mercredi 18 juin 2014

LE MOUVEMENT POPULAIRE MAROCAIN SAURA-T-IL SE METTRE EN VOIE DE CONCRÉTISATION DE SON VŒU D’IL Y A SOIXANTE ANS ?

   
   Al Haraka Achaabia, même si elle ne montre pas encore toute la transparence dans ses posirionnements, saura-t-elle se mettre en ordre de bataille? Et ce, sans continuer à faire régner les soupçons sur les dérives des uns et la rumeur des trahisons des autres.

 Quel espoir a-t-elle de pouvoir envisager une matérialisation de gouvernance probe et sereine par et dans le fait de différenciation de ses préoccupations internes? Ne pense-telle que l’année électorale 2015 risquerait de ne pas etre sienne ? Au point que, pourquoi et de quelle manière toutes ces justifications la pousseraient inexorablement à ne jouer le premier rôle ? D’autant plus elle sait que dans la difficulté, ce n’est pas sain de mettre les adhérents dos à dos notamment en avant première de ce processus électoral qui s’annonce.

AL HARAKA ACHAABIA S’ETAIT-ELLE RÉVEILLÉE A LA GOUVERNANCE PROBE ET SEREINE APRES QUELQUES MALHEUREUX COUACS ? CHERCHE-T-ELLE ENCORE A CONVAINCRE LES MAROCAINS DE LES FAIRE ENTRER SOUS SA COIFFE POUR 2015 ?

       En ce sens ne peut-on annoncer que malgré qu’elle fait déjà preuve de beaucoup de tempérance et conciliabules en interne, elle n'y arrive toujours pas à trouver le tempo politique et ce sans se soucier du smog politique hélas en préfabrication par certains partis en mal d’être pour raisons diverses ? Quoiqu’il en soit en ce temps présent, ce qui apparaît important c’est qu’elle s’essaye tant bien que mal de s’employer à dissiper en interne les orgueils des uns et des autres pour les transformer en ferment d’espérance pour elle. De ce fait, n'est-ce parce qu'elle n'est débarrassée de tous les réflexes d’empirisme qui la ternissaient, que sa nouvelle vague des quadras ne pourrait intérioriser cette nouvelle donne? Et donc de ces techniques reposant sur le placement judicieux de seulement les proches et autres sbires inconditionnels dans le maillage décisionnel au parti ! Surtout en des postes précis, selon des notions d’allégeance patiemment élaborées et établies au cours de ses longues marches ne tenant compte ni des compétences ni de la diversité dans ses rangs.

       Alors par conséquent pour le mouvement populaire, n’est-ce pas que déjà on perçoit quelles seraient les principales caractéristiques d’évolution de ses faits programmatiques de proximité dans l’Education Nationale la santé l’habitat et les grands chantiers stratégiques d'abord de renforcement de la dynamique diplomatique officielle et d’enrichissement d'idées à propos de Maqassa Retraites et la mise en application de la régionalisation en plus de l’évitement des dépravations administratives et lutte contre la corruption ? En effet, le MP ne montre-t-il lui aussi à profusion emphatique une volonté de rester en parfaite cohérence avec l’INDH, en réclamant l'évitement de la dilapidation de ce capital précieux par l’usage incommensurable de favoritisme sur le terrain? Une sorte de volonté de capacité d’en arriver à dominer les accidents imprévisibles. Surtout, celle de nature imposée par l’UE risquant de bousculer les petits et de faire basculer les grands agriculteurs vers la ruine. Par rapport à une détermination sans faille de poursuivre le développement du tourisme dans tous ces volets culturels écologiques et balnéaires. En évitant l’extravagance, et notamment les déprédations environnementales de dégradation du littoral et de rejets des polluants en mer en plus de sauvegarde d’eau douce sans gaspillage éhonté. Tout un programme digne de confiance pour Laenser le pragmatique quand ça l'arrange, afin de sauver l’aura du parti, pour dépasser la période après qu’il ait été ministre de l’intérieur à la première mouture gouvernementale ayant laissé le mouvement entre tangages et médisances.

