N’EST-CE PAS LE MAROC CONTINUERA A SE BATTRE DE TOUTES
SES FORCES SUR TOUS LES PLANS, ET N'ABANDONNERA JAMAIS UN SEUL POUSSE DE SON SAHARA ?
Le face-à-face
Maroc-Algérie, ne montre-t-il que le premier prend conscience de sa vraie
dimension à l’international, tandis que la seconde ne s’efforce qu’à le contrer
via des tribulations extérieures ? En ce sens, vraiment, le Maroc est en
droit de célébrer officiellement avec faste et responsabilité, le quarantième
anniversaire de la Massira (Marche Verte 06 Novembre 1975) à Laayoun. Montrant
que sa souveraineté sur le Sahara n’est pas négociable, consacrant de la sorte à
la fois l’effectivité de la régionalisation avancée et aussi la relance diplomatique
pour faire face aux turpitudes extérieures surtout les tribulations algériennes.
D’autant que ce sacre de Laayoun, n’est pas séparé des autres
villes marocaines où se dresseront partout les tentes caïdales et berbères, s’ajoutant
au pavoisement sur toutes les places remémorant la mobilisation marocaine populaire
du passé pour la récupération du Sahara.
Ainsi, ne
peut-on en voir la conséquence extraordinaire qu’aujourd’hui dans le nouveau Maroc, le passé côtoie le
présent par des actions énergiques de grandes portées socio-économiques
culturelles écologiques cultuelles sécuritaires et politiques ? Autant de
détermination au regard de l’histoire sous SM Mohamed VI, dont on ne peut ne
pas évoquer les réformes politiques institutionnelles depuis l’alternance
consensuelle. Et, aussi les réalisations des infrastructures de base, malgré
les contraintes des années de sécheresse le péril acridien le tremblement de
terre d’Al Hoceima les inondations et la hausse du prix du pétrole. Dont il
importe aujourd’hui de franchir une nouvelle étape, celle du passage de la transition
à l’ère de la démocratie participative dans le cadre de la régionalisation
avancée qui fut annoncée dans le discours mémorable du 09 Mars 2011. D’ailleurs,
on ne peut plus se laver les mains aujourd’hui de l’apparition de faiblesse
gestionnaire à tout point de vue, au vu que le Maroc a commencé à déléguer
certaines attributions du pouvoir central aux collectivités territoriales. Notamment
les régions dans le respect de l’esprit du référendum du 01 Juillet de la même
année, en réponse réfléchie et responsable au printemps marocain conduit par le
M20F.
A ce propos
quarante ans après, n’est-ce pas le Souverain marocain a rendu hommage vibrant
aux habitants du Sahara de leur participation massive au dernier processus
électoral en donnant plus de réalisme à la proposition du Maroc ? Ne
s’agit-il là d’une option politique s’inscrivant dans le saut qualitatif de la
portée de la vision royale pour le triomphe,
sans complaisance avec l’extérieur ni encombre dans l’avenir ? Au point que
désormais tout le monde le sait, seule la mobilisation d’optimisation de ses
ressources humaines compétentes loin des filiations de sang de partis ou même
de copinage, pourra capitaliser les orientations royales. Qu’au demeurant,
elles demandent aussi une vigilance de toutes les composantes du peuple
marocain y compris le gouvernement. Notamment en diplomatie, dont le coût matériel et immatériel des exigences, pourrait
s’élever si rien n’est rapidement entamé, du fait qu’il s’est considérablement
amplifié avec le couac suédois. Parce que, sinon, on aura l’impression de
brasser le vent, surtout face à des ennemis se préparant continuellement sous
la voûte de Ksar Lamradia, à comment faire pour continuer à narguer le
Maroc ? A l’exemple de l’appel du président d’origine algérienne du haut
de son perchoir du parlement africain, à la fermeture des ambassades du Maroc
dans tous les pays membres de cette institution. Qu’en effet, aucune personne
sensée ne saurait négliger que cette soi-disant institution est devenue maintenant lieu d’événements non
historiques, mais seulement tragiques d’où l’on entend des cris honteux et
irresponsables. Dont le Maroc aujourd’hui ne devrait cesser, même
momentanément, à en juguler les trivialités en termes vifs par le dépassement expressif
du cumul du passif relationnel avec tous les pays faisant partie du giron de la
faiblesse du pouvoir algérien.
