IL N'Y A NI FLOU CARTOGRAPHIQUE NI SÉMANTIQUE SUR LE SAHARA ORIENTAL.

Y'EN A MARRE DES DÉCLARATIONS SAUGRENUES ALGÉRIENNES SUR LE TRACÉ DES FRONTIÈRES DU SAHARA ORIENTAL DEPUIS EL ARJATE JUSQU'À TINDOUF !

      Après leur échec cuisant dans l'épisode Guergaratte, les Généraux vert-kaki algériens cherchent à distiller et inculquer dans la conscience des marocains une autre contrevérité sur El Arjate dans la périphérie Est de Figuig. Pourtant, tout un chacun sait que depuis la crise politique et militaire Maroc-Algérie en 1963, il y eût émergence d'une entité sécessionniste pro Maroc à l'Ouest de l'Algérie au Sahara oriental. Ne convient-il à ce propos, vu le foisonnement des idées anti régime algérien depuis 58 ans de mettre en exèrgue les tensions qui empoisonnent les relations Maroc-Algérie. Sachant, que cette entité n'a jamais cessé d'essayer de comprendre, comment le Sahara oriental spolié et offert par la France à l'Algérie, est-il déssiné dans la tête des décideurs marocains. Révèlant, que tant la confidentialité des cartes contributives des USA de l'Espagne de l'Allemagne et de la France subsiste, les moyens d'information cartographiques actuels de Google ne permettront pas d'en voir la profondeur jusqu'à Touat passant par Saoura Laabadla et Knadssa. Et qu'en plus, l'expression de la prudence diplomatique de Google Maps qui adapte les tracés frontaliers litigeux en fonction du pays de consultation de l'internaute, n'en facilite pas les interpretations. 

       Voilà pourquoi la France doit impérativement lever le secret sur le tracé des frontières terrestres avec le Maroc depuis 1830 à 1962. Et ce, pour que les données cartographiques sur le Sahara oriental apparaitront, qu'on ne le veuille ou pas, dans la continuité du Maroc. D'ailleurs, de ce constat, ne peut-on dès à présent, en déduire le tracé général du Sahara oriental sur une carte marquant et intensifiant ses contours. Étant donné que ni la France ni l'Espagne et encore moins l'Allemagne, ne peuvent acculer le Maroc à couper les ponts avec ses territoires spoliés. C'est ce que montre la documentation foisonnante parvenue à ce jour sur El Arjate, au point d'y avoir laissé entendre clairement à ce régime, qu'il répondrait par des preuves tangibles et irréfutables de la marocanité de ce territoire auprès des juridictions internationales. D'autant que la France, auparavant, l'avait coupée en deux zones l'une au Maroc et l'autre en Algérie lorsqu'elle a fait passer la ligne de chemin de fer allant d'Oran vers Bechar. 

       Effectivement, l'aide et assistance de l'État-Maroc aux fermiers marocains de reprendre les terrains qu'ils avaient hérités de pères en fils de leurs aieuls Ait Slimane depuis des siècles, est appréciable. Néanmoins, ne faut-il en comprendre qu'il s'en est référé aux tractations France-Maroc de Lalla Maghnia de 1845, aux détails du traité de Tlemcen 1970 et à la pertinence et la justesse de la convention de Rabat en 1972 ? Reste à savoir pourquoi le Royaume chérifien traite-il cette crise d'El Arjate avec un silence assourdissant même maitrisé ? N'est-ce à dire qu'il est convaincu que c'est là l'enjeu des dessous des cartes qu'il a en main pour l'ouverture du dossier du Sahara oriental à l'ONU ? D'où, il n'y a ni flou cartographique  ni sémantique sur ce conflit d'El Arjate, à même de l'élargir à la base du dispositif revendicatif de l'ensemble de ses terrains spoliés. Contrairement à ce que prétendent les snipers-jounaleux à la solde de la "Issaba" à Ksar Almouradia, montrant seulement de l'ingratitude et aussi non reconnaissance envers tous les voisins. À bon entendeur, salut !