LA FRANCE NE S'EN TIRERA PAS À BON COMPTE AU DÉPENS DU MAROC.

LA FRANCE A COMMIS L'IRRÉPARABLE EN ALLANT S'AGENOUILLER DEVANT LES ÉCERVELÉS "KABRANATES" VERT-KAKI ALGÉRIENS.

       Aujourd'hui le Maroc a dépassé le stade de la colère, passant comme  le pays qui tient tête à la France. Et ce, parce que la balance géopolitique en reconnaîssance de sa souveraineté totale sur son Sahara est sans conteste en sa faveur. C'est ainsi que l'un des volets de cette tension Maroc-France est le développement des technologies gourmandes en métaux rares tels le cobalt lithium lanthane nickel et autres. Et c'est là où, comprendre ce qu'est le Mont Tropic c'est d'abord tenir compte de sa position en sous-mer dans les eaux territoriales marocaines sur l'Atlantique. C'est-à-dire, dans une zone entre le littoral Tan-Tan et les Iles Canaries où les activités maritimes marchandes et autres vont connaître un essor appréciable du fait du port Dakhla-Atlantic en voie d'édification sans oublier ceux en perspective à Birgandouz et Lagouira. S'ajoutant aux infrastructures modernes de mobilité et logistique appelant des investissements économiques colossaux dans divers domaines. À l'exemple de l'automobile éléctrique l'aviation les mines le chemin de fer les énergies renouvelables les aéroports les tunnels et autres. De fait, cela suscite l'estime et l'admiration du Maroc par des observateurs dans les CERG (Centres d'Etudes et Recherches Géostratégiques).

       Autrement dit, c'est parce que l'abondance et la diversité des ressources en terres rares en font de ce Mont le gisement le plus riche du monde que le Maroc et l'Espagne se sont forgés un mode d'exploitation d'une passionnante originalité avec les USA et pas seulement. Mettant la France hors d'elle par le jeu géostratégiquement subtil constituant un obstacle à sa pénétration vers l'arrière plan du Mont Tropic, sachant sa dépendance aux métaux rares indispensables à ses chantiers de nouvelle société écologique et numérique. À dire vrai, si la France continue de narguer le Maroc par des chantages et insolences via ses médias et ses relais au parlement européen et qu'elle pense s'en tirer à bon compte en étant si compréhensive envers la Tunisie et l'Algérie, elle se trompe lourdement. Pourtant, n'est-ce pas qu'on la croyait assez sensée pour ne pas aller s'agenouiller devant les écervelés "Kabranates" vert-kaki algériens, uniquement parce qu'ils sentent le gaz à profusion ? À bon lecteur, bon décryptage !