AU MAROC, EST-IL VRAI QUE LA PROMOTION DANS LES RANGS DE L'ETAT EST UN AXE POLITIQUEMENT TRACÉ A TRAVERS TOUTES LES INSTITUTIONS ?
EN CELA N'EST-CE PAS QUE LE CONCEPT DU TOUT SÉCURITAIRE NON SEULEMENT FACE AU TERRORISME AVEUGLE, N’EST NULLEMENT UN JOB POUR LES ROMANCIERS ET LES POÈTES ? VU QUE BIEN DE PAYS, ONT VÉCU ET VIVENT ENCORE CETTE RÉALITÉ LES EMPÊCHANT A CE JOUR DE SURMONTER LES HISTOIRES GREFFÉES A LEURS SITUATIONS. CAR ILS N'ARRIVENT TOUJOURS PAS D’ADOPTER POUR RAISONS DIVERSES SOUS-ENTENDUES, LE PRINCIPE DE PRÉVENTION CRÉATEUR DE L’IMMUNITÉ FACE AUX INSURRECTIONS DANS LA RUE ?
MAIS CE QU’IL FAUT
SURTOUT EVITER EN CE MOMENT C’EST DE SE LAISSER BERNER PAR LES RELAIS FILIPENDULES DINARS DEPENDANTS, PASSIONNÉS D'OFFRANDES USANT DE LA PAROLE VENTRILOQUE DÉSTRUCTURANTE DE L’ESPRIT AVANT-GARDISTE DE LA NOUVELLE
CONSTITUTION. AJOUTANT A CELA LE FAIT DE S’ADRESSER RIEN QU'A LEUR MODULABLE CONVICTION POUR
ASSOUVIR LEUR HAINE SELON LES CIRCONSTANCES EN S’ESSAYANT SI DANGEREUSEMENT INCONSCIEMMENT POUR NE PAS DIRE VOLONTAIREMENT PAR CE DOUBLE LANGAGE DE
COMPROMETTRE LA MARCHE TRANQUILLE DU PAYS.
C’EST AINSI QUE PENDANT LA TOURNÉE OFFICIELLE DE SA MAJESTÉ DANS LES PAYS DU GOLF (CCG), LAQUELLE ARRIVÉE A POINT NOMMÉ DÉLIVRANT UN MESSAGE TRÈS FORT POUR REMETTRE PLUS LE GOUVERNEMENT EN CONFORMITÉ DES DONNÉES DE LA
NOUVELLE COOPÉRATION, FAISANT CHANGER D’IDÉES PRÉCONÇUES DE CERTAINS MEMBRES POUR NE PLUS DEMEURER DANS LEUR
INCERTITUDE SUR LE PROJET DE RÉGIONALISATION AVANCÉE. ET DONC D’ABANDONNER LEURS SONGES DES MAUVAIS GOÛTS EN SE PRÉPARANT A QUITTER AU PLUS VITE LEUR RÊVERIE DES DÉLIRES ET SE CONSACRER A L’ÉDIFICATION DANS LA SÉRÉNITÉ ET LA RESPONSABILITÉ.
Mais le hic, c’est qu’ils étaient, lui et tous les autres chefs de partis assujettis à la sensation d’étouffement, par suite à la longue éclaboussure des slogans du printemps marocain. Alors qu'en vérité ils se sentaient vraiment offensés, mais préféraient rester aux commandes plutôt que de faiblir! Une conséquence par laquelle toutes les jeunesses des partis politiques plus passionnément remontées, avaient commencé à dire à tous leurs aînés en face, dégagez! D’ailleurs il fut déconcerté même étant ministre de l’intérieur, parce que des murmures de mécontentement l’avaient accueilli dans pas mal de ses déplacements, surtout suite au drame du passage à niveau en région de Bengrir, et aussi au vieux Casablanca lors de l’hécatombe des maisons qui tombent.
