POURQUOI NE VEULENT-ILS MONTRER LEUR SUIVISME PARFOIS REVANCHARD
OU MÊME AVEUGLE, AU POINT D’ALLER SE CACHER SANS CONVICTION DERRIÈRE DES INTERPRÉTATIONS SAUGRENUES ?
Après l’exégèse
des résultats des élections territoriales du 04 Septembre 2015, pourquoi des
analystes ne disent-ils clairement que c’est l’abstentionnisme dans les grandes villes qui en a été le facteur déterminant ? Et ce, sans s’inscrire dans ce que certains appellent la conscience d'ordonner le
bien et déconseiller le mal, comme élément limitant se définissant dans le contexte politique de la
construction d’un pouvoir local qui s’y prête au populisme. Même si, il faut le dire, le vote du 04 Septembre 2015 dans les villes et périphéries est aussi d’expression
sanctionnant d’anciennes figures. Car les électeurs mobilisés pas seulement les petites gens s'y refusent désormais, de par la diversité intérieure et similitude des problèmes qui se posent dans les villes, à accepter les tergiversations médiatiques et promesses abracadabrantesques. De sorte, que seule leur croyance à la rationalité de
l’évolution du pays sous l'égide du Souverain qui compte, parce qu’ils y voient qu’elle est pleine de
signaux traduisant vitalité dynamisme et vigilance.
En ce sens, pourquoi par ailleurs ces questionnements ? N'est-ce, parce que certainement l'acceptation des résultats aura un impact décisif sur l'avenir de la marche démocratique du Maroc? Dès lors, qu’on ne le veuille ou pas, ils corroborent voire attestent
l’omniprésence de prêches politiques pas seulement populistes à l’exemple des attaques des
personnes jusqu'à l’outrance. Qu’en effet, ce phénomène connait une ampleur expansionniste dans tous les territoires, surtout le pjdisme mettant en lumière sa capacité de
phagocytose de tout ce qui bouge en premiers les coalisés. Aussi, bien que ces
derniers aient ratifié plusieurs pactes d’entente gouvernementale visant
l’abolition de ce genre de pratique, il n’en demeure pas moins que l’effet de
tirage de la couverture par le PJD de Benkirane, est d’actualité ne
tenant compte d’aucune limite. C’est dire que dans cette perception en se
préparant aux élections des collectivités territoriales, il n’a négligé aucun
de ses objectifs pouvant provoquer tiraillement et amalgame dans les esprits
bidonvillisés. En ressuscitant ses habitudes logorrhéiques portant à la fois
menaces subliminaires et échanges en clair de soi-disant bons conseils à qui de
droit, au point qu’il ait eu sa mention électorale du 04 Septembre 2015 que personne ne peut contester.
Cependant, reste
à savoir dans quelle mesure les coalisés peuvent-ils se régénérer en ce temps
présent, sans prendre trop de risques d’y laisser des plumes face au PJD
vainqueur ? N’es-ce par une meilleure application de leurs touches
programmatiques sans hésitation ni filouterie gestionnaire, et aussi par des positionnements
clairs musclés sans ambivalence de circonstance en ce qui concerne les sujets
sociétaux ? D’autant qu’aujourd’hui il faut le rappeler, leur
régénérescence passera nécessairement par la matérialisation de leur part des
régions et grandes villes à présider et gérer. Et, impérativement par la
reconnaissance explicite du PJD, de leur participation déterminante sur le
terrain par les actions de lutte contre la pauvreté la marginalisation et
surtout la disparité sociale.
Néanmoins, pourquoi
le PJD ne continuerait-il de s’appuyer sur sa communication paraissant en
harmonie avec les aspirations des habitants des périphéries qu’au demeurant
votent massivement, et donc d’en tirer seul les bénéfices électoraux ?
N’est-ce parce que, Benkirane sait qu’il n’en essaierait le cas échéant, d’éviter
le coup fatal de rehaussement encore plus de la popularité du PJD au détriment
de ses coalisés ? Déjà, de par ses dires des derniers jours, il eut flatté
l’opposition à propos de ses soucis sur les tractations des formations des
conseils des collectivités territoriales, par suite de positionnements du RNI
et MP conjugués de malaises par ci et traîtrises par là de toutes parts. A ce titre, par ailleurs, ne pourrait-on dire, que peut-être Benkirane se prépare-t-il
dans son intime inviolable, à l’éventualité d’élections législatives anticipées ?
