NE S'AGIT-IL DE LA MEILLEURE ENLUMINURE DIPLOMATICO-POLITIQUE MAROCAINE?
Pendant que
l’embrouillamini algéro-marocain s’accentue, la résolution-témoignage 2218 sans parti-pris du
Conseil de Sécurité vient de donner à l'unanimité aujourd'hui même 28 Avril 2015, une idée ou se trouve l’ordre de tergiversation
dans l’affaire du Sahara marocain. Voire blocage ou même sabotage ne suffisant
toujours pas à étancher la soif du pouvoir algérien, même en dilapidant les richesses de son peuple.
Au point qu’on peut affirmer que c’est le fil conducteur des similitudes trouvées
par cette haute instance onusienne dans les dimensions de langage médiocre de
ce pouvoir, associé de contrevérités vis-à-vis du Maroc notamment. C'est pourquoi ça vaut la peine de souligner l'aspect propagandiste de senteur composite dinar-petro-gazier, s’agissant
de la suspension des blessures dans les cœurs des deux peuples, dont l’une est
la fermeture des frontières comportant en plus des joutes diplomatiques anti
Maroc comme sa fuite en avant. Parfois allant jusqu’à des
escarmouches attentionnelles ici là, croyant ainsi recréer son soi-disant reflet
d’épanouissement militaire. Ne sachant, entre autre, qu’il se trouve déjà perdu à
nouveau dans ses zones d’ombre de non respect des droits de l'homme et, aussi face à ses angoisses sur la multiculturalité sonnant peut-être le
commencement de sa fin.
Mentionnons à ce
propos, que cette intransigeance algérienne remonte bien au-delà de l’affaire
du Sahara marocain qui présente l’avantage d’être datée historiquement avec
précision. Néanmoins, on ne s’en lassera jamais de souligner, essentiellement, que
le Conseil de Sécurité sait désormais que la méthode du pouvoir algérien
s’inscrit aussi dans la complication de ses copies, car toujours portant une série de
motions anti datées au fur et à mesure que le temps passe. Et ce, dans un but
de rappeler à toute la population nord-africaine que même quarante ans après,
il n’y aura jamais d’issue où se trouverait la renaissance du Grand Maghreb
sans son aval marquant un déterminisme politique flou. C'est dire que ce
pouvoir n’est pas prêt de changer, au point qu’il continuera à déconstruire toute
envie des maghrébins de restaurer et édifier leur espace en apportant du même
coup leur sérénité loin des chaos d’insécurité qu’on essaye de leur imposer. De
ce fait personne n’est dupe au Maghreb, dès lors que tout le monde sait qu’il
s’agit de recours constant à des manigances diplomatiques de ce pouvoir,
croyant rendre l’entente globalisante maghrébine difficile à projeter même
chronologiquement. Sauf qu’à ce jour, hormis la perte de temps sous cette
pression d’une sournoiserie aux chemins de désintérêt forcé palpable, son
influence reste lettre morte dans la vie de tous les maghrébins algériens compris.
Aussi, de l’avis
de la communauté internationale notamment européenne, toute cette mauvaise détermination du pouvoir
algérien revêt un caractère d’entrecroisement de haine et rancœur. Et/où, nulle
part ailleurs on n’a assisté à une pareille tension-querelle dont on y
rencontre tant de drames humanitaires. D’ailleurs n’est-ce ce qu’on voit au
Maghreb et bande sahélo-africaine dans les complots ourdis par l’Algérie des
généraux se succédant à leurs usurpations de conscience, même n’accomplissant
eux-mêmes aucunement leur devoir de probité dans l’Etat se voulant soi-disant respectable.
Car à beaucoup d’égards, depuis cinquante deux ans pour ce qui est de leurs
relations avec le Maroc, ils se tiennent à ce genre de serment-foi de rancune
qui s’est mis en marche pendant la guerre des sables 1963 de ne jamais laisser le
voisin de l’Ouest tranquille et en paix. En quelque sorte, c’est par suite à la
défaite cuisante de l’armée algérienne pourtant aidée de partout, que naquit la
juxtaposition des rêves du pouvoir algérien aux bottes des généraux, d’échelonner
ses tentatives de déstabilisation du Maroc.