N’était-il pas le temps opportun pour Laenser dans un premier temps de prendre acte, par la révision des modalités de surveillance des constructions anarchiques et aussi des exploitations outrancières excavatrices des carrières de sable de pierres et surtout de marbre à ciel ouvert sur tout le territoire ? En éradiquant définitivement le décalage d’appréciation au gré du favoritisme criard dans ces secteurs, au sein des communes et de l’administration territoriale surtout parla Direction des Affaires
Rurales (DAR). Et dans un deuxième, appeler à la mise en place concertée,
d’unités interdépendantes ministérielles de vigilance pour la sauvegarde de
l’environnement et du patrimoine national culturel. Parce que ça vaut pour le nouveau ministre Hassad, de ne s’éterniser à gagner lui aussi du temps dans l’espoir d’une désinhibition
de la volonté de l’opposition et la société civile sur le terrain. Déjà qu'auparavant ça n'a fait que
brouiller l’entente vers la normalité d’un bon deal sur la pérennisation du
concept de bonne gouvernance dans la régionalisation avancée. N'est-ce pas le derniers discours royal de la colère maîtrisée à propos des gestions abracadabrantesques des villes et communes, sonne toujours aussi criard ? A bon entendeur,
bon courage !
EN CELA N'EST-CE PAS QUE LE CONCEPT DU TOUT SÉCURITAIRE NON SEULEMENT FACE AU TERRORISME AVEUGLE, N’EST NULLEMENT UN JOB POUR LES ROMANCIERS ET LES POÈTES ? VU QUE BIEN DE PAYS, ONT VÉCU ET VIVENT ENCORE CETTE RÉALITÉ LES EMPÊCHANT A CE JOUR DE SURMONTER LES HISTOIRES GREFFÉES A LEURS SITUATIONS. CAR ILS N'ARRIVENT TOUJOURS PAS D’ADOPTER POUR RAISONS DIVERSES SOUS-ENTENDUES, LE PRINCIPE DE PRÉVENTION CRÉATEUR DE L’IMMUNITÉ FACE AUX INSURRECTIONS DANS LA RUE ?
CONCERNANT LE
MAROC, EST-CE QUE LES APPRENTIS TERRORISTES DANS LES CAMPS DE TINDOUF, SURTOUT
CEUX ENRÔLÉS DE FORCE MALGRÉ EUX,
PEUVENT-ILS UN JOUR SE TRANSFORMER EN AMOUREUX DE LEUR PATRIE ? LA RÉPONSE EST OUI, D’AUTANT
PLUS « AL WATAN EST MISÉRICORDIEUSEMENT OUVERT ENVERS SES FILS ET FILLES ÉGARÉS,
POURVU QU’ILS N’AIENT PAS DU SANG DE LEURS FRÈRES SUR LEURS MAINS ».
PARCE QUE C'EST CERTAIN, CES MOTS
NE MOURRONT JAMAIS SUR LES LÈVRES DES MAROCAINS, ALORS QUE L’ÉCLAIR D’ESPOIR EST
TOUJOURS ALLUMÉ DANS LEURS YEUX. MÊME SI, CHRISTOPHER ROSS VENAIT A DISSIPER SES CONTREBALANCEMENTS ET RESTER AVEC
LA GARANTIE DE SA NEUTRALITÉ PAR BAN KI MOON, MONTRANT QUE LE MAROC EST DANS LE VRAI.
DE CE FAIT LA REFONTE DE L’APPRÉCIATION DES NORMES DE SÉCURISATION EST UN IMPERATIF PARCE QU’UN TEL BROUILLAGE GOUVERNEMENTAL QUADRILATÈRE, 25%ANTI JOURNALISTES, 25% BERCEUSE ISLAMISTE DONT LE FLOT N’EST PAS
D’UNE EXTRÊME LIMPIDITÉ, 25% DE JUGEMENTS SUFFISAMMENT MAL INTENTIONNÉS SUR LA SOCIÉTÉ CIVILE AVANT GARDISTE ET ENFIN 25% POUR TOUJOURS PARAÎTRE NAGER AVEC ENGOUEMENT RETRAVERSANT LES TURBULENCES SUR LE DOS DU M20F ET SURTOUT DES PETITES
GENS VERS « BERR AL AMANE », NE FAIT QUE SAPER LA SINGULARITÉ DE
L’EFFORT DU MAROC DANS SA DÉMOCRATISATION RAISONNÉE.
