dimanche 5 mai 2013

LE COUPLE MAROC-ALGÉRIE TOUJOURS FACE A UN AVENIR IN-QUANTIFIABLE, DE PAR L’IMPACT ONUSIEN QUI A EU LIEU !


COMMENT FAIRE POUR TRANSFORMER CET ESSAI AU DÉBUT DE TRANSPARENCE-INTRANSIGEANCE ONUSIENNE, MAIS DEVENU APRÈS UN FORCING DIPLOMATIQUE DE HAUT NIVEAU  COOPTATION-COMPÉTENCE MAROCAINE ?

       Il semble que l’idée du mécanisme de vigilance-surveillance des événements au Sahara marocain fait des émules. Même si de l’autre coté du mur de sable, les donneurs d’ordre affolés par cette pensée, continuent à imaginer des refus de leurs groupuscules en interne vraiment dollars-dépendants. Tout simplement, pour faire payer au Maroc, ce qu’ils appellent incroyablement indécemment le sauvetage de l’ONU. De surcroît considéré positif par toutes les composantes du peuple marocain, mais négatif par le pouvoir algérien et ses satellites. Ainsi, la tragédie de l’exploitation des souffrances dans les camps de la honte continue, tellement qu’on ne peut dire, désormais l’apathie non sympathie maghrébine est dépassée.  

       La paix entre les peuples, n'est-elle normalement un levier de résurrection multidimensionnelle de développement, en comptant sur la spontanéité d’ouverture des chapitres de convergence pour sortir de la fabrique de la médiocrité politique? En plus sans retenue particulièrement en immersion-guéguerre psychologique sur fond de surarmement algérien. Evidemment qu’entre l’Algérie et le Maroc, ça symbolise un programme navrant de conservation du statu quo en l’état d’apnée forcée. Une menace assez paradoxale à première vue dans toute la relation inter-maghrébine, où il faut faire attention parce qu’il y a des faucons prédateurs pas loin en interne comme en externe. Alors même que le patrimoine maghrébin présente un atout sans équivalent, que nullement ailleurs dans le monde, pour la bonne production d’entente et de rénovation ferme interdisant la surenchère des malentendus greffés pour l'appropriation du leader-chef dans la région.

       A cet effet, voilà pourquoi on voit apparaître de temps en temps dans les parties supérieures visibles des appareils étatiques des embûches-bûchers. Comme actuellement dans l’exploitation thermophile par l’Algérie de l’affaire du Sahara marocain. Ce qui empêche le développement normal des relations avec le Maroc, même s’il y a des initiatives de transvasement de la tension vers d’autres horizons par des sommets ministériels superficiels. En réalité, il est difficile de par ces réunions de masquage de l’échec évident, de continuer dans cette voie, au lieu de carrément crever l’abcès qui ne cesse de gangrener. N'en croyez surtout pas, que continuer à inhaler cette turbidité des tempêtes de sable sans se pencher sérieusement à régler le contentieux algéro-marocain du tracé des frontières, est une chose facilement supportable par la majorité des marocains ! Alors même, qu'en plus le parlement du Maroc considère ce temps de latence depuis le sommet tripartite entre Hassan II Boumediene et Ould Dada à Ifrane 1972 à ce jour, juste un abri de fortune pour halte de réflexion. En attendant le vote d’effectivité de ratification, et par la suite sa promulgation et parution au journal officiel. Où carrément, un non massif clair pour rouvrir ce dossier de plus belle, malgré que les généraux algériens parlent de prescription ayant consigné le tracé-projet au secrétariat général de l'ONU apparemment d'après eux sans réserve coté marocain.

       N’est-ce pas qu’on croyait qu’avec le temps ce volet relationnel entre les deux pays allait se kératiniser empêchant l’oxydation ? Et bien non, cette latence vient d’exploser en plein 01 Mai 2013, du moment qu’un parti de la coalition gouvernementale en a rallumé la mèche. En l’occurrence le PI de la bouche du patron lui-même Chabat L’AAFRIT, s’étant fait ouvrir voire balisé auparavant le passage dès sa visite très réussie en Mauritanie. Vu qu'elle a assisté aux pourparlers de l'époque, et dont Benkirane n'a pipé mot se contentant de sermonner Chabat sur son comportement violent à l'égard de quelques ministres. Ce qui a Provoqué un rejet violent de la part du pouvoir algérien, tout à fait caractéristique de ce contraste des péages constricteurs relationnels entre le Maroc et l’Algérie, notamment depuis l’affaire de l’attaque de l’hôtel Atlas-Asni à Marrakech. C’est vrai, cette déplétion relationnelle reflète l’état de non confiance mutuelle que chacun des pays essaye d’exploiter à son avantage, parfois en silence radio, au détriment de toute vraie amélioration où décrispation.

       N’empêche que tôt ou tard, il va falloir s’engager dans une nouvelle voie de réalisation raisonnée des objectifs communs. Pour ensuite, s’attaquer de front au vrai déficit relationnel, vu qu’on s’entendait pas jusqu’à présent mutuellement. Par conséquent, c’est comment s’en sortir d’une façon structurelle de cette énorme masse de problèmes multidimensionnels systématiquement greffés pendant tout ce temps ? La réponse serait d’abord sur le court terme, en tant que levier de résurrection économique par de vrais débats bilatéraux interactifs francs sur la complémentarité de gagner ensemble. Puis après sur la durée, selon des objectifs crédibles pouvant intéresser l’Algérie à changer impérativement sa prise thermophile paroxystique, en devenant compatible à la pression de réorganisation politico-économique ne tuant plus le commerce inter-échange frontalier. Et là, surement la proposition marocaine de l’autonomie dans le cadre de la régionalisation avancée, pourrait être cette base où le désamour d’antan serait consommé, loin de toute spéculation sur le sort et ressort du Maghreb.

