ET C’EST BIEN ÇA QUI L’ÉPOUVANTE SENTANT LE BESOIN PRESSANT DE RÉSISTER AU DÉCOURAGEMENT SE GLISSANT DANS L’INCONSCIENT DE SES DÉTRACTEURS SURTOUT CEUX QUI LE HAÏSSENT.
AINSI, C’EST AVEC
PLUS D’ESPIÈGLERIE QUE DE DOUCEUR QU’IL ESSAYE DE LES REMETTRE SUR LES RAILS
DU PARTI, SACHANT LA DANGEROSITÉ DE LEURS ÉPINES CRUELLES CACHÉES DANS LEURS
PAROLES ENVELOPPÉES DE MIEL.
VRAIMENT IL N’EST
PLUS L’HOMME DE L’EXPRESSION MOLLE, SE FAISANT DÉSORMAIS PORTEUR D’UN DISCOURS
COMME L’ÉPÉE A DOUBLE TRANCHANT, TRAÇANT SON CHEMIN POLITIQUE POUR EVITER LE
REMAKE DE L’OUBLI QU’IL A ENDURE AUPARAVANT.
AU MOMENT DES
TRACTATIONS POUR RÉINTÉGRER LA COALITION BENKIRANE, IL AURAIT FALLU UNE
INSURRECTION DANS LES RANGS DU PPS POUR VENIR A BOUT DE SON DÉSIR D’Y
PARTICIPER. D’AILLEURS NUL MIEUX QUE LUI NE POUVAIT SE VANTER D’AVOIR RÉUSSI A
METTRE LE PARTI DANS LE GIRON DES ENNEMIS D’HIER POUR ENSUITE S’EN GLORIFIER.
MAIS ATTENTION
CETTE JOIE DU TRIOMPHE RISQUE DE LE FAIRE GLISSER A GENOUX DANS LA TURBIDITÉ PROVOQUÉE PAR L’ELECTION DE CHABAT, AYANT CHAUSSE DES LUNETTES DE PROXIMITÉ POUR UN AUTRE CONGLOMÉRAT QUI A LE VENT EN POUPE EN CE TEMPS PRÉSENT.
Mais qui est-il
BENABDALLAH Nabil pour s’y etre essayé de rejoindre la rive du PJD ?
Ex ministre de la communication, de
sorte qu'avec lui le langage politique était allé aussi loin dans l'échange, usant
de logorrhées discourantes en cherchant à inventer son style. Néanmoins, c’est
après que sa cote de conduite ait été oscillatoire, qu’il s’était allégé dans
le temps le plus court de toutes les peurs compilées dans son arc cerveau par
suite à sa déconfiture diplomatique romaine. Pareillement, après sa prise en
main du PPS, il avait su donner à sa réconciliation avec son camarade et successeur au poste ministériel, sur
le projet de loi de la presse resté en suspens, une dimension temporellement
politique, et n’activait plus les thématiques de son égoïsme latent d’avant.
Aujourd'hui redevenu ministre de l'habitat et de la ville, s’ouvrant une
fenêtre de liberté d’expression et transfigurant le temps politique. Ne se
lassant pas, son cœur battant à la fois d’espoir et de crainte à propos des
difficultés rencontrées sur le coté aménagement des périphéries des villes en
matière sécuritaire. Qu’heureusement la société civile commence à se bouger
prenant des initiatives en commun avec les responsables de la sécurité publique
fleurant l’entente parfaite comme dernièrement à Casa Bab California endiguant
l’atmosphère des champs de foires d’avant. Contrairement à d’autres villes
encore à la traîne sur le plan de gestion de proximité et mauvaise gouvernance
d’où ressort une énorme dissonance d’insécurité.
