CETTE MÉTHODE-APPROCHE CHABATIENNE N’EST-ELLE GÉNÉRATRICE SEULEMENT
DE SONGES CHEZ LES ADHÉRENTS ISTIQLALIENS ET TROUBLES CHEZ AUTRUI ? MÊME SI C’EST VRAI QUE TOUS SONT DÉSENCHANTÉS PAR LE DOGME DU POSITIONNEMENT
POLITIQUE BENKIRANISÉ A OUTRANCE, DONNANT UNE IMPRESSION DE GARANTIE ET
ASSURANCE AU SEIN DE LA COALITION GOUVERNEMENTALE.
Le suivi politique de cette tornade
émotionnelle et l’accompagnement médiatique qui s’en est suivi, occupent
actuellement une grande place en interprétation de gestion gouvernance de
l’Exécutif version 01 Juillet 2011. Alors que normalement la constitution a été
montée pour permettre aux politiques l’optimisation dans leur pratique
normative au quotidien, tout en écartant les prises de risques inutiles. Parce
qu’il n’y a qu’à voir le répertoire des effets induits par la crise
Chabat-Benkirane, notamment cette individualisation-choc incompréhensible de
plus en plus puérile ne répondant aucunement au besoin de sérénité. Cela
certainement fera date dans les annales de fonctionnement des partis, qu’en
effet ce cas d’abus de langage annexé au mésusage comportemental, a montré une
contrefaçon désordonnée du bon vouloir de bien faire.
Aujourd’hui on peut dire que cette
technique du PI de provoquer l’émoi, fait partie de la fonctionnalité maîtrisée
de Chabat recourant en plus quasi-automatiquement au brouillage des messages.
De fait, la charge émotionnelle ainsi induite est invasive, au sens où elle
pousse tout le monde dans le champ politique national à chercher à s’en référer
et s’y ré axer politiquement. Pour ensuite s’adapter à l’embrouillamini
provoqué par le jeu de l’information-désinformation subie, et surtout aux sournoiseries
politiciennes conscientes re-larguées parce que dûment emmagasinées au fur et à
mesure du déroulé d’actualités. Et ce, tout en faisant le point sur les
positionnements relatifs à la conception participative dans l’engagement
politique à coté du PJD version Benkirane 2013. Lequel flanqué de sa horde de
l’enfumage n’usant que d’astuces de récupération, entre critiques acerbes
envers les détracteurs, autocritiques semi réductrices des handicapes par
incompétence et repentirs sur les implications sociétales par rejet de prises de
responsabilités.
Cependant en ce temps présent, comment
faire pour bannir ce genre d’exercice ignorant la mesure dans les propos au
sein des structures de tous les partis surtout au sein de la coalition
gouvernementale ? Vraiment ce n’est pas chose facile, notamment au PJD et
PI de faire respecter le principe de conciliabules entre eux. Car c’est
pratiquement devenu un fond de commerce des envolées lyriques de temporalités bien
étudiées, croyant permettre à leurs adhérents respectifs de se dédouaner du
désagrément vécu. Sauf que dans ce cas précis suite à la politique
irrationnelle de Benkirane, ce n’est nullement cette forme auto déclarative
subconsciente des pjdistes ajoutée au matraquage de louvoiement, qui peut les
dédouaner de leur confusion fantasmagorique du début. Seule la vérité de
l’exploitation des résultats et le constat dans les coulisses et arcanes de
l’Etat comptent, et non les racontars et bruitages de fond sur les supports
médiatiques où autres réseaux sociaux.
Bien entendu dans l’attente de voir plus
clair, à tout ce beau monde en ce temps de l’information minute, si vraiment de
la théâtralité jouée dont il est question, on peut leur dire que la puissance
de l’histoire ne les ménagera pas. N’est-ce pas que personne ne peut mentir au
peuple sur le pourquoi cette tétanisation-relâchement de fonctionnement, et le
comment des traitements des différends entre composantes gouvernementales ?
Rien ne peut justifier cette violation de confiance vis-à-vis de la population en
l’occurrence. Surtout, en faisant semblant sans se faire débusquer par les
pratiques politiciennes aux conséquences pesantes sur le tangage des
raisonnements politico-cartomanciens auxquels se livrent certains analystes de
l’approximatif.