   
    A cet égard, n’est-il vrai que pour la jeunesse l’homme et la femme harakis leur charge politico-émotionnelle explique cette grande complexité du cycle de démocratisation du parti ? Dès lors que les règles fondamentales de la démocratie interne continuent encore de s’intégrer étroitement aux considérations du passé. Malgré le sursaut à visée de l’harmonie à connotations politiquement ambitieuses des nouvelles pensées de restructuration scandées au conseil national du 18 Mai 2014 à Salé en préparation du congrès le douzième le 21 et 22 Juin 2014. N’est-ce pas que Lahcen Haddad en a fait l’amère expérience en prétendant présenter sa candidature à la chefferie du mouvement, face aux chauffeurs de salle s’étant adjoints aux souffles en sourdine de certains maîtres de cérémonies au parti ? Lesquels, par ailleurs, veulent garder la main tentant de le maintenir à la verticale comme d’antan. Evidemment, sans le corriger où le rendre basal à même de mettre en scène un semblant de dynamisme purement de nécessité du moment dont franchement Laenser ne s’en est aucunement désolidarisé.

       Voilà ce qui nous rappelle qu’au Maroc, s’agissant des conseils nationaux des partis politiques qui normalement font parties intégrantes de leur marche démocratique, servent-ils à les guérir de l’esprit lié aux conceptions opportunistes consensuelles soient-elles ? La réponse n’est évidemment pas tranchée entre les béni-oui-oui et les frondeurs au sein des partis, traduisant ainsi un déséquilibre qualitatif entre état d’excès de confiance où insuffisance de maîtrise du jeu politique par les tenants et aboutissants. Ce qui n’augure pas de leur stabilité par les temps qui courent, donnant des signes avant-coureurs de confusion dans leurs gouvernances déséquilibrées et de-rythmées. En plus en présence d’inconscience manifeste distillée par ci par là en matière du retard de mise en effectivité normale de la constitution du 01 Juillet 2011. Et/où, malheureusement les fonctions de gouvernance dans les tentatives d’objectiver soi-disant les résultats, n’évoluent que suivant la destruction préprogrammée de leur parti pour certains et l'empiétement sur les prérogatives du chef pour d’autres montrant la perte de toute possibilité de réactivation.

       Néanmoins, un fait important encore inexploité est apparu ces derniers temps, en l’occurrence les oppositions hard où mêmes soft comprirent que si elles formaient une ligne d’attaque à seul caractère idéologique contre la domination pjdiste au gouvernement, elles seraient qualifiées d’obsolètes et désuètes par les observateurs politiques indépendants. Même si, elles sont blessées par la manière dédaigneuse dont le chef du gouvernement les traite, qu’en effet les qualifiant avec mépris de petites gens MAFIDHOUMCHES arriérées politiquement et sous-armées en pensées puissantes pour le déstabiliser. Cependant, ajoutant, qu’elles ne pourront s’en éloigner de sujet de conflit entre elles, où l’in-structuration de chacune d’elles augmente sans raison valable le nombre de courants déstructurant à la fois leur passé et leurs promesses d’avenir. Bref, pour lui, il s’agit d’un conglomérat de conjoncture politique fataliste, ne formant qu’une mosaïque d’idées aussi différentes les unes des autres et dont chaque sous-unité demeure fondamentalement attachée à sa ligne dogmatique.


       Mais pourquoi se mettre dans le déni des réalités socio-économiques et politiques, alors que le degré du sommeil gouvernemental est si patent ? Ceci d’ailleurs continue, qu’en fait les coalisés voient parallèlement se faire par des alternances des rythmes la construction du Maroc moderne sous le bon vouloir de l’Etat fort. Que certains parmi eux appellent encore selon les circonstances, Makhzenisation à outrance même étant aux affaires. Cependant, dans ce même Maroc, n’est-ce pas que la notion de coalition gouvernementale, c'est-à-dire l’établissement d’un programme politique entre coalisés, n’intervient que pour résoudre les difficultés au fur et à mesure de l’apparition de secrets dans l’usage limité de gouvernance instauré par Benkirane. N’est-ce là où le MP de Laenser doit s’essayer de ne prendre cette rythmique sous-cadencée trop benkiranisée, rien que sur le plan de projection dynamique et prospection évolutive et transformatrice de ses structures. En l’occurrence, comme symbole de travail serrant l’outils-trésor de son identité recadrée depuis la constitution de Juillet 2011, non seulement par rapport à ses références contenant tous les éléments de la ruralité, mais aussi vis-à-vis de l’entassement historique des sentiments des marocains à la diversité ethnoculturelle. Et donc, sans faire abstraction de son dada pour l’amazighité, qu’en plus il ne faudra  oublier que le PPS en est aussi l’un des promoteurs de longues dates. DANS TOUS LES CAS QUI VIVRA VERRA ! 

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