jeudi 16 janvier 2020

UNE CHOSE EST SÛRE, LE CHOIX D'UN BON MODĖLE DE DÉVELOPPEMENT AMÉLIORERA LES CONNAISSANCES DES CITOYENS.

Tout simplement par l'Education le Travail et la Santé.

       Après deux décennies du règne Mohamed VI, l'on peut dire que le changement de stratégie d'action pour un nouveau modèle de développement est acté. L'installation de la Commission présidée par Chakib Benmoussa en est la preuve pour sortir le Maroc de l'absurdité des politiques décevantes suivies depuis les élections législatives du 25 Novembre 2011. Dont, l'adoption de la Constitution du 31 Juillet 2011 n'a pas été d'une aide précieuse pour la bonne gouvernance pour cause d'incompétences dissimulées dans les outrances. En cela, il faut le dire sans gêne, la Commission précitée n'est pas le fruit du hasard ni de l'imprévu et encore moins de l'opportunisme.  Elle est mise sur pied non seulement pour fixer les objectifs de la décennie future, mais aussi pour instaurer la culture des évaluations périodiques du modėle de développement typiquement marocain qui sera choisi et adopté par les politiques publiques. Et ce, au regard des exemples de pays asiatiques et sud-américains ayant été déployés pendant les années 80-90 via des moyens nationaux extraordinaires pour y arriver.

       A l'évidence n'est-ce en prenant appui sur les résultats comparés dans ces pays, et ce, en accentuant la lutte contre la corruption le népotisme et le suivisme idéologique bête et méchant que l'on peut selectionner avec soin les méthologies les plus performantes ? D'ailleurs à propos, que faut-il répondre à ces zélés politiques de surcroît nombrilistes qui tirent sur tout ce qui bouge ? Si ce n'est, pas de croche-pied au volontarisme des membres de la Commission Benmoussa pour le développement. Notamment, pour ne pas étouffer les aspirations du peuple marocain à un changement radical du modèle et non à un ravalement de façade. En effet, après les premières audiences des partis politiques, des syndicats et quelques fédérations des chambres socio-professionnelles, pourquoi ces politiques aigris et froissés dans leur surmoi prennent-ils à partie les membres de cette Commission et à titre personnel ? Dont, leur stratégie hideuse de soi-disant leur panache retrouvé consiste à ďélegitimer par l'outrance ces membres. N'acceptant par avance que ces commissionnaires obéissent à un dessein déterminé par le principe du volontarisme transcendant. Lequel, par ailleurs, tenant dans les buts que le Roi, Lui-même, s'est fixé. Loin des mesquineries  au sein de l'Exécutif après le constat déconcertant d'une gouvernance à tire larigot. D'autant plus, l'une des caractéristiques de la commission c'est sa durée limitée. C'est-à-dire, le temps de murissement des idées et réflexions, pour pouvoir les utiliser et les appliquer sans tarder dans le processus de production d'une bonne gouvernance des deniers publics.

       Autrement dit, qu'on ne le veuille où pas, n'est-ce presque huit années perdues pour rien tout en continuant à détourner l'attention de leur fuite en avant, face à leurs propres échecs successifs à mettre au point un modèle de développement viable cohérent concis et précis ? Donc, sans préjuger sur leur légereté si ce n'est désinvolture, il est nécéssaire de rappeler que l'Etat-Maroc a choisi de se doter du meilleur modèle de développement possible. Sachant, le développement d'un pays représente l'amélioration des conditions de vie de tous ses citoyens sans exception. Et ce, en mettant l'Education le Travail et la Santé au coeur des dispositifs déstinés à remedier aux principales entraves à la bonne gouvernance. Prélude à l'avènement de nouvelles perspectives de sortie de crise, dont l'objectif c'est de provoquer un miracle sur la voie du rattrapage promotionnel d'un nouveau contrat sociétal, où les droits de l'Homme sont assurés. Et autant dire qu'avec les turpitudes et vociférations des zélés en mal de reconnaissance, les choses ne s'amélioreraient guère. A bon entendeur, salut !



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