
Ex ministre du transport au comportement
simpliste, réellement plus proche
du peuple amazigh. Longtemps se prenant pour un vrai réformiste, mais l’histoire retiendra peut être de lui qu’il est l’homme,
qui a commencé à disséminer les agréments de circulation en matière de
transport collectif et de masse en plus des licences d’auto-écoles. Sauf que
c'est resté de par ses détracteurs une niche de privilèges rentiers
inadmissibles, surtout pour les nantis et autres filiations d’amis en plus des relations
de nature lucre où consanguine.
A ses débuts en politique au MP, il fut
docile puis devenu sécessionniste dans
l’âme. Car était logé à l’étroit pour non-conformité de notabilité du temps du
Zayegh en l’occurrence Mahjoubi Aherdane. Néanmoins sa subtilité était de ne
pas trop le montrer, en attendant le moment propice pour agir. Justement à un
moment donné une illumination saugrenue l’avait envahi, parce qu'il avait senti
l'odeur du brûlé dans les rangs, espérant de ce fait pouvoir creuser son sillon
politique au parti. Pour cela, il s’était laissé volontairement manipulé lors
de la croisière libyenne des années quatre vingt. Ce qui lui avait permis de
résoudre son dilemme, et de goutter après, aux délices de la vie ministérielle
qu’il jugeait au demeurant émancipée. Ainsi il avait vu d’un seul coup son
visage envahi d’un soudain rayonnement, se sentant davantage prêt à d’autres
sacrifices pour satisfaire les commanditaires.
Evidemment il pensait qu'après cela, il
n'aurait plus l'occasion de souffrir d'un autre écartement, se donnant
complètement à son mentor comme pour chercher sa protection continue. Soudain
l'indifférence du protecteur eut raison sur son désir, et l'espoir s'en alla,
trouvant cela bassement abject alors qu'il pouvait le prendre avec philosophie.
Ne savait-il pas que toute attitude politique basée sur le sacre de la
traîtrise, n'est qu'une série de coups conscients où involontaires échangés de
part et d’autre dans une arène d’apparence sereine? N'ayant pas eu cette capacité integrative du jeu politique, de fait, il était facile
bien sur de lui laisser croire à un avenir plus captivant, mais le maître de
cérémonie n’en avait nullement besoin après.
Et ce fut une longue traversée du désert pour lui au travers de tant de dangers électoraux. Parce que justement il avait
découvert que cet homme, qui lui paraissait bon généreux voire droit, n’était
qu’une façade de machination assez redoutable. Sauf qu’après, il s’était vu
octroyer le poste de président général de la fondation du grand Ouarzazat pour
le développement durable, dont l’idée de sa création sous la présidence de
Rochdi Chraibi remonte à la visite royale 2007 à Ouarzazat. Ce qui annonce un
télescopage d’influence pour le leader sheap de chef-lieux de région entre
provinces, au vu du projet de régionalisation de la commission Azimane n’englobant
que des territoires administratifs n’ayant pas eu des années durant leur part
équitable en infrastructures et projets viables. Mais, à voir le geste grandiose
en 2012, par le lancement de l’un des cinq grand parcs d’énergie solaire
renouvelable pour le développement durable à Ouarzazat et non au Tafilalet, on
ne peut pas ne pas imaginer la main de l’ami derrière.
Bien sur, il s’en est rappelé de la période
des vaches maigres, surtout après s’être choisi voire imposé par Laenser en
tant que second de la hiérarchie, sorte de secrétaire général délégué du MP
parmi la cohorte d’amis d’un bureau politique vieillissant. Alors même que
son hésitation maladroite était perceptible lors de l'octroi des
cautionnements d'investitures des
candidats pour les législatives anticipées du 25 Novembre 2011. Résultat obtenu
faisant foi, mais redoré par une tractation de main de maître par Laenser
arrachant quatre portefeuilles, dont le ministère emblématique de l’intérieur. Certes
qu’aujourd’hui, à l’orée de l’application des dispositions de la nouvelle
constitution par le nouveau parlement, il prône le sérieux le discernement
l’intégrité et la rigueur dans l’engagement politique de tout un chacun.
Appelant au renforcement à priori du contrôle du budget de la loi de finance et même des comptes spéciaux. Facile à dire qu’à faire, n’est-ce pas là une
narration déclamatoire de sa part, longtemps reportée pour raison de privilèges
et d’aura au sein de la mouvance populaire ? Et peut être même, de
courbure d’échine pour raison de compatibilité avec sa propre historicité évènementielle, même si, il trouve aberrant que le gouvernement actuel en
rajoute en contractant de nouveaux crédits sans l’aval législatif.