Aussi, espérons qu’il s’agisse seulement
de propagation de mauvaise gouvernance dont il faudrait tôt ou tard rendre
compte. Et non d’une manipulation socio économico politique à mauvais escient, se
manifestant également par le non-respect de la constitution entre le PI et le
PJD. Parce qu’à cet égard, si c’est ça, que Dieu puisse pardonner leur
ignorance des gestions des affaires de l’Etat et aussi leur méconnaissance des
règlements des crises par consensus sous l’égide de la nouvelle constitution !
Que Patrie fasse de même face à ce non maîtrise de subconscience, leur
pardonnant leur inadvertance sans silence ! Que Sa Majesté le Roi les
ménageasse, pardonnant leur frivolité d’estimation ratio du jeu politique !
Notamment en ce moment où le Maroc n’a besoin que de clairvoyance vigilance et
résistance. Même si, certains parmi eux par ailleurs pas nombreux, ne montrent
que truculence maquillée pour la subsistance.
En ce sens, voilà pourquoi nombreuses
sont les voix qui demandent l’effectivité de la constitution par un
gouvernement de salut national, pour éviter les notifications par ce genre d’événements
indésirables. Et ce, en répondant à toutes les initiatives partisanes relatives
à la bonne exploitation des articles de la constitution, et aussi aux doléances
et demandes d’informations de la société civile et de tout un chacun. Il est
donc primordial que tout le monde puisse adhérer à l’installation des
dispositifs des lois et à leur réévaluation ou, du moins, ne pas les en
compliquer par des interventions inutiles voire parfois ridicules. N’est-ce pas
qu’une prise en contact dans les sphères politiques à tous les niveaux
permettrait de mettre en scène cette imagination en y intégrant du bon
sens ? Parce qu’un parti politique non effrayé, mettrait certainement tout
son bon vouloir pour réussir le défi. Mieux qu’un autre manipulé n’attendant
que d’être réveillé, en se concentrant davantage sur son avenir objectif, que
sur ses peurs subjectives vécues ou à venir.
De fait, il serait préférable pour
chacun des ténors de la scène politique, de sortir de la détresse émotionnelle
et les sensations de compétition sans valeur ajoutée. Oui, depuis l’avènement
du nouveau règne, de plus en plus de jeunes loups en politique soignent leur
image se conformant aux avancées que connaît le pays. Contrairement à d’autres
se projetant dans l’emphase conversationnelle seulement dans leur imaginaire,
parfois en portant des masques pour potentialiser les effets de leurs
questions-réponses. C’est vrai que cette activité n’a rien apporté à la
politique comme passion positive, et encore moins à la régulation de la
transparence de leurs actes sans peur ni colère. Elle est même devenue
source-vecteur de peopolisation sensible au vent comme les bulles de savon,
loin de toute humilité et humanité. Finalement, est-ce que les politiques ne
doivent-ils pas chercher à rester connectés à la réalité, en se fixant des
objectifs possiblement réalisables dans la confiance et sans autosatisfaction
démesurée ?
La classe politique est suspendue à l'arbitrage royal.
RépondreSupprimerCependant,le scénario le plus probable est d'arriver à un compromis entre l'Istiqlal et le PJD,avec un remaniement comme porte de secours,pour une nouvelle répartition des portefeuilles.La redistribution se fera en fonction des résultats des dernières élections législatives.Le patron de l'Istiqlal du gouvernement des principaux secrétaires généraux des partis......Aucun du Parti de l'Istiqlal ou gouvernement,n'ont voulu désamorcer la crise et sont restés campés sur leur positions. Benkirane en tant que chef du gouvernement devrait faire preuve de modestie et d'humilité vis vis de l'Istiqlal,marginalisé depuis quelques mois(préférence donné au PPS),alors que l'intelligence politique et diplomatique est l'arme d'un gouvernement ainsi que le dialogue au lieu de la "nefkha" qui mène droit au mur.Nous avons tellement de choses à apprendre avant de se lancer dans des responsabilités qui sortent du milieu social.