Dans le but, de tous les mettre hors portée du tableau de commandement législatif,
et par conséquent de ne les laisser nuire à sa vision-prospective à l'Ardogan au sein du
parlement surtout la chambre des députés.
Effectivement,
parler des performances du PJD au vu des résultats alarmants obtenus par tous
les partis sauf le PAM, n’est-ce cautionner l’omniprésence des prêches
politiques populistes pjdistes contre les soucis de matérialisation de la
spiritualité de modération et retenue de l’Etat ? Alors qu’il faudrait en
fait, les analyser par rapport aux engagements pris par le PJD, en
projection-perspective des orientations de la vision royale dans tous les
périmètres où elle s’y est inscrite et déjà illustrée depuis 16 ans. Dont, l’excellence
et transparence en synergie d’actions, en sont les valeurs fondatrices du
nouveau Maroc axé sur la mise en chantier d’objectifs stratégiques ambitieux de
la régionalisation avancée. Ne peut-on voir là un credo de réorganisation de
l’Etat-Maroc entrant dans la deuxième révolution ? Et, qui sous-entend : Primo,
l’action pionnière en respect des droits humains au Maghreb en Afrique et dans
le monde arabo-islamique, qu’hélas les esprits bidonvillisés n’arrivent pas
encore à assimiler complètement, par manque de vulgarisation communicative
ciblée en la matière. Secundo, les défis relevés par l’expertise gestionnaire territoriale financière et bancaire marocaine reconnue, parce que conçue en soutenance de
l’engagement social de proximité via l’INDH et autres volets comme la formation professionnelle les méga-projets le Maroc-vert et le microcrédit. Tertio,
le rayonnement relationnel diplomatique international dont jouit le Maroc, par
suite à l’envergure et à la mobilité du souverain Mohamed VI en Afrique aux USA
en France et aux pays du CCG, ramenant plus d’investissements structurants et revalorisant
la cote du pays, et aussi plus de sérénité dans le traitement sécuritaire-cultuel-spirituel contrant les dérives intégristes terroristes.
C’est vrai, d’aucuns
ne peuvent nier qu’il y a des essais renouvelés ici et là dans certains
articles de presse internationale pour provoquer décélération de ce dynamisme
marocain. Compte tenu de leur complexification en sous-entendus diffamatoires
voulus, et/où figurent les principaux réseaux anti Maroc en termes de recrutement ciblé de quelques
compatriotes vendeurs de leurs âmes. D’ailleurs en scrutant leurs écrits, on a
l’impression qu’ils veulent mettre l’Etat marocain en phase de déflexion
stratégique sans en avoir les moyens. Parce que, ces énergumènes n’acceptent
toujours pas l’approche différenciée de la politique marocaine repensée de
motivation et recherche de performance dans tous les domaines. En revanche, à cet égard, ce
n’est pas parce qu’ils distillent à travers leur décodage pernicieux des
résultats et même du déroulé du processus électoral du 04 Septembre 2015, leurs
contrevérités adaptées aux petits esprits sous-outillés qu’ils y arriveront à
semer la confusion.
Finalement,
maintenant, ne peut-on confirmer que l’Etat-Maroc accorde une importance
stratégique aux élections, pour qu’elles soient libres transparentes et
porteuses d’espoir pour le développement dans la stabilité et la sécurité
? De fait, à l’évidence faut-il le rappeler, ne se situe-t-il en deçà et au
dessus de la mêlée partisane ? C’est pourquoi Sa Majesté le Roi, invite
toujours les gouvernements quels qu’ils soient, à promouvoir des politiques
capables de respecter les conditions sine qanun de l’amélioration de la vie des
citoyens dans l’équité l’égalité la sérénité et la stabilité. Mais, quand il y
a danger d’exposition du pays à des problèmes pouvant provoquer des lésions
sociales sociétales et d’intégrité territoriales, il va de soit conformément à
la constitution qu’il puisse intervenir. A cet effet, en conclusion, que les
diseurs d’historiettes continuent dans leurs sournoiseries et mensonges, ils ne
pourront jamais déstabiliser ni porter atteinte au Royaume. Lequel, par
définition, est engagé solennellement et avec assurance à mettre fin à la
corruption la pauvreté et aux dissensions sociales selon ses propres moyens. A
bon suiveur bonne lecture !
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