N’EST-CE PAS QUE TOUS, FAUX FAUCONS ET COLOMBES, SOURCILS HAUSSÉS ILS SE SONT INTERROGÉS DANS LEUR MUTISME
DEVANT L’AMPLEUR DES DONATIONS ET FINANCEMENTS DE PROJETS PRIVÉS ET PUBLICS PAR
LES FONDS SOUVERAINS COMMUNS ET PEUT ETRE MÊME LES BANQUES ISLAMIQUES
D’INVESTISSEMENT SUR TOUT LE TERRITOIRE DU ROYAUME ? MAINTENANT ILS ONT COMPRIS QUE CECI EST TROP DIFFICILE A ATTEINDRE POUR EUX SANS LA GARANTIE
DU ROI, RÉGISSANT LA COMPLEXITÉ SOCIÉTALE ET ASSURANT LA STABILITÉ DU ROYAUME DANS
LE RESPECT DE LA NOUVELLE CONSTITUTION. D’AILLEURS BEAUCOUP DE PAYS BIEN AU
DIAPASON DE LA DÉMOCRATIE TELLE LA FRANCE, AIMERAIENT AVOIR CETTE MANNE FINANCIÈRE POUR POUVOIR COMBATTRE LA RÉCESSION ET LA PRÉCARITÉ DANS LES ZUP ET QUARTIERS PÉRIPHÉRIQUES DIFFICILES.
EN CE SENS,
VIVEMENT LES MINISTRES PUISSENT DESCENDRE A L’ARÈNE SANS CALCUL POLITICIEN, EN
CHANGEANT LEUR TORPEUR EN ACTIVITÉ CRÉATRICE DE RICHESSE DE PROXIMITÉ CHACUN
DANS SON DOMAINE, RIEN QU’EN RESPECTANT LES PROTOCOLES D’ACCORDS SIGNÉS LORS DE
CETTE SOMPTUEUSE TOURNÉE.
- En effet que pense
Laenser même n'étant plus locataire de l’intérieur, à propos du labyrinthe administratif communal, auquel sont confrontés les investisseurs les
soumettant à des rouages et circuits d’un autre temps, voire à des épreuves
de plus en plus insupportables, comme la corruption et/où le chantage ?
- A ce titre la
structure du ministère de l’intérieur actuelle, ne prend-elle pas de contre-pied les
promoteurs investisseurs en victimes passives des lenteurs administratives
des CRI ? Parce que ces derniers
se trouvant gangrenés de quelques faux chérubins de surcroît sournois, portant
leurs yeux rien que sur les portefeuilles de ces malheureux investisseurs et
autres administrés.
- Qu’on ne nous
dise pas que ça va changer avec la deuxième mouture gouvernementale, comme ce qu'on nous a fait comprendre depuis l’arrivée de l’équipe Benkirane I. Surtout avec
le film politique pjdiste d'avant et encore du moment, donnant l’impression dans un tâtonnement déconcertant d’essayer de
sublimer l’engagement préélectoral seulement, par la joute verbale dans le but
de masquer les quelques échecs, et aussi afin d’écarter les écueils de
l’opposition et de la société civile sur les lois de finances 2013 et 2014.
Mais qui est-ce LAENSAR Mohand, pour s’être octroyé le ministère de
l’intérieur ne répondant que sur le ton le plus solennel ?
Homme politique qui fût brusquement
poussé aux commandes du MP dans les années quatre vingt. A ses débuts c’était
un personnage discret au parti, et en même temps très présent dans la mécanique
intime de son mentor emportant l’assentiment de Dar El Makhzen. De cette
ambivalence, on pourrait deviner pourquoi on l’avait choisi à faire partie de
la bande des quatre plus quatre de l’inoubliable croisière libyenne
en service commandé
contre Mahjoubi Aherdane. Pour le coup, à ce moment là, sa docilité le
dévorait tellement qu’il était impatient de s’exécuter, et c’est naturellement
son manque d’expérience politique qui l'eut fait obéir. Un tournant fatidique
pour la mouvance populaire entre hésitation pour certains, inquiétude pour
d’autres et soulagement pour les facilitateurs masqués de ce coup de force à
l'époque.
