DANS L’ATTENTE DE 2015, LE CHEF DU GOUVERNEMENT COMME QUELQUES
PATRONS ET AUTRES PSEUDO-TÉNORS DE PARTIS, POURRAIENT-ILS S’EN AFFRANCHIR DES SIMAGRÉES COMPORTEMENTALES ?
Aujourd’hui
après l’annonce du calendrier électoral 2015 surtout dans l’attente de ses
codifications, est-ce que les partis politiques marocains sont-ils prêts
d’éviter le remake des désillusions des promesses ? En tout cas leur
agitation depuis, est en modulation des voix des chefs comme des pseudo-ténors en
l’occurrence. D’autant plus variant de l’inaudible selon l’allégresse des uns
dans leur milieu d’influence partisane, jusqu’au strident de par le
désenchantement des autres dans les masses médias et réseaux sociaux où la
violence des propos s’entremêle parfois au sadisme. Et, dont les observateurs
politiques avertis sont abasourdis de ce qui arrive à leurs oreilles comme
illustration politique de bas de gamme. Mais restant tout de même vigilants, ne
confondant pas le ravissement du ministre de l’intérieur de vouloir à lui seul
gérer le processus électoral comme à l’accoutumée, par rapport à
l’essai-tentative du glissement du chef du gouvernement jusqu’à la porte de la
vaste cuisine sans en avoir le code d’accès.
Ajouter en plus
à cela, le fait qu’il cherche de brouiller les pistes, si ce n'est carrément tuer le processus électoral. Car se croyant libéré
de ci de là pour soi-disant avertir la population, que les Walis Gouverneurs et
autres cadres de l’Intérieur sont des êtres dangereux qu’il va falloir
surveiller et dénoncer en cas de tripatouillages électoraux pour les punir. Ce
qui montre quelle sorte de croyance ont les pjdistes selon les opportunités
avec des démonstrations de chagrin et de dévotion, de ne s’excuser auprès d’eux
de leur avoir assuré par leur passivité positive le passage vers la chefferie
du gouvernement un certain 25 Novembre 2011. Aussi, à cet égard le MP comme le
RNI ces gloires du règne hassanien, ne sont-ils aujourd’hui plus qu’hier un rempart à
ce genre de fermentations d’idées pjdistes à tire larigot au sein de la
coalition gouvernementale ? N’a-t-on pas dit, ceux qui honorent le lion en
attendent de ne jamais être attaqués par lui, au point qu’en règle générale ils
en espèrent gagner force et courage ! Et donc, s’il existe d’une part un
mécontentement lancinant du MP et RNI ne voulant cautionner cette méthodologie
inhérente à cette tentative politicienne benkiranéenne, il ya d’autre part, un
tapage-bruitage à travers l’USFP le PI pour le traitement de cette question
aspirant restaurer la vraie prise en charge politique rien qu'en adaptant les mesures
d’accompagnement au contexte des moyens existants.
Aussi dans cette
masse d’informations, tout n’est évidemment pas du meilleur augure pour
Benkirane. Du fait qu’il use avec d’autres pseudo-ténors politiciens de
simagrées comportementales destinées à attirer l’attention voire à renouer avec leur tromperie en promesses d’avant
25 Novembre 2011. Et pourtant, il sait mieux que quiconque que le portail du
ministère de l’intérieur lui restera fermé, car ne s’étant pas mis dans l’habit
du véritable homme d’Etat cohérent. Parce qu'en vérité, il ne cesse de jouer le
rôle-réplique à la fois de celui qui est aux affaires et en même temps
l’opposant produisant des entrechoquements entre la société civile les partis
de l’opposition les syndicats le M20F les femmes les handicapés et autres organismes
socioprofessionnels avec lui. Dont on en ressent beaucoup plus de complexité d’échanges
dans la situation politique actuelle au sein de la coalition gouvernementale, dès lors que soumise aux chocs et dégâts collatéraux qu’elle subi. N’est-ce là,
une sorte de fouillis jusqu’à l’infantilisme dans ces échanges inter-coalition non fondés sur la transparence ni sur l’équité, mais seulement
avérés non fructueux pour l’avenir du pays ?