Cependant, quand on remémore la période
du déclenchement printanier arabe, alors que les chefs des grands partis toutes
tendances confondues s’auto-flagellaient par le fouet du silence, se jetant même aux fractions du M20F pour qu’elles s’en amusent dans le magma de
réflexions sur l’avenir constitutionnel du Maroc, il était le seul à avoir
appelé clairement à une monarchie parlementaire avec beaucoup de mais. Cet
appel avait convaincu que sa volonté n’était pas d’une autre essence que celle
de la commission Mennouni. Et ce, en dehors de tout illuminisme où surréalisme
puisant dans son ex déterminisme de la révolution d’Octobre, dont certainement après avoir fait le Hadj, il s'en est éveillé purifier jusqu'à ce que ses doutes s'en soient levés. C'est vrai que, dans ses
propos les élans passionnés qui l’animaient, pouvaient troubler l’assimilation
de ses interlocuteurs officiels. Au point que, par ses joutes verbales contre
des journalistes à l’émission Hiwar du 03 Mai 2011, il voulait montrer
qu’il n’était plus la petite main de la manipulation. Pour évocation,
n’avait-il pas fait allusion entre autres que tous les votes depuis les
législatives 2007 du processus électoral en faveur du PAM, n’étaient pas des
désaveux à l’endroit des autres partis. Mais un objectif continuellement recherché
non avouable de l’administration territoriale de l'époque et autres décideurs
de l’ombre.
Avec ce genre de déclaration, on croyait
le voir rentrer en dissidence par le recouvrement de sa liberté de parler, en
l’occurrence son esprit souverain. N’empêche qu’encore à Hiwar du 11 Octobre
2011 son récit itératif presque de
détournement de parole pour éviter une sincère explication en tant que
secrétaire général du PPS vis-à-vis du PJD par rapport à la Koutla , était truffé de non
dits voire de contradictions. Pour autant, il ne pouvait paraître ce qu’il
n’était pas par cette manière de propager sa propre vérité. Qu'au demeurant il
l’avait démontré au lendemain du déferlement législatif pjdiste en s'y alliant
sans condition. C'est ainsi qu'il est toujours attendu sur ses positionnements par rapport au
projet de la presse, et de l'édition de son collègue accordéoniste Lkhalfi passant par des alternatives de furie celles de fatigue jusqu'à l'exténuation. Et surtout sur les
privations des libertés par des procès intentés ici et là à l’égard des
journalistes. En plus du désespoir l'envahissant aussi, comme son camarade ministre par rapport au
travail des filles et garçons mineurs chez les particuliers sans scrupule.
Mais vraiment, pourquoi en plus il a
montré, comme tous ses amis coalisés une défaillance à l'égard de la
représentativité de la femme dans l’échiquier politique surtout dans la
composition ministérielle ? Aussi, pourquoi la mesure inédite de
publication du cadastre des transports par son collègue Rabbah ministre de
l’équipement paraissait dérangeante pour lui, même si, elle est restée sans suite ? Pourtant, ne sont-elles pas
une base du développement de l’exercice du pouvoir aux bénéfices riches de conséquences pour la transparence
en démocratie ? Au lieu d’éviter de réviser cet esprit anormal de
résistance à l’échec, pour atténuer la responsabilité des appareils de partis.
Car ce jugement massif inattendu de sa part, ne peut le dédouaner de l'ex
alliance Koutla du gouvernement sortant. C’est vrai que jadis, tous ces partis
nationaux ne possédaient pas comme actuellement des sanctuaires avec des niches
organisationnelles réservées seulement aux dignitaires dirigeants, leurs
progénitures et leurs proches protégés à la recherche seulement de maroquins
confortables dans toutes les administrations et en toutes circonstances. Ce
qu’en effet l'USFP a réussi à renier après sa déconfiture électorale, attendant une décantation consciente au neuvième congrès pour la chefferie du parti. Mais, déjà se
libérant de ce creuset koutléen ou s’étaient longtemps fendues des
contradictions idéologiques, risquant de la faire passer dans le mauvais conte
de l’histoire. D’ailleurs actuellement le binôme restant s’en trouve ébranlé
par la portée de la fronde du mouvement
20 Février et par l’abondance de reproches acerbes lors des grands débats
d’idées de la société civile à son égard, pouvant faire éclater la coalition
notamment après l’arrivée de Chabat au secrétariat général du PI. Qu'en fait, la discussion sur le projet de loi de finance 2013, par la fronde des istiqlaliens en plus des susurrations des mpéistes en ont montré le risque d'une descente aux enfers du gouvernement.
A priori c’est de cette ambiguïté que
provient ce cynisme nostalgique de toujours recourir au chauvinisme incompris
de l’ex Koutla, dont Chabat recommence à instillé les mêmes méssages. Cela était
montré avec acuité lors de la ministérialité des candidats, et dont seule l'USFP
semble s'affranchir pour le moment par son passage à l'opposition. On peut
penser que ce qui importe dans le résidu Koutla restant, en ce temps présent
après presque un an des élections législatives anticipées du 25 Novembre 2011,
est plus ce qu’il affirme que ce à quoi il se réfère. Vivement alors ce moment
de dépasser ces pratiques
rétrospectives, par l’expressivité des espaces de la démocratie
effective par l’alternance des urnes dans la nouvelle constitution, qu’extenso
est fondée sur l’équilibre institutionnel où s’exprimeront volontarisme
cohérence participation et déterminisme universaliste des droits et devoirs au
sein de la société comme au niveau des partis.
