COMMENT FAIRE POUR TRANSFORMER CET ESSAI AU DÉBUT DE TRANSPARENCE-INTRANSIGEANCE
ONUSIENNE, MAIS DEVENU APRÈS UN FORCING DIPLOMATIQUE DE HAUT NIVEAU COOPTATION-COMPÉTENCE MAROCAINE ?
Il semble que l’idée du mécanisme de
vigilance-surveillance des événements au Sahara marocain fait des émules. Même
si de l’autre coté du mur de sable, les donneurs d’ordre affolés par cette pensée, continuent à
imaginer des refus de leurs groupuscules en interne vraiment dollars-dépendants. Tout simplement, pour
faire payer au Maroc, ce qu’ils appellent incroyablement indécemment le sauvetage de l’ONU. De surcroît considéré positif par toutes les composantes du peuple marocain, mais négatif
par le pouvoir algérien et ses satellites. Ainsi, la tragédie de l’exploitation
des souffrances dans les camps de la honte continue, tellement qu’on ne peut
dire, désormais l’apathie non sympathie maghrébine est dépassée.
La paix entre les peuples, n'est-elle
normalement un levier de résurrection multidimensionnelle de développement, en
comptant sur la spontanéité d’ouverture des chapitres de convergence pour
sortir de la fabrique de la médiocrité politique? En plus sans retenue
particulièrement en immersion-guéguerre psychologique sur fond de surarmement
algérien. Evidemment qu’entre l’Algérie et le Maroc, ça symbolise un programme navrant de conservation du statu quo en l’état d’apnée forcée. Une menace assez paradoxale à première vue dans toute la relation inter-maghrébine, où il faut faire attention parce qu’il y a des faucons prédateurs pas loin en interne comme en
externe. Alors même que le patrimoine maghrébin présente un atout sans
équivalent, que nullement ailleurs dans le monde, pour la bonne production
d’entente et de rénovation ferme interdisant la surenchère des malentendus
greffés pour l'appropriation du leader-chef dans la région.
A cet effet, voilà pourquoi on voit apparaître de
temps en temps dans les parties supérieures visibles des appareils étatiques des embûches-bûchers. Comme actuellement dans l’exploitation thermophile par l’Algérie de l’affaire
du Sahara marocain. Ce qui empêche le développement normal des relations avec
le Maroc, même s’il y a des initiatives de transvasement de la tension vers
d’autres horizons par des sommets ministériels superficiels. En réalité, il est
difficile de par ces réunions de masquage de l’échec évident, de continuer dans
cette voie, au lieu de carrément crever l’abcès qui ne cesse de gangrener. N'en croyez surtout pas, que continuer à inhaler cette turbidité des tempêtes de sable sans
se pencher sérieusement à régler le contentieux algéro-marocain du tracé des
frontières, est une chose facilement supportable par la majorité des marocains ! Alors même, qu'en plus le parlement du
Maroc considère ce temps de latence depuis le sommet tripartite entre Hassan II Boumediene et
Ould Dada à Ifrane 1972 à ce jour, juste un abri de fortune pour halte de
réflexion. En attendant le vote d’effectivité de ratification, et par la suite sa
promulgation et parution au journal officiel. Où carrément, un non massif clair pour rouvrir ce dossier de plus belle, malgré que les généraux algériens parlent de prescription ayant consigné le tracé-projet au secrétariat général de l'ONU apparemment d'après eux sans réserve coté marocain.
N’est-ce pas qu’on croyait qu’avec le
temps ce volet relationnel entre les deux pays allait se kératiniser empêchant
l’oxydation ? Et bien non, cette latence vient d’exploser en plein 01 Mai
2013, du moment qu’un parti de la coalition gouvernementale en a rallumé la
mèche. En l’occurrence le PI de la bouche du patron lui-même Chabat L’AAFRIT,
s’étant fait ouvrir voire balisé auparavant le passage dès sa visite très
réussie en Mauritanie. Vu qu'elle a assisté aux pourparlers de l'époque, et dont Benkirane n'a pipé mot se contentant de sermonner Chabat sur son comportement violent à l'égard de quelques ministres. Ce qui a Provoqué un rejet violent de la part du pouvoir
algérien, tout à fait caractéristique de ce contraste des péages constricteurs relationnels
entre le Maroc et l’Algérie, notamment depuis l’affaire de l’attaque de l’hôtel Atlas-Asni à
Marrakech. C’est vrai, cette déplétion relationnelle reflète l’état de non
confiance mutuelle que chacun des pays essaye d’exploiter à son avantage,
parfois en silence radio, au détriment de toute vraie amélioration où
décrispation.
N’empêche que tôt ou tard, il va falloir
s’engager dans une nouvelle voie de réalisation raisonnée des objectifs
communs. Pour ensuite, s’attaquer de front au vrai déficit relationnel, vu qu’on
s’entendait pas jusqu’à présent mutuellement. Par conséquent, c’est comment
s’en sortir d’une façon structurelle de cette énorme masse de problèmes
multidimensionnels systématiquement greffés pendant tout ce temps ? La
réponse serait d’abord sur le court terme, en tant que levier de résurrection
économique par de vrais débats bilatéraux interactifs francs sur la
complémentarité de gagner ensemble. Puis après sur la durée, selon des
objectifs crédibles pouvant intéresser l’Algérie à changer impérativement sa
prise thermophile paroxystique, en devenant compatible à la pression de
réorganisation politico-économique ne tuant plus le commerce inter-échange
frontalier. Et là, surement la proposition marocaine de l’autonomie dans le
cadre de la régionalisation avancée, pourrait être cette base où le désamour d’antan
serait consommé, loin de toute spéculation sur le sort et ressort du Maghreb.