Néanmoins, pourquoi
l’Algérie ne sort-elle toujours pas de ses impulsions répétitives anti Maroc,
bien qu’elle en reconnaisse en Off le caractère irrationnel ? N’est-ce
parce que, depuis le 06 novembre 1975, cette date n’est-elle devenue pour le
pouvoir algérien à la fois dévastation-pogrom dans son existence et
obsession-syndrome dans sa conscience ? D’ailleurs, Feu SM le Roi Hassan
II, savait pertinemment de par son intuition politique et aussi sa Baraka,
qu’avec l’Algérie façonnée à la Boumediene-Bouteflika il n’y aurait de création
de conditions favorables pour le dénouement de l’affaire du Sahara marocain. A
cet égard ne s’y est-il préparé avec finesse et sans faiblesse, soutenu par
tout le peuple marocain à en prendre acte de cette création de cet imbroglio dommageable,
lequel avec le temps est devenu dévastateur et déstructurant de l’idée
grandiose du grand Maghreb ? N’en a-t-il d’une manière intelligente mesuré
sa portée politique véritable par rapport à la dangerosité du cycle
d’interventionnisme des forces extérieures, dont personne ne peut en nier en ce
temps présent le résultat déconcertant ? Par conséquent, c’est dans le
même état d’esprit que SM le Roi Mohamed VI, en a 16 ans après mis à profit son
évaluation lucide et stratégique pour toutes les contrer. Pratiquement
structurellement, en montrant de facto tous ces souteneurs qu’ils sont des
pasticheurs-manipulateurs entrains de meubler le vide en laissant de l’espace
au daechisme voulant creuser par jalousie mortifère leurs tombeaux. A cet égard, pourquoi ne tiennent-ils compte du travail déjà fait au Maroc sur instructions royales, ayant retenu 21000 projets selon des critères scientifiques dans la désignation de presque 24000 Douars et CR (Communes Rurales) pour bénéficier du programme colossal d'intervention de l'Etat 2016-2022 par FDR-ZM (Fonds de Développement Rural et des Zones de Montagne) et l'INDH à hauteur de 55 MDH. Et ce, afin qu'ils ne soient plus discriminés tant au niveau des traitements des causes socio-économiques culturelles et écologiques, que
dans la stratégie des positionnements politiciens n'usant que d'esthétique électoraliste intolérable.
Cependant, par ailleurs, si
les gens du pouvoir algérien préfèrent les évocations historiques, ils s’en
rendront compte que la proposition marocaine d’une large autonomie dans le
cadre de la régionalisation avancée hautement
sécurisée, est toujours à l’ordre du jour. Se devant normalement être intégrée de
manière positive d’abord par eux, puis par leurs soutiens déclarés ou pas, afin
de se mettre à l’abri du terrorisme grondant dans toute la région. Sauf qu’à ce
jour, malheureusement, cette cohorte en tant que chef de file du déni de la
réalité, elle ne cesse de mettre son soin à plomber l’état d’esprit des réalisations marocaines allant dans l'esprit des résolutions onusiennes pour la recherche d’une solution politique négociée et viable. En ce sens, coté
marocain, n’est-ce pas qu’il doit être fini le temps des visites à Alger en
tant que gage de disposition au dialogue et qu’en plus il n’est pas question
pour elle de rouvrir les frontières ? Car, rien de bon ne se fera avec
cette Algérie boutaflikienne, au vu du structuralisme étatique articulé sur sa
posture du Niet longtemps bien enraciné anti Maroc.
