dimanche 14 mars 2021

LE POUVOIR ALGÉRIEN N'ÉCHAPPERA PAS À SES DÉMONS DATANT DE LA GUERRE DES SABLES 1963.


N'EST-CE POUR CELA, LE RÉGIME ALGÉRIEN NE SE FORGERA JAMAIS UNE VISION POLITIQUE DE SÉRÉNITÉ PAR RAPPORT A LA VÉRITÉ AU SAHARA MAROCAIN ?


      Il est clair, aujourd'hui, que depuis l'arrivée d'Abdelmajid TEBBOUNE le mal élu, le taux des manœuvres politiques diplomatiques et médiatiques sales anti Maroc continuent de monter. C'est pratiquement une charge exponentielle à actes violents, même si, parfois elle est enrobée de fausses excuses de loosers de la part du régime des Généraux vert-kaki vis-à-vis du voisin de l'Ouest. En quelque sorte, une montée de production de haine qui revient en permanence sur la scène Maroc-Algérie pour préparer les algériens au pire. Et d'où, résulte l'atmosphère à dimension diabolique ne proposant aucun avenir, car passant par les fakes-news les mensonges et les allégations pour imposer une sorte de "géo-entente" des ennemis du Maroc. En espèrant renverser la tentance, en réveillant la confluence à distance de leurs engagements réspectifs anti tout ce qu'il entreprend. Chacun selon ses intérêts stratégiques dans l'enclenchement de l'état de guerre contre lui. Évidemment, il faut le dire sans résérve, c'est une réalité qui prend, malheureusement, forme à travers le maillage de ce processus de la terreur dans la région. 


       Cependant, n'est-ce là, une visibilité à clarifier sans tarder par les temps qui courent au vu de ce que préparent CHENGRIHA et ses amis Généraux ? Et/où, la conscience mémoriale marocaine pourrait conduire à dépasser rapidement la tomporisation communicative de Rabat envers Alger. Pour qu'elle ne soit toujours sans lendemain, en comparaison avec les incidents diplomatiques itératifs en lien troublant avec le fil d'actualités. Comme, ce qui se passe, aujourd'hui, par les tentatives d'incurssions inaccéptables de l'ANP à des points frontaliers. Lesquels, par ailleurs, sont restés en litige à ce jour entre le Maroc et l'Algérie par les récits du silence et du non-dit. Bien sûr, à ce propos, au-delà du constat, c'est la fin du régime algérien qui est en position de replis passant par la transcendance du peuple et la mise en garde des voisins. D'ailleurs, tout un chacun peut voir se profiler en terme de résilience des algériens, l'atmosphère de résistance du "Hirak" se tièdant voire se chaleurisant doucement mais sûrement. Pouvant aller, jusqu'à se transposer par le nauffrage des Généraux grabataires et séniles vers leur déchéance sans protection ni garantie d'échapper à la justice populaire.


       Certes, il s'agit du résultat des désinvoltures mortifères de TEBBOUNE et ses collaborateurs FLNistes à Ksar Almouradia d'Alger, aboutissant à l'arrêt de construction de l'État civil. Et dont, culturellement, souffrent les algériens portés par la recherche du bien-être et la participation via l'action démocratique pour le mieux-être. En effet, face au changement global enregistré au Sahara marocain, il y a risque que la crise Rabat-Alger rentre dans l'inédit. Dont, les signes avant-coureurs aisément décelables, au-delà des facteurs endogènes et exogènes pour aller jusqu'à la confrontation directe. À cet égard, cela montre que le régime algérien n'échappera pas à ses démons de la guerre des sables 1963, car il a perdu toute raison pour se reprendre afin de ne pas vivre une autre humiliation. Et donc, il optera vaille que vaille pour la guerre, tellement, ses ficelles communicatives politiques guerrières sont grosses. Mais, à qui la faute pour qu'il n'y arrive toujours pas à en démêler ni le mal de cet aventurisme ni le bien-fondé de l'éviter ? Et ce, pour ne tomber dans l'intransigeance via l'ampleur de la virulence inopportune gratuite de ses attaques anti voisins surtout le Maroc. À bon suiveur, bon décryptage !

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