       C’est vrai que par rapport au tangage de la région sahélo-africaine, risquant le décrochage du Maghreb par cet espèce de trou noir béant terroriste qui ne cesse de s’élargir, le Polisario reste de l’avis de beaucoup d’observateurs l’un des exécutants stratèges. De fait, l’Algérie doit prendre ses responsabilités et sortir de ses réflexes pavloviens antis Maroc, par ailleurs ne tenant qu’à la non lucidité et à la fantaisie d’aggravation des relations. N'est-il pas arrivé le temps pour le pouvoir algérien de sortir de la vulgarité niant les problèmes économiques et ne plus donner des réponses biscornues schématisées de fuite en avant, sans tenir compte des vraies doléances du peuple algérien.    

JUSTEMENT, COMMENT FAIRE POUR DISSIPER TOUT CELA FACE A LA RHÉTORIQUE-MATOISERIE DES RELAIS PROPAGANDISTES PRO-ALGÉRIENS, SURTOUT DE LA FONDATION KENNEDY ?

       A bien scruter cette propagande, ne s’agit-il pas d’un dysfonctionnement dans l’intégration des données sur le terrain, révélant une honteuse cogestion avec les renégats. Au point que c’est devenu, par crossing-over attaque-maltouse anti-irrédentisme marocain non argumentée, par une ribambelle de souteneurs en intra-muros manquant d’objectivité. Lesquels malheureusement fortuitement recrutés, ne travaillant que la subjectivité de l’agenda-programme du pouvoir algérien. En tout état de cause ça n’ébranle aucunement la détermination du Maroc, de continuer son bonhomme de chemin la considérant une assise de points à gagner, pour répondre aux freins que veulent imposer ces aventuriers de l’imposture. N’est-ce pas qu’ils n’auront pas le premier prix, de par leur lien avec les routeurs de la cyber-exhibition à des fins malveillantes de terrorisme et déstabilisation  ? 

       Oui, comment ne peut-on dire que les règles de respect des droits de l’homme partout dans le monde, ne peuvent être imposées de façons démontes? D’abord parce qu’il y a risque parfois de faire émerger la politique d’accommodation à une situation fut-elle dangereuse. Ensuite n’est-ce pas seulement une reproduction d’un casse-tête de réévaluation dans l’échelle des intérêts géostratégiques, pouvant être en désaccord avec le libre choix de la majorité. Conséquence du manque de confiance entre pays dictant et autres subissant de ces diktats, pratiquement toujours en décalage à l’international. Qu’en fait risquent d’accroître les tensions en interne comme en externe, parce que malheureusement, c’est dans ce contexte que tout se manigance sur le dos des pays par des stratégies dictée de macroéconomie. Ce qui fait poser aujourd’hui de nombreuses questions sur la vraie contribution onusienne, à propos des prérogatives de perspective de saucissonnage de beaucoup de régions dans le monde.

       Certes, les droits de l’homme au Maroc qui ne fuit pas ses responsabilités sachant qu'il est passé par les années de plomb, c’est bien beau ! Mais les droits à la démocratie évolutive sereine, tenant compte des acquis de l’engagement de l’État s’essayant d’éviter les dérives, sont aussi importants. Aussi, personne ne peut prétendre le contraire sur les grands pas effectués en ce sens par le Maroc, sauf s’il y a paraisse intellectuelle pour ne pas dire déni des réalités. A cet effet, est-ce que la rhétorique-matoiserie de la fondation Kerry aux USA, ne fait-elle que sautiller sur place dans le cadre d’une chaine anti-irrédentisme marocain, les nouveaux souteneurs intra-muros moyennant « GIVE ME DOLLARS » ? Cependant, même en tentant de s’adapter à leurs sorties de compétitivité médiatique sur les divers supports notamment sociaux, ils paraissent ne faire que la chasse au mirage sans fondement ni raison. En plus transgressant la conscience de la grande majorité des marocains, en usant d’additifs et artifices linguistiques d’un autre âge. Car croyant faire une démonstration de démocratie en soutenant thèse-rataplan d’inconsidération des faits historiques.

       Finalement au Maroc, il n’y aura jamais deux conceptions de traitement des droits de l’homme, surtout celle préconisée par ces fameux souteneurs ayant un prisme monochrome de voir les choses. De surcroît ne faisant que jouer la montre en faveur de l’Algérie des généraux, sans penser au peuple algérien frère qui ne cesse de payer les pots cassés. Vraiment ça se voit que ces souteneurs ne se sont nullement essayés dans leur vie à la capitainerie vraie et responsable, mais seulement à la promotion de cacophonie ne faisant que stigmatiser tous ceux en désaccord avec leur vision. En tout cas, ce n’est pas en distillant des médisances et contrevérités très critiques vis-à-vis du modèle politique du Maroc, qu’ils vont s’imposer pour s'essayer de s'institutionnaliser en marge. Il n'y arriveront jamais à se normaliser en tant qu'entité de réflexion, entre la confrontation des forces vives sur la ligne politique que doivent suivre les gouvernements et la tension légitime de la population pour l’amélioration de son bien être envers tous les gouvernements quel qu’ils soient. N'est-ce pas qu'il s'agisse d'une affaire entre marocains libres dans leurs choix, qu'au demeurant croyant sans réserve ni hésitation au processus de démocratisation entamée?   

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