C’est vrai que par rapport au tangage de
la région sahélo-africaine, risquant le décrochage du Maghreb par cet espèce de
trou noir béant terroriste qui ne cesse de s’élargir, le Polisario reste de l’avis de
beaucoup d’observateurs l’un des exécutants stratèges. De fait, l’Algérie doit
prendre ses responsabilités et sortir de ses réflexes pavloviens antis Maroc, par ailleurs ne
tenant qu’à la non lucidité et à la fantaisie d’aggravation des relations. N'est-il pas arrivé le temps pour le pouvoir algérien de sortir de la vulgarité niant les problèmes économiques et ne plus donner des réponses biscornues schématisées de fuite en avant, sans tenir compte des vraies doléances du peuple algérien.
JUSTEMENT, COMMENT FAIRE POUR DISSIPER TOUT CELA FACE A LA RHÉTORIQUE-MATOISERIE DES RELAIS PROPAGANDISTES PRO-ALGÉRIENS,
SURTOUT DE LA FONDATION KENNEDY ?
A bien scruter cette propagande, ne s’agit-il pas d’un dysfonctionnement
dans l’intégration des données sur le terrain, révélant une honteuse cogestion
avec les renégats. Au point que c’est devenu, par crossing-over
attaque-maltouse anti-irrédentisme marocain non argumentée, par une ribambelle
de souteneurs en intra-muros manquant d’objectivité. Lesquels malheureusement
fortuitement recrutés, ne travaillant que la subjectivité de l’agenda-programme
du pouvoir algérien. En tout état de cause ça n’ébranle aucunement la
détermination du Maroc, de continuer son bonhomme de chemin la considérant une
assise de points à gagner, pour répondre aux freins que veulent imposer ces
aventuriers de l’imposture. N’est-ce pas qu’ils n’auront pas le premier prix,
de par leur lien avec les routeurs de la cyber-exhibition à des fins
malveillantes de terrorisme et déstabilisation ?
Oui, comment ne peut-on dire que les règles de respect des droits de
l’homme partout dans le monde, ne peuvent être imposées de façons démontes?
D’abord parce qu’il y a risque parfois de faire émerger la politique
d’accommodation à une situation fut-elle dangereuse. Ensuite n’est-ce pas seulement une reproduction d’un casse-tête
de réévaluation dans l’échelle des intérêts géostratégiques, pouvant être en désaccord avec le libre choix
de la majorité. Conséquence du manque de
confiance entre pays dictant et autres subissant de ces diktats, pratiquement toujours en décalage à
l’international. Qu’en fait risquent d’accroître les tensions en interne comme
en externe, parce que malheureusement, c’est dans ce contexte que tout se
manigance sur le dos des pays par des stratégies dictée de macroéconomie. Ce qui
fait poser aujourd’hui de nombreuses questions sur la vraie contribution
onusienne, à propos des prérogatives de perspective de saucissonnage de
beaucoup de régions dans le monde.
Certes, les droits de l’homme au Maroc
qui ne fuit pas ses responsabilités sachant qu'il est passé par les années de plomb, c’est bien beau ! Mais les droits à
la démocratie évolutive sereine, tenant compte des acquis de l’engagement de
l’État s’essayant d’éviter les dérives, sont aussi importants. Aussi, personne
ne peut prétendre le contraire sur les grands pas effectués en ce sens par le Maroc, sauf s’il y a paraisse intellectuelle pour ne
pas dire déni des réalités. A cet effet, est-ce que la rhétorique-matoiserie de
la fondation Kerry aux USA, ne fait-elle que sautiller sur place dans le cadre
d’une chaine anti-irrédentisme marocain, les nouveaux souteneurs intra-muros
moyennant « GIVE ME DOLLARS » ? Cependant, même en tentant de s’adapter
à leurs sorties de compétitivité médiatique sur les divers supports notamment
sociaux, ils paraissent ne faire que la chasse au mirage sans fondement ni raison. En plus transgressant
la conscience de la grande majorité des marocains, en usant d’additifs et
artifices linguistiques d’un autre âge. Car croyant faire une démonstration de
démocratie en soutenant thèse-rataplan d’inconsidération des faits
historiques.
Finalement au Maroc, il n’y aura jamais
deux conceptions de traitement des droits de l’homme, surtout celle préconisée
par ces fameux souteneurs ayant un prisme monochrome de voir les choses. De surcroît ne faisant que jouer la montre en faveur de l’Algérie des généraux,
sans penser au peuple algérien frère qui ne cesse de payer les pots cassés.
Vraiment ça se voit que ces souteneurs ne se sont nullement essayés dans leur
vie à la capitainerie vraie et responsable, mais seulement à la promotion de cacophonie ne
faisant que stigmatiser tous ceux en désaccord avec leur vision. En tout cas,
ce n’est pas en distillant des médisances et contrevérités très critiques
vis-à-vis du modèle politique du Maroc, qu’ils vont s’imposer pour s'essayer de s'institutionnaliser en marge. Il n'y arriveront jamais à se normaliser en tant qu'entité de réflexion, entre la confrontation des forces
vives sur la ligne politique que doivent suivre les gouvernements et la tension
légitime de la population pour l’amélioration de son bien être envers tous les
gouvernements quel qu’ils soient. N'est-ce pas qu'il s'agisse d'une affaire entre marocains libres dans leurs choix, qu'au demeurant croyant sans réserve ni hésitation au processus de démocratisation entamée?
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