En tout cas, il croyait saisir la bonne
occasion pour s’illustrer devant ses compères et devant la jeunesse du 20
Février, comptant devenir l’un des nombreux essayistes du bénéfice du
changement. Allant jusqu’à annoncer à qui voulait l’entendre que ce n’était pas
le moment de discuter d’un quelconque réajustement dans le fond comme dans la
structure du parti, vu que les assaillants ne sont pas encore murs pour diriger
le parti. Finalement ce qui importe pour lui c’est le maintien de l’alliance
gouvernementale, en dépit des messages politiques des frondeurs au sein du MP et d'ailleurs de la dite coalition.
Il est loin le temps où il caressait la
proportionnelle en 2004, songeant au pôle haraki décriant les coalitions contre
nature. Allant jusqu’à s’imaginer les lignes rouges entre la droite et la
gauche, loin de ce qui se passe aujourd'hui sur fond de liaisons dangereuses partisanes en contradiction avec le fil de l'histoire. N’avait-il pas pensé à l’éventualité que ce pôle pouvait prendre la
primature sous la direction d’Hassan Abouayoub, qu’à l’époque était ambassadeur
du Maroc en France ? A cet effet, au moment des tractations de formation
du gouvernement Benkirane, par hasard sans plus rien rajouter il se lança à
l'assaut d'un maroquin, puis se résigna une fois le rideau tombé. Comme ça, on ne peut pas dire qu’il eut
oublié de retenter sa chances et s’essayer de nouveau, ne sachant pas que les
marocains, s’étaient éveillés de leur torpeur s’accommodant assez mal de ce
genre d’approches hilarantes comme ce qu’ils avaient vécu par le passé.
A cet égard, c'est dans l'ombre de
Laenser en pleines tractations sur la composition du gouvernement, qu'il reprit
son esprit, comprenant qu'il n'était pas le seul des caciques du parti à porter
des boules anti-ministérialité aux pieds. En cela dans une brusque attaque des
déçus contre lui et contre Laenser, il paraissait insensible à ces évènements intérieurs du parti. Parce qu'il savait que les dés étaient pipés d'avance,
contemplant seulement leurs visages fermés d'incompréhension. C'était là
l'astuce préétablie, en effet, tous les postulants animés d'espérance marchaient
au chuchotement et encombraient de fait le passage vers les ministères, ce qui
avait profité avec la moindre casse aux plus proches vaillants d'entre eux.
Tristes jusqu’à l’âme après leur constatation, ils sont venus s’asseoir auprès
de leurs bases électorales respectives se ressourçant d’idées subversives,
puis se pelotonnant entre eux pour demander l’application de la démocratie
interne au sein du MP.
Mais, est-ce vraiment ça le MP,
s’interrogent les observateurs et scrutateurs de la chose politique ? Parce
que toujours rester du même coté, sans franchir les lignes de démarcation voire
du non retour par les députés et adhérents en s’essayant à autre chose, est une
faillible prévoyance de l’avenir du parti. Sauf que, pour les suiveurs inconditionnels de Laenser c’est non en ce moment, vu
qu’il y a déjà la fronde d’une douzaine de députés ayant fait leur
auto-critique. Se préparant en préliminaire du prochain congrès qui s’annonce chaud, pour essayer de
faire le ménage voire du nettoyage des caciques longtemps indéboulonnables.
Mais, attention les sommets floutés de la forteresse MP qui se dessinent déjà dans la pénombre, montrent qu’il y a un loup, parce que, le vent dépressionnaire se levant humecte leurs gorges les rendant de plus en plus aphones. Et c’est là une réponse subliminaire à tous ces novices protestataires n’ayant pas l’habitude de l’affrontement, prenant des formes fantomatiques ne pouvant arriver à ces sommets. En effet, en dépit de leur courage croisé, ils se disent chacun dans leur intimité que cette route pourrait être suicidaire pour eux, sachant petit à petit que les choses se corsent désormais dès lors que l’on s’approche de la date butoir du prochain congrès.
Mais, attention les sommets floutés de la forteresse MP qui se dessinent déjà dans la pénombre, montrent qu’il y a un loup, parce que, le vent dépressionnaire se levant humecte leurs gorges les rendant de plus en plus aphones. Et c’est là une réponse subliminaire à tous ces novices protestataires n’ayant pas l’habitude de l’affrontement, prenant des formes fantomatiques ne pouvant arriver à ces sommets. En effet, en dépit de leur courage croisé, ils se disent chacun dans leur intimité que cette route pourrait être suicidaire pour eux, sachant petit à petit que les choses se corsent désormais dès lors que l’on s’approche de la date butoir du prochain congrès.