De ce rôle conventionnel de composition
de Basri, il s’était montré sous un autre jour, le visage dépourvu de
l'absurdité de l'allégeance aveugle des premiers jours de sa rencontre avec
ce chef de parti SI AHERDANE AMGHAR. Mais cela ne prouvait
pas qu’il en soit accusé de cette convention loin des préceptes moraux, et/où
il avait eu par la suite sa place dans le concert des partis. Vraiment en tant
qu’interlocuteur en chef pour l'enfant des plateaux d'Ait Seghrouchen qu'il
est, et qui n'avait connu que les formes hautes de la dignité, le fait d'avoir
appartenu à cette entreprise de déchoir son propre mentor, ne l'avait à priori
pas privé du sauf conduit d'honnêteté. Seulement à ce propos aucune explication
ne fut donnée par lui sur cette période meme après son débarquement de l'Intérieur. Encore que beaucoup le jalousaient à l'époque de Basri sur
ce rôle et auraient accepté aller le jouer même en terre hostile jusqu’à en
pâtir, tant ils étaient euphoriques en si étonnant état d'excitation faisant
mine de chercher ce genre d'occasion pour se positionner. L'objectif leurs
était commun et simple, mais passablement rassurant pour eux quand on
connaissait la méfiance qu'ils lui nourrissaient au début, et qu'avec le temps
il ne leurs prêtait que peu d'attention.
C’est dans ce contexte qu’il était
même devenu par la force d’attraction du
pouvoir sur lui, un stratège équilibriste face à l’administration territoriale,
en l’occurrence l’intérieur tentaculaire
et omniprésent sous Basri. Dont il
s’efforçait à diffuser à
toute fin utile les bonnes idées, non seulement
aux masses mais aussi
à ses proches en mal d’exhibitionnisme
politique. Ainsi il fut récompensé d’avoir compris ou se trouvait son intérêt,
voire son avenir politique. Plusieurs fois ministre, actuellement celui de
l’intérieur et chef de son parti en partie avec cet indéboulonnable Aherdane
portant son désir au comble n’ayant jamais perdu espoir de se voir un jour
transcender, contrairement à ce qu’il y paraissait auparavant. D’ailleurs, aux dires de certains de ces
inconditionnels, au début, il aimait paraphraser et se répéter une phrase
célèbre qui tourmentait ses détracteurs au parti "Me voilà chers
amis : J'y suis, j’y reste étant arrivé à apprendre la politique à mes
dépends, non au détriment des vôtres".
Aux législatives 2007, il s'était
révolté contre la docilité de compréhension de sa propre personnalité,
c'est-à-dire qu'il était soucieux de ne plus éviter l'accroissement de
l'excitation de son orgueil. Déclarant à qui voulait l'entendre qu'il était
temps d'arrêter d'imposer le choix de l'opposition après rafistolage de la
majorité. Menaçant même de remonter à sa montagne marmouchaenne, ce qui lui
avait valu des remontrances d'avoir vite oublié le deal de son existence
politique.
Apeuré d'avoir cru que c'était déjà possible à ce moment, il avait illico fait marche arrière en bénéficiant personnellement d'un poste de ministre d'Etat, au gré d'un autre repêchage pour un protégé très en vue en cuisine interne du MP. Celui du secrétariat d'Etat aux affaires étrangères, ce qui avait provoqué beaucoup de remous au sein d'anciennes et nouvelles compétences de la mouvance populaire, que par ailleurs s'est vu reconduire au ministère de la jeunesse et sport. Alors qu'il aspirait à mieux, si ce n'est le secrétariat général du parti comme d'ailleurs d'autres postulants.
Apeuré d'avoir cru que c'était déjà possible à ce moment, il avait illico fait marche arrière en bénéficiant personnellement d'un poste de ministre d'Etat, au gré d'un autre repêchage pour un protégé très en vue en cuisine interne du MP. Celui du secrétariat d'Etat aux affaires étrangères, ce qui avait provoqué beaucoup de remous au sein d'anciennes et nouvelles compétences de la mouvance populaire, que par ailleurs s'est vu reconduire au ministère de la jeunesse et sport. Alors qu'il aspirait à mieux, si ce n'est le secrétariat général du parti comme d'ailleurs d'autres postulants.