Mais voilà, n’est-ce à
tout événement contributif à la vitalité du sentiment nationaliste circonstancié
sa grandeur morale et diplomatique coté marocain ? Parce qu’enfin le
Conseil de Sécurité à l’ONU d’Avril 2015 se dote d’une rigueur de vue qui
exprime désormais ses désirs profondément refouillés d’encadrement de l’affaire
du Sahara au fait des aspirations marocaines. Ne s’agit-il là d’un
positionnement prospectif inédit clair, de se donner sans ambages à l’offre de
l’autogestion mutuellement acceptable recouverte de garantie de souveraineté
marocaine ? Sachant de facto, que la régionalisation avancée proposée par
le Maroc représente ces encadrements loin du mal-fou algérien sacrement vissé dans des pratiques
diplomatiques obscures. N’est-ce par là où, sûrement, brilleraient des femmes
et hommes sahraouis, tant dans les gestions de proximité sanctionnées par les
urnes au sein des collectivités territoriales que dans les arcanes de l’administration
civile en l’occurrence ? En tout cas, c’est sur le plan de la
détermination sociale économique culturelle écologique des régions les unes les
autres, que vont se jouer les luttes d’influences interrégionales de portée politico-sécuritaire antiterroriste et de développement de proximité maîtrisé pour le Sahara marocain. Quel moment formidable
de ce creusage du sillon de l’espoir par le Conseil de Sécurité de l’ONU, par
où se profile enfin la perspective de la paix ! Par ailleurs, cela, ne va-t-il susciter l’éclosion
d’idées contribuant à mettre fin à l’interventionnisme algéro-polisarien optant
à l’opacité verrouillée par des actes démesurés, ne voulant en réponse à la demande onusienne même pas la faisabilité
du recensement des réfugiés plutôt les séquestrés dans les camps de la honte ?
C’est vrai, cet
espoir affecte déjà les régions qu’automatiquement il s’accompagnera du déclin
de l’esprit de la rente sur tous les plans, laquelle est décriée par le CNDH CESE et tous les marocains. En offrant un renouvellement de l’action
politique par où, surement toutes les régions réintégreraient définitivement corps et
âmes le postulat de l’unicité et indivisibilité du Royaume. Un véritable encouragement
vers la probité la droiture et la responsabilité, qu’en tout temps ne cessent de renouveler dans leurs propos tous
les sahraouis même les revenants et les encore séquestrés. A cet égard, ne
peut-on dire, les habitants de ces régions vont en tirer profit dans le respect
de la constitution du 01 Juillet 2011 garantissant les engagements à vivre ensemble en paix? Ainsi, conséquemment, la chimère séparatiste sera considérablement affaiblie voire anéantie, qu’en réalité le rêve
algérien d’avoir un comptoir sur l’Atlantique disparaîtra pour de bon.
Finalement, rétrospectivement,
la démarche du Conseil de Sécurité dans le traitement du dossier du Sahara
marocain, consistait de s’empêcher de prendre clairement position. Aujourd’hui
ce n’est plus le cas, à même de ne plus se poser la question de la prééminence de
l’offre marocaine sur l’échiquier de ses solutions. Il ne rechigne plus à aller
dans un timing productif de stratégie ne laissant de doute à propos de sa
caution ou pas des compilations mensongères algéro-polisariennes qui font
allusion à l’élargissement des
prérogatives de la Minurso pour le respect des droits de l’homme au Sahara
marocain. Par conséquent, est-ce que cela n'aiguise-t-il de fait, la volonté des détracteurs du
pouvoir algérien de tout remettre en question, par la cessation de ce contrat
boumedienien inavoué de prendre le Maghreb en otage par une affaire perdue d’avance?
C’est vrai, maintenant, tout
semble se précipiter coté onusien à faire respecter le calendrier de ses
décisions, arguant de l’offre maximale stratégiquement viable et réalisable du Maroc au Conseil de Sécurité. Autrement dit, comprendra qui voudra, avec cette perspective c’en sera fini non
seulement des tentatives du Polisario d’encombrement des couloirs dans les
symposiums forums rencontres et autres endroits de villégiature haut standing, mais aussi de ses essais-menaces militaro-tartuffiens
hérités des dignitaires de la mouvance du terrorisme et recel des biens
d’autrui. A TOUT SUIVEUR BONNE LECTURE !