La mobilisation-sensibilisation marocaine tous azimuts,
pour l’usage d’une approche onusienne rationnelle et impartiale dans le conflit
du Sahara Marocain commence à porter fruit !
Youpi, l’affaire
du Sahara marocain à l’ONU ne semble plus être dans le fameux effet yo-yo des
tergiversations notamment des années 2012-2013-2014. N’est-ce là où on voit un
changement de ton dans la note-rapport de Ban Ki Moon d’Avril 2015 au CS
(Conseil de Sécurité), de par le retrait des expressions maladroites et l’ajout
de modalités recommandées par le Maroc ? Comprendra qui voudra, désormais
les mystères de l’Ouest de maximisation des risques d’élargissement des prérogatives
de la Minurso dans la surveillance des droits de l’homme au Sahara marocain n’ont
plus raison d’être. Évidemment non sans joie coté marocain, de par l’élévation
de la sérénité américaine loin de ses interprétations contrastantes
préexistantes d’avant. Parce que les ayant retirés de sa plateforme des
incompréhensions résiduelles, et ce au lendemain de la visite de Sa Majesté le
Roi Mohamed VI à la maison blanche chez le président Obama.
Maintenant, au
Maroc, ne peut-on déclarer d’ores et déjà qu’il commence à paraitre vraiment loin
le temps des quais des brumes onusiennes ? Au vu du dépassement de l’hypo
réactivité diplomatique marocaine du fait de sa redondance, et qui constituait un
véritable frein dans les relations avec certains de ces pays très en vue dans
les couloirs de l’ONU. Ainsi, encore heureux, que ce n’est plus le cas aujourd’hui, entrainant un flux important de sa reconnaissance en tant que valeur sûre
dans les évolutions des chancelleries par
les temps des turbulences terroristes et mercenariats qui courent. Cependant,
maintenant, on peut formellement affirmer que c’est fini cette forme de nonchalance d’antan, que
conséquemment elle n’est non plus tolérée au plus haut de l’Etat de par la structuration offensive de la nouvelle génération des discours du Roi. De sorte qu’elle
est bannie du nouveau structuralisme évolutif diplomatique marocain, se faisant
détecter par évaluation et scrutement des rapports sécurisés anticipant sur les tentatives
pernicieuses des adversaires pour ne pas dire ennemis du Maroc. D’ailleurs n’est-ce
le cas qu’on vient de vivre en compétition avec l’Algérie, dans les pourparlers
stratégiques à propos des marqueurs du zoning diplomatique commun avec les
USA ? Qu’effectivement, eu égard de leur charge souveraine, ils ont joué
un rôle clé dans l’entente en pratique normative relationnelle diversifiée
multi potentielles Maroc-USA.
N’est-ce ainsi
que le Maroc a coupé l’herbe sous les pieds de Ramtan Laamamra venu vendre à
John Kerry et à d’autres intervenants onusiens, de nouvelles perspectives toutes
chimériques les unes les autres ? Cherchant à ouvrir une brèche dans l’administration
Obama de laisser l’UA (Union Africaine) sous le grabataire Mogabee, s’investir
directement par son entremetteur-girouette Chissano comme soi-disant envoyé
spécial dans l’affaire du Sahara marocain. Cela montre, que le pouvoir algérien
portant les stigmates de désolation à Ksar Lmradia, est acculé dos au mur
voulant retarder cette nouvelle prise en charge tonique de Ban Ki Moon.
Néanmoins, ces nouvelles considérations onusiennes sentant de facto l’inflexion
vers la solution d’autogestion, ne sont-elles le résultat des nouvelles
typologies analytiques marocaines offrant la performance en bonne gouvernance
libre et assumée dans la régionalisation avancée avec des garanties de
souveraineté ? Automatiquement, il va sans dire de ces données nouvelles comme
solution politique viable et équitable, se traduiront sûrement par l’exclusion
du rêve du pouvoir algérien de continuer d’altérer l’atmosphère au Maghreb (Tunisie-Libye)
et dans la bande Sahélo-africaine surtout le Nord Mali voulant instaurer sa
façon de faire.