A cet effet, quand un homme politique
quel qu'il soit, veut jouer parmi les grands responsables de l'Etat, et delà conforter une situation
où un sort, il lui faudrait 50% de vanité et 50% d’incrément. Ce qu’il eut pu
avoir au lendemain de la razzia du PJD en réalisant son vœu dans un paroxysme
nerveux. Sachant que la souffrance rend compte des bienfaits de la survivance,
pour exécuter à merveille ce type de clause du soi-disant devoir national pour
la reconnaissance. Et c'est effectivement l'étrangeté de cette situation, parce
qu'après le temps du Oui référendaire du 01 juillet 2011 et surtout avant celui
des législatives anticipées du 25 Novembre 2011, il avait participé à activer
un nouveau cycle d’union usant du G8, pour
postuler le cas échéant à la présidence du gouvernement selon la
nouvelle constitution.
Mais le hic, c’est qu’ils étaient, lui et tous les autres chefs de partis assujettis à la sensation d’étouffement, par suite à la longue éclaboussure des slogans du printemps marocain. Alors qu'en vérité ils se sentaient vraiment offensés, mais préféraient rester aux commandes plutôt que de faiblir! Une conséquence par laquelle toutes les jeunesses des partis politiques plus passionnément remontées, avaient commencé à dire à tous leurs aînés en face, dégagez! D’ailleurs il fut déconcerté même étant ministre de l’intérieur, parce que des murmures de mécontentement l’avaient accueilli dans pas mal de ses déplacements, surtout suite au drame du passage à niveau en région de Bengrir, et aussi au vieux Casablanca lors de l’hécatombe des maisons qui tombent.
Cependant c'est après un all to new,
transformation nécessaire par un lifting et toilettage politique qu'il s'était
fait convaincre de sortir définitivement de la rhétorique d’ajustement des
majorités au prorata des demandes. Et que le comportement border-line des
partis un pas dedans et l'autre dehors, n'a plus sa place dans le Maroc
d'aujourd'hui. Justement pour le MP, ça ne pouvait qu'affecter l’osmose, dont
les sensibilités qui le composent ont besoin. De fait il ne se dispersa pas,
pensant seulement au comment il allait sauter le pas, et faire ce geste
intérieurement tant attendu. Tout à coup, il eut hâte d'être auprès du PJD
vainqueur de l'étape des législatives, et ne se remémora plus rien de la
Kasbah G 8, oubliant l'enchantement d'alors.
D'ailleurs la dame à poigne du mouvement populaire n’avait-elle pas dénoncé auparavant dans plusieurs manchettes
ce pacte, en remembrant ses défaillances ? Elle disait à tout le monde et
de vive voix, qu'on avait forcé le MP à
s'embarquer dans ce remorqueur-plateforme où travaillaient des chaudronniers
mécaniciens inconnus en cale.
A cet effet, pour elle, avec un pareil tintamarre
actuel continuera-t-elle à voir ce rapprochement du MP avec le PJD encore circonstancié, même étant référencé à l'origine commune du temps du couple
Aherdane-Alkhatib ? Parce qu’après l’élection de Chabat, l’esprit du
résidu-koutla ne se juxtaposait plus à l’image de la coalition
gouvernementale, provoquant remous et questionnements dont l'issue est maintenant connue à tout un chacun.
C’est vrai que Laenser sans tarder, vu la
machine rodée du MP pour la négociation-dirigée s'était mis en marche forcée, avec dans
sa main un nouveau dossier supposé bien ficelé sur les priorités en plus d'une liste
d'hommes et femmes ministrables. En tout cas, il savait s'attacher si fortement à
cette nouvelle posture sans plus songer à contenir ses hésitations d'antan. C’est
d’ailleurs ce qu’il a fait auparavant en imposant ses protégés à la
ministérialité, sachant que sa revanche sur l'histoire était peut être arrivée. Enfin il
dévoila sa vraie compétence politiquement entichée, même si, une aventure de ce genre ça se prépare
bien avant dans le silence et la réflexion responsable, en laissant la jalousie
dévorer les récalcitrants.
