Quel espoir a-t-elle de pouvoir envisager une matérialisation de gouvernance probe et sereine par et dans le fait de différenciation de ses préoccupations internes? Ne pense-telle que l’année électorale 2015 risquerait de ne pas etre sienne ? Au point que, pourquoi et de quelle manière toutes ces justifications la pousseraient inexorablement à ne jouer le premier rôle ? D’autant plus elle sait que dans la difficulté, ce n’est pas sain de mettre les adhérents dos à dos notamment en avant première de ce processus électoral qui s’annonce.
AL HARAKA ACHAABIA S’ETAIT-ELLE RÉVEILLÉE A LA GOUVERNANCE
PROBE ET SEREINE APRES QUELQUES MALHEUREUX COUACS ? CHERCHE-T-ELLE ENCORE A CONVAINCRE
LES MAROCAINS DE LES FAIRE ENTRER SOUS SA COIFFE POUR 2015 ?
En ce sens ne
peut-on annoncer que malgré qu’elle fait déjà preuve de beaucoup de tempérance et
conciliabules en interne, elle n'y arrive toujours pas à trouver le tempo politique et ce sans se soucier du smog politique hélas en
préfabrication par certains partis en mal d’être pour raisons diverses ? Quoiqu’il
en soit en ce temps présent, ce qui apparaît important c’est qu’elle s’essaye
tant bien que mal de s’employer à dissiper en interne les orgueils des uns et des autres
pour les transformer en ferment d’espérance pour elle. De ce fait, n'est-ce parce qu'elle n'est débarrassée de tous les réflexes d’empirisme qui la ternissaient, que sa nouvelle vague des quadras ne pourrait intérioriser cette nouvelle donne? Et donc de ces techniques reposant sur le
placement judicieux de seulement les proches et autres sbires inconditionnels
dans le maillage décisionnel au parti ! Surtout en des postes précis,
selon des notions d’allégeance patiemment élaborées et établies au cours de ses
longues marches ne tenant compte ni des compétences ni de la diversité dans ses
rangs.
Alors par conséquent pour le
mouvement populaire, n’est-ce pas que déjà on perçoit quelles seraient les
principales caractéristiques d’évolution de ses faits programmatiques de proximité dans
l’Education Nationale la santé l’habitat et les grands chantiers stratégiques d'abord de renforcement de la dynamique diplomatique officielle et d’enrichissement d'idées à propos de Maqassa
Retraites et la mise en application de la régionalisation en plus de l’évitement
des dépravations administratives et lutte contre la corruption ? En effet, le MP ne montre-t-il lui aussi à profusion emphatique une volonté de rester en parfaite cohérence avec
l’INDH, en réclamant l'évitement de la dilapidation de ce capital précieux par l’usage
incommensurable de favoritisme sur le terrain? Une sorte de volonté de capacité d’en arriver à dominer les
accidents imprévisibles. Surtout, celle de nature imposée par l’UE risquant de bousculer les
petits et de faire basculer les grands agriculteurs vers la ruine. Par rapport à une
détermination sans faille de poursuivre le développement du tourisme dans tous
ces volets culturels écologiques et balnéaires. En évitant l’extravagance, et notamment les déprédations environnementales de dégradation du littoral et de rejets des polluants en mer en plus de
sauvegarde d’eau douce sans gaspillage éhonté. Tout un programme digne de
confiance pour Laenser le pragmatique quand ça l'arrange, afin de sauver l’aura du parti, pour dépasser la période après qu’il ait été
ministre de l’intérieur à la première mouture gouvernementale ayant laissé le
mouvement entre tangages et médisances.
Voilà ce qui nous rappelle qu’au Maroc, s’agissant
des conseils nationaux des partis politiques qui normalement font parties
intégrantes de leur marche démocratique, servent-ils à les guérir de l’esprit
lié aux conceptions opportunistes consensuelles soient-elles ? La réponse
n’est évidemment pas tranchée entre les béni-oui-oui et les frondeurs au sein
des partis, traduisant ainsi un déséquilibre qualitatif entre état d’excès de confiance
où insuffisance de maîtrise du jeu politique par les tenants et aboutissants.
Ce qui n’augure pas de leur stabilité par les temps qui courent, donnant des
signes avant-coureurs de confusion dans leurs gouvernances déséquilibrées et
de-rythmées. En plus en présence d’inconscience manifeste distillée par ci par
là en matière du retard de mise en effectivité normale de la constitution du 01
Juillet 2011. Et/où, malheureusement les fonctions de gouvernance dans les
tentatives d’objectiver soi-disant les résultats, n’évoluent que suivant la
destruction préprogrammée de leur parti pour certains et l'empiétement sur les
prérogatives du chef pour d’autres montrant la perte de toute possibilité de
réactivation.
Néanmoins, un
fait important encore inexploité est apparu ces derniers temps, en l’occurrence
les oppositions hard où mêmes soft comprirent que si elles formaient une ligne
d’attaque à seul caractère idéologique contre la domination pjdiste au
gouvernement, elles seraient qualifiées d’obsolètes et désuètes par les
observateurs politiques indépendants. Même si, elles sont blessées par la
manière dédaigneuse dont le chef du gouvernement les traite, qu’en effet les
qualifiant avec mépris de petites gens MAFIDHOUMCHES arriérées politiquement et
sous-armées en pensées puissantes pour le déstabiliser. Cependant, ajoutant,
qu’elles ne pourront s’en éloigner de sujet de conflit entre elles, où
l’in-structuration de chacune d’elles augmente sans raison valable le nombre de
courants déstructurant à la fois leur passé et leurs promesses d’avenir. Bref, pour
lui, il s’agit d’un conglomérat de conjoncture politique fataliste, ne formant qu’une
mosaïque d’idées aussi différentes les unes des autres et dont chaque
sous-unité demeure fondamentalement attachée à sa ligne dogmatique.
Mais pourquoi se
mettre dans le déni des réalités socio-économiques et politiques, alors que le
degré du sommeil gouvernemental est si patent ? Ceci d’ailleurs continue, qu’en
fait les coalisés voient parallèlement se faire par des alternances des rythmes
la construction du Maroc moderne sous le bon vouloir de l’Etat fort. Que
certains parmi eux appellent encore selon les circonstances, Makhzenisation à
outrance même étant aux affaires. Cependant, dans ce même Maroc, n’est-ce pas
que la notion de coalition gouvernementale, c'est-à-dire l’établissement d’un
programme politique entre coalisés, n’intervient que pour résoudre les
difficultés au fur et à mesure de l’apparition de secrets dans l’usage limité
de gouvernance instauré par Benkirane. N’est-ce là où le MP de Laenser doit s’essayer de ne prendre cette rythmique sous-cadencée trop
benkiranisée, rien que sur le plan de projection dynamique et prospection évolutive
et transformatrice de ses structures. En l’occurrence, comme symbole de travail
serrant l’outils-trésor de son identité recadrée depuis la constitution de
Juillet 2011, non seulement par rapport à ses références contenant tous les
éléments de la ruralité, mais aussi vis-à-vis de l’entassement historique des
sentiments des marocains à la diversité ethnoculturelle. Et donc, sans faire abstraction
de son dada pour l’amazighité, qu’en plus il ne faudra oublier que le PPS en est aussi l’un des
promoteurs de longues dates. DANS TOUS LES CAS QUI VIVRA VERRA !
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