Au-delà du fond des discordances à la façon modulable
non sereine entre parlementaires marocains, pourquoi certains zélés parmi-eux
oscillent désormais entre drague manifeste et hostilité en subliminale vis-à-vis
du ministère de l’Intérieur ?
Aujourd’hui, ce
qui importe pour le citoyen marocain c’est connaitre la vraie raison de cette
bifurcation dans la finalité de la démarche non unioniste des députés et conseillers au sein du parlement. De toute façon, il
s’agit de la volonté montrée du chambardement des structures des
circonscriptions électorales par le ministère de l'Intérieur, pour le renouvellement et/où préfabrication d’une
autre génération d'élus pouvant intégrer le rapport
performance/résistance. Et donc, de fait, pour l’aboutissement de la politique profitable au
marché de la bonne gouvernance, dont le point fort n’est autre que la
meilleure exploitation des transmutations socio-économiques et autres
indications des transfèrements des données sociétales et urbanistiques du
dernier recensement de Septembre 2014. D’abord pour le développement et la
sécurité vraie, s’ajoutant aux opérations de restauration de la droiture et probité
dans les services publics. Puis dans le but d'aider au bannissement de la rente quelle qu’elle soit,
afin de garantir l’égalité d’entreprendre selon les mêmes normes pour tout un
chacun.
Néanmoins, comment
se fait-il que ces zélés n’ont pas de recul sur leur propre bilan au parlement
et dans les communes? N'étaient-ils pour certains les serviteurs muets sur la base de l’opportunisme
et/où l’incompétence, rapports successifs de la cour des comptes faisant foi ?
Ainsi, le moins que l’on puisse dire, pourquoi le bras de fer est-il engagé entre le
ministère de l’Intérieur et ces prétentieux zélés, à propos du découpage des
circonscriptions électorales ? Parce qu’au vu de leurs sorties médiatiques
calamiteuses s’accrochant à leur prétention, ils en rêveraient de déboulonner le
contrôle des walis et gouverneurs. Même si cela ne plairait pas à quelques ténors au sein de leurs partis, car tenant compte de surcroît de la promesse administrative
didactique d’accompagnement de tous les politiques en l’occurrence. Afin et pour
compléter leur gouvernance pour le meilleur des usages de la régionalisation
avancée par la force et le respect de la loi. Mais la vérité, c’est que ces zélés ayant démarré leurs
hostilités signifiant à qui veut l’entendre que leurs rapports ne sont pas au
beau fixe, n’en ont de stratégie tenant debout surtout pour ne pas se voir bloquer
au premier clash avec l’administration territoriale de contrôle.
Et c’est encore plus vrai pour les usurpateurs se lançant dans des exercices
périlleux, croyant bon de mettre une institution telle Les FAR (Forces Armées Royales) en mauvaise
posture. Qu’heureusement, grâce à Dieu l’Etat dans sa réactivité rapide de
rattrapage de leur ‘’Maqr’’ tromperie préméditée, n’a pas lésiné à stopper net
cette perspective visant l’affaiblir à l’avantage des ‘’Tandims’’ ennemis. En ce sens, ne
peut-on d’ores et déjà dire, désormais les futurs présidents des collectivités
territoriales dans la régionalisation avancée, seraient sur le gril de leur fascination et rejet des contrôles
du ministère de l’Intérieur ? Et que, n'est-ce pas l’affaire Aftati en est le
creuset de susciter leurs interrogations, au vu des preuves sur son acte
gravissime dont il est pour le moment sermonné et écarté des structures de son
parti le PJD dans l’attente d’y voir plus clair ? Aussi, n’a-t-il découvert
que son immunité non positivement voire mal intégrée, l’a plongé dans
l’escarcelle des indésirables pour ne pas dire "persona non grata" sur toutes les
frontières et régions militaires voire même au delà ? De fait, ne se sent-il ainsi politiquement
à poil, ne pouvant plus se débarrasser de sa transgression des lignes rouges pourtant facile à deviner,
ayant mis en plus ses compagnons au parti dans la perplexité des indélicats non
dignes du vrai nationalisme ? Pour peu, on aurait pu avancer qu’il aurait
été fait étourdir dans les promesses des méandres de l’Exécutif de contrecarrer la vigilance
de l’Etat. D’autant plus qu’il n’est pas à son premier essai, qu'en effet heureusement s’étant toujours
fait ramassé des remontrances de la part des marocains avertis, ne voulant aucunement cautionner ses essais et sauts dans l’inconnu.
C’est vrai,
partout dans le monde le découpage administratif électoral fait partie des
prérogatives administratives du ministère tutélaire en l’occurrence. A cet
égard par ailleurs, c’est quoi donc ce mystère de transgression sous-forme d’orgueil vindicatif
notoirement invraisemblable (OVNI) de ces propagandistes politiques, vilipendant
la tutelle pour soi-disant se légitimer auprès des populations ? D’ailleurs,
leurs atermoiements à la chaîne ne trouvent-ils leur explication dans leur réticence à ne se plier à la réalité convertie en nouvelles entités électorales
sur le terrain ? N’est-ce là où voyant l’étau électoral se resserrer, ne
pouvant savoir s’ils seraient où pas hors course, alors qu’ils avaient presque
tous pratiqué Al Inzal (parachutage-rembourrage) dans les listes de leurs
circonscriptions ? Et oui, outre l’outrage nouménal par le non-dit à ce
propos entre l’islamiste bobard faussement porté sur "bayssar" (bissara), le
politique de droite nanar fume-cigare et celui de gauche caviar au profil
fêtard, ne s’agit-il en fait d’anticipation du résultat de vexation-jalousie
entre eux, et ce avant de se mettre sur le circuit de la surenchère électorale ?
Néanmoins, modestie
incluse, il est indispensable de donner plus d’informations sur cette image même
dans les décisions les plus élémentaires de la tutelle administrative
concernant les lois électorales loin de toute filouterie politique. Mais
seulement comme compile de questionnements sur les problématiques soulevées à
ce propos de la part des observateurs-suiveurs de l’évolution du champ
politique marocain. En effet, par conséquent, ne peut-on affirmer que c’est aussi la
conséquence du rythme politique de l’Exécutif gouvernemental moins relevé
presque ennuyeux, ayant trop tardé pour la mise en effectivité de ce chantier.
S’ajoutant en plus à l’approche de l’opposition institutionnelle moins
régulière, car se balançant de l’extravagance dans les propos vis-à-vis du
gouvernement à la grossièreté de l’indifférence parfois par des silences montrant
sa part de fausse volonté. Evidemment, dans
la bouche des communicants des partis politiques à propos de la concertation et
la confrontation avec le ministère de l’Intérieur, la version sur cette tension
préélectorale change de virulence qu'ils soient d’un bord où l’autre. Dont les
observateurs et analystes y voient déjà des démarches discrètement initiées
pour l’apaisement seulement de façade et qui n’est un secret pour personne.
Parce qu'effectivement, ces derniers savent que les politiques useraient tous, sciemment, du
guide de promesses abracadabrantes pour se faire réélire, tout en gardant un
œil les uns sur les autres. Cependant, il n’en demeure pas moins que la distinction
dont ils se targuent les uns les autres, de contrer l’administration
territoriale n’est que foutaise presque un leurre. Car ressemblant qu’on ne le
veuille où pas à un fusible, qu'éventuellement il sauterait à la moindre surchauffe dans le positionnement de neutralité passive de la tutelle.
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