Après tout çà lui a plutôt réussi au premier coup, il s’en est sorti mieux loti que tous les coalisés, avec la dignité des hommes d'Etat, laissant les observateurs visiblement marcher dans leurs têtes en clinquant des yeux, disant, c'est trop beau pour y croire! Sauf que lui aussi, n'a pas gagné le pari d'imposer le nombre de ministres vu sa part des législatives, mais aussi n'ayant pu au moins imposer l'une des femmes qu'il eut proposé, dont il s'est rattraper à la naissance du gouvernement Benkirane II, répondant au désir de la dame de fer.
C'est vrai, en première mouture gouvernementale, c'est docilement qu'ils avalèrent tous ensemble El Fassi, Ben Abdallah, lui et même Benkirane le chef du gouvernement, le contenu fumant qui composa cette équipe. En effet, au premier réveil ils trouvèrent les femmes et les hommes de l'opposition comme de la société civile debout, criant au scandale, les mettant devant leur responsabilité historique de cette atteinte non comprise à l'esprit de la nouvelle constitution (article 19).
Après tout çà lui a plutôt réussi au premier coup, il s’en est sorti mieux loti que tous les coalisés, avec la dignité des hommes d'Etat, laissant les observateurs visiblement marcher dans leurs têtes en clinquant des yeux, disant, c'est trop beau pour y croire! Sauf que lui aussi, n'a pas gagné le pari d'imposer le nombre de ministres vu sa part des législatives, mais aussi n'ayant pu au moins imposer l'une des femmes qu'il eut proposé, dont il s'est rattraper à la naissance du gouvernement Benkirane II, répondant au désir de la dame de fer.
C'est vrai, en première mouture gouvernementale, c'est docilement qu'ils avalèrent tous ensemble El Fassi, Ben Abdallah, lui et même Benkirane le chef du gouvernement, le contenu fumant qui composa cette équipe. En effet, au premier réveil ils trouvèrent les femmes et les hommes de l'opposition comme de la société civile debout, criant au scandale, les mettant devant leur responsabilité historique de cette atteinte non comprise à l'esprit de la nouvelle constitution (article 19).
En revanche, c'est justement après qu'il
s'était fixé en pleine négociation sur son poste de ministre de l'intérieur,
qu'il lui sembla deviner une carrure d'homme derrière les vitrages fumés, si discrètement placée,
en l'occurrence Charqui Draiss. En tant que ministre délégué auprès de lui,
sachant que c'est un commis de l'Etat bien au fait des dossiers et des rouages sécuritaires.
Aussi sa réponse ne se fit pas attendre dans le respect de la constitution
(article 49), en proposant Bouchaib Rmail en tant que directeur de DGSN pour sa
longue expérience au département, alors que Benkirane ne le connaissait même
pas. Il eut de fait montré qu'il s'agit simplement d'une cohérence de
continuité administrative et sécuritaire. N’est-ce pas, qu’il convienne dans ce
poste, pouvant différencier les gestions de crise sur fond de revendications
légitimes, des pulsions conscientes usant de manifestations bruyantes
entraînées par des forces plus où moins connues comme ce qu’était le cas Taza, de provoquer l'insécurité des
citoyens par la terreur et le crime. Sans oublier la lutte anti-terroriste
cristallisatrice du positionnement vers la prise de conscience de sa
dangerosité par tous les marocains. Aussi la vigilance est donc de mise, vu
leur nouveau mode d'emploi via le champ de la sous-traitance et l'entraide
transactionnelle entre cellules terroristes, et qui s'est élargi indéniablement
par l’esprit de courtage et d'interdépendance.
A dire vrai, Il ne lui resta qu’à réactiver pour de bon l’approche de la
police de proximité au service des citoyens, en résolvant définitivement le
coté abusif de son arrêt auparavant. Dont le but est de limiter les dérapages, afin d’être conforme à
la morale dans un domaine longtemps réservé aux initiés au tout sécuritaire, et
ce, par le respect des fondamentaux des droits humains et des lois en vigueur
sous la nouvelle constitution. En effet, il est des situations politiques
dominées par l'application des règlements sécuritaires stricts paraissant antinomiques,
alors qu'elles sont le fait de l'apprentissage, à trouver ses marques dans un
monde en changement permanent. D’ailleurs Benkirane en a pris acte en deuxième
partie de l’émission bilahoudoud, en plus, il en a aussi goûté l’interdiction
de son rassemblement à Tanger avec la jeunesse pjdiste. Parce que Laenser n’est
quand même pas tombé par le coté solidaire aveugle dans le laxisme, ouvrant le
chemin d'une indélicate inconscience dans le traitement des manifestations non
autorisées parfois tumultueuses.