Vouloir se partager un gâteau
gouvernemental non mérité vu les résultats obtenus, ne risquerait-il pas à
travers le temps politique d'être considéré une aumône? Qui pourrait devenir
par suite au temps des réalités politiciennes un grain de sable grinçant. Tout le monde connait ces griseries plus ou moins diffuses qui se sont glissées dans les structures des
partis du gouvernement, entravant le bonheur qui débordait peu auparavant. Le
risque pour lui c'est qu'un jour en se réveillant, il se retrouverait encore
une fois au portillon de la salle des
ambassadeurs en mal de repêchage. Et ce, même si sa joie actuelle débordante,
témoigne qu'il n'est plus prêt d'abandonner sa fierté. Ce n'est pas pour le
montrer du doigt, mais tous les démocrates attendent de lui vigilance et effort
décuplés. Dans un département où son prédécesseur se plaisait à s'appuyer sur
les chiffres, les taux et les comparaisons qu'il était le seul à comprendre
avec quelques proches rabatteurs technophiles des résonances médiatiques où
s’entassaient des hypocrisies de l’aura de ce ministère, qui a tout de même
fait psitt une fois les choses se sont éclaircies.
A cet effet, il ne cesse de rappeler que c’est lui qui a mis les indicateurs de ce département au vert, évoquant la réalisation de nouveaux pôles urbains, le renforcement de l’action du ministère dans le monde rural, et surtout son apport infra-structurel dans la lutte contre l’insécurité en l’inscrivant de facto dans le cadre des objectifs à atteindre à l’horizon 2016 pour réduire de 50% le déficit en logement. Sauf qu’il est lui aussi poursuivi par la hantise des maisons et édifices religieux qui tombent à chaque averse.
Ne devrait-il pas faire mieux, par des
décisions politiques du possible en éradiquant définitivement les bidonvilles
parsemées partout sur le territoire national. Sans tomber dans cette recherche
simpliste de résolution multi-régénérant d'Ahlams Annass d'accéder à la
propriété moins chère? Alors qu’il y a toujours la défaillance de
mobilisation des crédits dans ce secteur vu la crise financièro-bancaire. Même si on doit s’interroger sur l’engouement de quelques nationaux à acquérir des
appartements ou autres pavillons en Espagne, pouvant obtenir des cartes de séjours apparemment grâce à leurs actifs. En ce sens, est-ce que le genre de villes vertes comme à Rhamna, ne pourrait-il les dissuader de rester avec leurs pécules dans leur pays le Maroc?
En effet, c’est de bon augure depuis qu’il a mis en ligne de mire ces enseignements avec réalisme, de faire bouger d’avantage les financements par nécessité méthodologique d’intervention spécifiée de l’Etat, sans cultiver la tolérance sur les manquements aux cahiers des charges des promoteurs immobiliers, pour en éviter les perversions d’avant. Et dont Bank Al Maghrib a tiré la sonnette d'alarme sur cette boulimie non contrôlée de ces professionnels, interpellant les décideurs actuels à propos des étranges liens d'avant, de ne plus se dire les choses en catimini et veiller à bannir cette hégémonie du silence historiquement injuste envers les petites gens. Qui vivra, peut être verra cette sollicitation se réaliser!
En effet, c’est de bon augure depuis qu’il a mis en ligne de mire ces enseignements avec réalisme, de faire bouger d’avantage les financements par nécessité méthodologique d’intervention spécifiée de l’Etat, sans cultiver la tolérance sur les manquements aux cahiers des charges des promoteurs immobiliers, pour en éviter les perversions d’avant. Et dont Bank Al Maghrib a tiré la sonnette d'alarme sur cette boulimie non contrôlée de ces professionnels, interpellant les décideurs actuels à propos des étranges liens d'avant, de ne plus se dire les choses en catimini et veiller à bannir cette hégémonie du silence historiquement injuste envers les petites gens. Qui vivra, peut être verra cette sollicitation se réaliser!
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