dimanche 9 mars 2014

COURAGE DIPLOMATIQUE MAROCAIN EN RÉFÉRENCE A LA BONNE GOUVERNANCE DANS LES INSTITUTIONS ÉTATIQUES, POUR L'EXÉCUTION A BON ESCIENT DES NOMBREUSES CONVENTIONS SIGNÉES COMMUNÉMENT ENSEMBLE AVEC LES PAYS AFRICAINS !

LE MAROC DANS SES RÉFLEXIONS D’AFFINEMENT PROGRESSIF DE L’EVOLUTION DE SES CHANCELLERIES POUR LE SUIVI ET LE CONTRÔLE DE CES CONVENTIONS, NOTAMMENT APRES LA TOURNÉE ROYALE AFRICAINE ÉMANATION DE LA NOUVELLE PENSÉE OFFENSIVE DU SOUVERAIN !

       Désormais dans les instances internationales,  l’influence du Maroc s’accroît de la confiance placée à son souverain Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Laquelle s’exprime en fonction d’intérêts composés représentant les actions engagées entre rentabilité des opérations de lobbying pro-Maroc et aussi les titres de crédits politiques à propos de leur effectivité diplomatique programmatique selon l’agenda préétabli. A cela s’ajoute le capital du changement que connait le Maroc dans le calme et la responsabilité, que normalement doit servir à son tour de base d’engagement dans la bonne gouvernance. En évitant toute les hausses de train de vie de l’Etat, et en faisant diminuer la part de surconsommation susceptible d’être utilisée pour juguler les déficits de communication par la maîtrise des effets pervers des mauvaises gouvernances.

       Reste par conséquent, que le gouvernement Benkirane II s’il dure encore, doit faire attention aux jeux interdits du surendettement, car il se trompe en pensant c’est comme ça qu’il pourra échapper à toute situation de cessation virtuelle des paiements des crédits. Alors qu’il y a risque de l’ébranlement des places financières par dessèchement des crédits, que normalement servant de lubrifiant aux échanges économico-commerciaux sans contraintes, rien qu’en scrutant le fil d’actualités aux portes de l’UE Union Européenne en Ukraine l’outragée la meurtrie et la disloquée. N’est-ce pas en économie mondialisée tout se tient au prorata de la demande et l’offre à l’international ? Par autant de niveaux de l’intervention des instances financières pour ajuster les productions adéquates selon les circonstances. Et donc, de conserver à terme les perspectives ne prenant compte des contraintes de la croissance, mais seulement celles inhérentes aux mécanismes des échanges économiques et commerciaux mis sous tutelle et troïkaisation.

       C’est ainsi qu’au rythme du pragmatisme diplomatique politico-économique marocain actuel, entre  dépassement des féeries conformistes désolantes d’arrière plan d’avant, et réalisme du temps présent loin du tâtonnement solitaire d’il n’y a pas si longtemps, nombreux sont les pays africains demandeurs de cette potion diplomatique énergisante. Parce que, si l’on se réfère à la dynamique royale contributive et constructive du développement en Afrique, on remarquera que son capital participatif entre le constant et le variable ne cesse de s’agrandir. Répondant par pragmatisme aux besoins de l’Etat moderne, et en même temps amorçant le choc de l’endettement à la façon Benkirane grevant les budgets alloués aux remboursements sans se mettre en ligne restrictive des dépravations des mauvaises gouvernances que la cour des comptes en a étalé de larges extraits. Qu’en plus, cette dynamique royale a fait d’emblée sortir le Maroc de la léthargie politico-diplomatique infondée de la chaise vide, laquelle, par ailleurs est  antinomique au contexte international actuel. De ce point de vue, nul doute que cela, se déroule au nom d’un compromis historique d’un Maroc qui avance sereinement politiquement sur les chantiers ouverts par le CNDH de respect des droits de l’homme, et une société civile qui ne doute plus de ses potentialités depuis l’avènement de l’IER Instance Équité et Réconciliation jusqu’à l’exégèse des nouveaux droits établis par le CESE. Surtout, en sus de ses propres instruments de connaissance fouillée des positionnements de nombreux pays devenus favorables à la thèse marocaine dans l’affaire de son Sahara.