En revanche, quand des médias à
l’étranger nous parlent encore même actuellement, à propos de jihadistes qui
auraient infiltré la structure sécuritaire, ça ne peut que nous interpeller
tous. De fait, les marocains ne comprendraient pas ce laisser aller, ni les
fondements si c’est faux de cet essai de décryptage de leur intelligence
redoutable à s’auto-immuniser contre le terrorisme dont ils ont fait preuve à
toute époque. En tout cas, il n'y a pas lieu de s'alarmer parce qu'au Maroc,
depuis longtemps c'est une préoccupation normale qui a permis de prendre une
distance par rapport aux évènements par la raison et non l'émotion. Les stoppages de la Djamaa Mahdaouia
dans l’oriental, la cellule terroriste d’Agourai le démantèlement du
mouvement des moudjahidines au Maroc, et d'autres cellules dormantes comme à Fès, montrent l’existence de pensées issues de
poisons distillés de l’extérieur, pour des raisons de résonance de la stabilité
du Maroc à l’international. D’ailleurs
pour Laenser, sa participation aux réunions à coté de ses homologues ministres
de l’intérieur des pays de l’UMA, en Libye, en Tunisie et au Maroc, puis ses
travaux en commission mixte à Rabat avec le ministre français de l’intérieur
Manuel Vals, vont dans ce sens d’anticipation. Parce qu’en redoutant par avance
les agitations des groupuscules terroristes sans scrupules dans la région,
surtout dans le Sahel, on se condamne objectivement à les contrer pour les
stopper et non pas à les subir
soudainement. Certes, il s’agit de la pratique d'un contre forcing toujours
soudain de la part de ces individus, ne pouvant être formatés à la citoyenneté
contrariant le libre choix de tout un chacun.
Est-ce vrai que le démarrage du processus électoral très attendu n'aura lieu qu'en Octobre 2015, voire en deçà ? Alors que l’offre de seulement l’attentisme, risquerait de
devenir réductrice de l’harmonie sociale. A cet effet, rien n’a été proposé sur le découpage
administratif de la régionalisation avancée, et encore moins le vote de ses
lois organiques, si ce n’est, l’avant projet de la commission Azimane bien avant le discours mémorable du09 Mars 2011, dont ensuite Sa
Majesté a exhorté les parlementaires à l’ouverture de la neuvième session d’en
prendre compte. Parce que cette sorte de production du silence n’apporterait
pas de cohésion dans l’hémicycle, pour traduire la réussite du référendum du
premier Juillet 2011. Alors que déjà le discours royal à l’occasion du
treizième anniversaire de l’intronisation de Sa Majesté le Roi, en a tracé la feuille
de route, pour ne plus tarder à concrétiser l’arsenal juridico financièro
administratif. En plus d’une bonne distribution en ressources humaines
compétentes, levier de la déconcentration dans la décentralisation pour une
meilleure régionalisation avancée. Que la note de Benmoussa présentée au souverain à propos de la nouvelle approche de démocratie participative, en a révélé la méthodologie à suivre après diagnose intrinsèque et extrinsèque des potentialités dans tous les territoires du Sahara pour la production de richesses locales des réintégrations basées sur le savoir faire loin de L'économie rentière ici et là. Dont Nizar Baraka en tant que nouveau patron du CESE en a réitéré avec plus de détails la marche à suivre.
N’était-il pas le temps opportun pour Laenser dans un premier temps de prendre acte, par la révision des modalités de surveillance des constructions anarchiques et aussi des exploitations outrancières excavatrices des carrières de sable de pierres et surtout de marbre à ciel ouvert sur tout le territoire ? En éradiquant définitivement le décalage d’appréciation au gré du favoritisme criard dans ces secteurs, au sein des communes et de l’administration territoriale surtout par