En tout cas, que
le pouvoir algérien se rassure ! Ce ne sont pas ses résumés pseudo-standardisés
et pernicieusement automatisés faisant partie d’un temps révolu, qui pourraient
déstructurer l’approche référentielle onusienne actuelle. Laquelle, est
prometteuse définissant d’emblée ses seuils décisionnels en ne mettant plus le
Maroc et le Polisario au même niveau de moralité. Justement, parlons-en des
orientations algéro-polisariennes en matière de non droiture ni exemplarité de
probité ! Est-ce que les données spécifiques relatives aux biens mal
acquis des gens de la « D C P A » (Diable Connexion du Pouvoir en Algérie),
n’ont-elles montré le degré de suspicion de moralité négative voire honteuse ?
Ne dit-on pas qu’en Algérie, « lorsque les responsables algériens prennent
l’avion pour Paris, ce n’est nullement un tropisme pour la ville des lumières,
ils rentrent seulement chez-eux ». À présent, toutes les instances et
organisations fussent-elles onusiennes en connaissent les quelques causes
profondes de ce recel organisé. Et, dont le parlement européen en a montré les
préjudices portés aux associations de l’aide humanitaire normalement à
destination des séquestrés des camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs.
Alors, c’est en ce sens, pour la première fois que Ban Ki Moon réitère une
demande explicite de recensement de ces séquestrés contre leur volonté. Notamment
pour faire la part des choses dans ce foyer cosmopolite à tropisme terroriste
avéré, et dont il en a eu les échos itératifs de soulèvement contre les
dirigeants corrompus et aussi leurs geôliers algériens.
Ça va de soit,
dorénavant le Maroc ne se laissera plus distancer quand aux calculs
géostratégiques quels qu’ils soient ! Dont sa vigilance semble requinquée,
car usant d’analyse-synthèse des péréquations géostratégiques en perpétuel
renouvellement nécessitant rien que de la concentration. Et/où les attitudes du Maroc les plus consciencieusement utilisées, sont les soupesages des interférences diplomatiques pour contrer leurs envenimations. Et donc, assurer la bonne réactivité au transfèrement des bonnes idées à l’exemple du cas des
négociations entre fractions libyennes sous l’égide de l’ONU à Skhirat. S'ajoutant aussi au dépistage des meilleurs protocoles d'entente, même vis-à-vis des péréquations pauvres en induction de variation en rapport
avec les essais marocains, de son implication et adaptation aux données mondialisées.
D’ailleurs, n’en a-t-il les moyens intellectuels référencés à son histoire singulière
pour être sur le qui-vive, toujours en situation de diagnostic précoce des
malveillances surtout à son égard ? Donnant même l’occasion à sa chancellerie
de s’intégrer réellement plus dans le cadre de la pensée politique du CCG
vis-à-vis de l’Iran. Et ce en fructifiant les nouvelles intonations
diplomatiques Maroc-Iran, par ailleurs consenties communément pour dépasser la
complication des données géostratégiques marquant l’entrée du Yemen en phase
paroxystique au bord de la guerre civile.
Au Maroc, la
lutte antiterroriste est essentiellement un esprit citoyen laissant à chaque
individu la possibilité de faire valoir ses aptitudes de montrer sa vigilance. Ne
faut-il voir comment la France en profite en ce temps présent, des
répercussions des variations de ses positionnements surfactants d’encombrement
diplomatique d’il y a un an ? Dont l’Espagne pourtant heureuse de sa
collaboration avec le Maroc, ne doit laisser les petits juges la dénaturer,
parce qu’ils sont en amnésie légalisée de leur propre histoire franquiste par
la force de la loi votée au Cortes. D’autant plus, n’est-ce pas que ça sent la
manipulation de calculette politicarde de bas de gamme petro-dinars dépendante
pour semer le doute en pleine montée de Podémos ? Au demeurant exercée
sans précaution en référence à la dédifférenciation chrono-historique établie
par L’IER (Instance Equité et Réconciliation) marocaine. N’est-ce là ou Feu
Benzekri a laissé son empreinte grandiose, non seulement selon le principe de
responsabilité politique mais aussi matérielle du dommage de l’abus de pouvoir,
dont le monde entier nous envie l’approche paisible sereine et responsable ?
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