       Du coup, c’est cet effet d’entrainement conséquence du dépassement du tâtonnement gluant voire aussi mouvant des diplomaties officielles et officieuses, qui a permis au Maroc d’éviter les dérives des tons dogmatiques de certaines sphères, comme ce qu’a vécu le nord Mali et malheureusement incroyablement entrain de s’établir dangereusement en Mauritanie. N’en déplaise à ces porteurs d’idées saugrenues touchant la conscience des musulmans, dont l’Etat mauritanien par ailleurs doit sévir par l’ouverture exceptionnelle de ligne d’entendement politique entre factions pour l’apaisement et surtout pour ne pas tomber dans l’abîme. C’est en ce sens qu’au Maroc, seul le commandeur des croyants régi avec dextérité et détermination cette complexité du champ religieux, lui octroyant le statut de pays stable incontournable dans les alliances géostratégiques qui se dessinent pour le futur proche. Et ce, malgré les appels dilatoires de l’Algérie aux africains, qu’en fait connaissent parfaitement sa situation politique en pleine impasse annonçant la fin de son système usurpateur. Mais voulant imposer ses recommandations de toujours et encore attendre, ne sachant ni réalisant qu’elle est dépassée par les événements compte tenu du charivari et caractère-embrouillamini entre structures de l’Etat.

       Maintenant en l’occurrence, il n’est nullement exagéré de dire que la tournée royale Février-Mars 2014 en Afrique a fait naître une véritable révolution de la diplomatie marocaine. Notamment dans la pensée économique de participation d’égal à égal entre Etats africains, au point que l’on peut s’avancer à l’intituler « Saga Maroc-Afrique au fait du rattrapage du temps perdu ». Tant sur les idées novatrices de partenariats socioculturels infra-structurels financiers et commerciaux gagnant-gagnant, que sur l’action politique concertée fondée sur le principe de nécessité d’intervention solidaire de par le nombre impressionnant des conventions signées. A même en effectivité de théorisation des intérêts comme dans le cas de l’épandage du culte sunnite du rite malékite pour pallier les dangers qui guettent l’Afrique. Et aussi la praticabilité d’entraide Maroc-dépendante sujette au facteur multiplicateur d’honorabilité spirituelle déterminant de nouveaux horizons sur le terrain africain et ailleurs à l'exemple des Zaouias Tijania et Boutchochia contrebalançant le terrorisme quel qu’il soit. Bien entendu, il faut se rendre compte que de telles mesures entraîneraient des résultats immédiats pour certaines, même si pour d’autres il va y avoir un laps de temps pour qu’elles s’avéreraient efficaces.


       A cet égard, ne peut-on confirmer que la diplomatie plurielle marocaine commence à montrer ses atouts et compétences ? En plus sortant des sentiers battus de discipline soi-disant élitiste, alors que longtemps apanage de cercle consanguin mêlé à de faux experts de par l’incompatibilité de leurs actions engagées des années durant. Et ce, au sens strict des objectifs à atteindre par la quantification et la rationalisation du concept nouveau de l’approche diplomatique marocaine, en ne s’engluant plus dans les digressions emphatiques et les élucubrations stériles n’ayant mené qu’à la flatulence et aigreur diplomatique. Voilà pourquoi certains diplomates marocains audacieux, s’engagent souvent par leur savoir faire, sous forme de vertu morale comportementale de clairvoyance dans le suivi des intérêts du pays. Sans se laisser envahir de pessimisme même relatif, où, d’optimisme extravaguant voire excessif, dont les réseaux spécialisés des chancelleries peuvent en témoigner éloquemment. Tant est forte et déterminante leur implication de montrer la justesse de la thèse marocaine, et par voie de conséquence d’assurer objectivement l’avenir du Sahara marocain dans la régionalisation avancée. Contrairement, à d’autres peu nombreux heureusement, n’arrivant à se hisser au statut digne de diplomate d’envergure. Tout simplement en mettant en péréquation pérenne l’avenir du pays en affrontant de face par la preuve le concret, les portes flingues dinars-petro-gazéo-dépendants partout ou ils se trouvent.

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