Ce faisant, bien que l’effort politique se poursuit au Maroc sous Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour l’émancipation sociétale équilibrée et sans heurt des consciences, voilà que Benkirane porte atteinte à la constitution du 01 Juillet 2011 (article 19). Par conséquent, de ce fait, à quelle préoccupation de la population répond alors cette sortie benkiranéenne de vouloir confiner les femmes dans un ensemble de forces grillagées ? Ne sait-il pourtant que depuis l’avènement de cette constitution, aucune force même matérielle ne pourrait les dissuader de changer les gouvernants au moment des élections, faisant probablement sa plus grande phobie dans sa vie politique au quotidien ? Néanmoins, même si, d’après quelques indiscrétions de ses proches il parait que cette sortie se limite à la représentation des conseillers de l’opposition tentant de les exciter pour s’en montrer encore victime. Notamment les conseillers du PAM, qu’en effet depuis qu’il ait foulé le sol de Midelt pour en devenir chef du gouvernement, ils n'ont eu de cesse de le vilipender à propos de sa mauvaise gouvernance. Dont les ministres Hassad Boussaid Akhennouche Alami Laenser Abbou et surtout Dahak du SGG, chacun dans son terrain de prédilection en savent quelques choses travaillant d'arrache-pied pour avoir dans leur arsenal une réserve de mesures permettant de corriger ses incartades.
Ce faisant, bien que l’effort politique se poursuit au Maroc sous Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour l’émancipation sociétale équilibrée et sans heurt des consciences, voilà que Benkirane porte atteinte à la constitution du 01 Juillet 2011 (article 19). Par conséquent, de ce fait, à quelle préoccupation de la population répond alors cette sortie benkiranéenne de vouloir confiner les femmes dans un ensemble de forces grillagées ? Ne sait-il pourtant que depuis l’avènement de cette constitution, aucune force même matérielle ne pourrait les dissuader de changer les gouvernants au moment des élections, faisant probablement sa plus grande phobie dans sa vie politique au quotidien ? Néanmoins, même si, d’après quelques indiscrétions de ses proches il parait que cette sortie se limite à la représentation des conseillers de l’opposition tentant de les exciter pour s’en montrer encore victime. Notamment les conseillers du PAM, qu’en effet depuis qu’il ait foulé le sol de Midelt pour en devenir chef du gouvernement, ils n'ont eu de cesse de le vilipender à propos de sa mauvaise gouvernance. Dont les ministres Hassad Boussaid Akhennouche Alami Laenser Abbou et surtout Dahak du SGG, chacun dans son terrain de prédilection en savent quelques choses travaillant d'arrache-pied pour avoir dans leur arsenal une réserve de mesures permettant de corriger ses incartades.
N’est-ce en cela qu’on
peut confirmer sans réserve, que les changements de mode de gouvernance peuvent
modifier le caractère typologique des partis coalisés pour une organisation
plus exigeante en transparence et en efficacité ? Vu qu’en matière de gouvernance plus les idées
politiques sont simples cohérentes et porteuses de compromis, plus elles sont
moins vulnérables aux contrecoups. Qu’au demeurant, ne s'agit-il là du rôle fondamental
des chefs de partis d’éviter tout genre de proliférations de contrevérités,
notamment celles à buts d’expansion ne cherchant que les profits purement politiciens au
détriment du peuple ? Maintenant on peut dire que Benkirane est sûrement avertis, que le Maroc ce soleil
dans le laboratoire printanier arabo-amazigh d’où provient la fusion des idées
de démocratie de proximité fantastiquement élaborées, ne peut accepter de se
faire sub-fanatiquement déstabiliser par les illustrations illusoires politiciennes. Surtout et à plus forte raison de la part
de ministres se bornant de le considérer magma d'entrechoquement de leurs idées contre la marche sociétale tracée par la vision royale. Voire mélange détonnant comme ce qu'en disent les héritiers d'Abdeslam Yassine, parce que les performances socio-économiques ne s’améliorent pas sur le terrain au vu de l'accroissement des dimensions voire de l'intensité des crédits contractés en cascade hypothéquant l'avenir du pays. A BON
ENTENDEUR SALUT !
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