Certes, qu’avec
les temps qui courent, les attributions et les fonctions des diplomates
marocains gagnent en complexité pour faire face aux tribulations algériennes. D’autant
plus, qu’avec le nouveau code d’exigence de moralité sans ambages se conjuguant
à l’appel à la compétence, ils ne peuvent continuer à exercer leur métier dans
des conditions nuageuses par manque de directives claires. Et, par conséquent risquant
de les montrer faillir à leur devoir, entre stagnation de leurs connaissances
et non restructuration des services sous leur direction par plus de liberté de
mouvement dans la ventilation et compilation des données stratégiques. Vraiment,
cette situation qui a trop duré ayant porté préjudice au rôle important que
normalement doit jouer le diplomate, n’a plus raison d’exister. Désormais, le
diplomate se voyant obliger de rendre compte de toutes ses activités 24h/24h,
ne pourra tricher ni user de faux-fuyants et encore moins de gagner le temps.
Non seulement dans sa mise à niveau de son environnement relationnel pour
défendre farouchement avec diplomatie et doigté les causes nationales, mais
aussi dans le contrôle et l’assainissement du climat de confiance vis-à-vis des
MRE et autres usagers des services consulaires, notamment après la fournée des
nouveaux consuls généraux.
C’est dans un
tel contexte que la diplomatie a un rôle à jouer, même sachant que l’on n’est
pas au premier essai de remaniement diplomatique, il faut tout faire pour donner
à l’arc relationnel marocain plus de visibilité de rationalité et de prestige à
l’Etranger. Aussi, si aujourd’hui le désir du changement de braquet
diplomatique a consciencieusement germé, il ne reste pas moins que l’objectif
serait d’enrayer définitivement le coté de l’insolence de la
diplomatie-mannequinat sans apport reluisant et appréciable pour le compte du
pays sur les espaces des chancelleries à l’Etranger. Evidemment, au Maroc du temps présent, de par le volet de la
question de son Sahara, il ne faudrait dormir sur ses lauriers dès lors que les constantes de la Nation, à savoir la
commanderie des croyants la monarchie constitutionnelle et l’intégrité
territoriale sont respectées, s’additionnant aux succès tributaires de la
prise de mesures institutionnelles d’accompagnement, en l’occurrence le Conseil
Supérieur des Oulémas CNDH CESE HACA IRCAM et autres grands chantiers encore
ouverts. Ce qui normalement doit pousser tout un chacun à fustiger la
position de l’Algérie et son hostilité à l’égard des droits naturels
historiques et juridiques du Maroc. Du fait même qu’en plus elle abrite et arme les mercenaires-séparatistes
et pas seulement, qui conséquemment détiennent en séquestration les marocains
désireux de rejoindre la mère-patrie. A bon entendeur salut !
En effet cher ami, l intelligence et l intuition de feu SM le roi Hassan II, le courage, le civisme, la citoyenneté et l attachement des marocains à leurs causes nationales et à leur roi et patrie, le génie , la clairvoyance et la dynamique de notre cher et aimable roi Mohammed VI que dieu le protège et le glorifies ont fait du Maroc ce qu' il est aujourd'hui hui.
RépondreSupprimerNous souhaitons que les hommes et femmes marocaines agissant aussi bien au sein des forces politiques ou des institutions polititiques, économiques et sociales, tout azimut, prennent conscience de cette réalité, retroussent leurs manches et booster le développement de notre beau pays et le contribuer de toutes leurs forces à le protéger contre toutes les types d'agressions , quelques soient leurs tendances, et abondonner leurs égoïsme et leurs intérêts personnels en faisant de la cause nationale leur premier et dernier cheval de bataille. La jeunesse, les cadres, les compétences éparpillées à travers le monde méritent un détour pour les associer aux efforts louables de notre cher et aimable roi que dieu l assiste.
Merci pour ta contribution à cet effort de sensibilisation que tu mènes à plus d'un égard.