N’est-ce le moment pour le Maroc de faire émerger son
nouveau label diplomatique à bonne résonance mondiale ?
Mais pourquoi après trente neuf ans, le
pouvoir algérien continue-t-il à fabriquer les rendez-vous de ses
lamentations ? Evidemment, tout le monde aura remarqué que certains de ses
dirigeants et leurs portes-flingues journalistes, continuent de faire dans la
polémique outrancière voire outrageante vis-à-vis du Maroc. N’est-ce pas qu’il
y’en a de toutes les violences et diatribes à l’égard de la conscience des
marocains dans tous les médias algériens, notamment après le discours royal de
la Massira 2014 ? D’abord, ceux de par leurs lamentations ils ne font qu’à
leurs têtes allant jusqu’à honnir le ficelage le ton et le contenu de ce discours
de vérité tranquille et responsable. Essayant de faire porter à d’autres
algériens le chapeau de leur déconfiture, en tant que tenants et aboutissants du
pouvoir ne tolérant la constance du Maroc à rejoindre les pays émergents. Laquelle
n’est-elle confirmée par la tenue de la cinquième édition du GES (Global Entrepreneurship Summit) le 19-20-21
Novembre 2014 à Marrakech en présence du vice-président américain ? Puis
ceux ne l’entendant même pas de la bonne oreille, se mettant d’emblée en contrebalancement,
entre mépris de tout ce qu’entreprend le Maroc et dénonciation sans fondement
de son schéma directeur tracé pour la renaissance de sa diplomatie toujours sur
le qui-vive.
Vraiment les
procédés d’ensemencement du doute pernicieux et de la suspicion malintentionnée
entre algériens semblent extravagants, qu’au demeurant puisant leurs méfaits dans
l’immoralité de la désinformation. Et ce, entre mythe de l’Algérie longtemps tentaculaire
dans les arcanes des pouvoirs du tiers-monde apathique, et, conte de son
interventionnisme-surréalisme diplomatique désinvolte d’un temps révolu. En
effet, désormais, ne peut-on dire sans se tromper que nos dgedistes savent que derrière chacun des rendez-vous des
lamentations algériennes, se cache la rancune s’alternant entre délires verbaux
et commandement d’actes de violence rien qu’à l’égard du Maroc? Par conséquent
aujourd’hui, toute la communauté internationale le sait, que cette caution algérienne
marquant ses agissements sans valeur morale de bon voisinage avec le Maroc ne
plait à personne, même pas aux passionnés ici et là de la terre brûlée.
D’ailleurs c’eut été vain pour les observateurs internationaux qui ont tout
particulièrement suivi ce qui se passait depuis trente neuf ans, de ne pas s’en
rendre compte de la transmutation intelligente réfléchie de la diplomatie
marocaine, s’agissant de ses anticipations à propos de ces lamentations
algériennes. Tellement les marocains ne s’y sont jamais pris au jeu des
complications relationnelles de la rancœur, montrant même un gage de sagesse et
de garantie pour continuer à vivre en paix avec l’Algérie. Mais attention pas à
n’importe quel prix, au vu que certaines lamentations ça fait plusieurs années
qu’assurément elles sont restées au travers leurs gorges dûment irritées.
De ce point de
vue, pour rester en phase avec cette prédisposition marocaine à dépasser les
notifications des effets indésirables des diplomates algériens, n’est-ce désormais
le moment ou les nôtres doivent jeter les ponts directs avec leurs frères
séquestrés dans la Hmada à Tindouf, via l’initiation et la promotion des
lobbyings surs et efficaces ? Par des interventions à cadences soutenues
dans la toile de la chancellerie mondialisée, surtout dans les capitales
plateformes des décisions hautement sensibles. Parce qu’aujourd’hui plus
qu’hier, tous les marocains se rappellent avec douleur les conditions dans
lesquelles leurs frères et sœurs étaient abusivement enlevés et déportés vers
le pire qui les attendait. Dès lors que, construire une nouvelle stratégie
diplomatique en sortant de la vision maroco-marocaine, c’est d’abord réguler les
dominations des mobilités des diplomates en tant qu’opportunités pour les
initiatives diplomatiques de haut niveau. A cet égard, n'est-ce ainsi, qu'inéluctablement il y’aura de
nouveaux acteurs accélérateurs d’incubations de nouvelles idées, usant de
connexions avec celles du CESE CNDH Cour des Comptes INDH requalifiée et autres,
pour rester à la page? Et deçà, démontrer le machiavélisme historique de la
tromperie du conglomérat Algérie-Libye et aussi montrer du doigt le silence de
la communauté internationale à ce propos.
En conséquence
de quoi, n’est-il arrivé le temps propice de décrier ce déracinement forcé et
honteux de toutes ces familles marocaines sahraouies, auparavant longtemps
laissées pour compte du colonialisme espagnol ? A cet effet, n'est-il vrai que ces
séquestrés malgré la bienveillance et le courage des forces armées royales à
arrêter l’hémorragie, ne furent-ils les premières victimes de l’essai
d’endoctrinement anti marocain ? S’étant vus dès les premiers jours au
premier rang d’acclimatation forcée inadaptée, vivant dans des conditions
atroces surtout hors les temps modernes. D’autant plus se voyant imposer, malheureusement
un jeu pervers de communautarisme ethnique de distanciation des liens de sang avec
leurs frères marocains.
C’est vrai tout cela n’a provoqué que
ferveur d’intéressement chez ces séquestrés à la thèse de la mère-patrie, car
entrevoyant la revalorisation de l’identité multiculturelle marocaine dans le
respect de tous les droits humains. Dont Ban Ki Moon et le Conseil de Sécurité
doivent impérativement en prendre acte, pour leur recensement en les protégeant
des mauvais traitements que leur font subir leurs geôliers algériens. Qu’en
plus la salve des derniers discours du Roi du Maroc en a fait la part des
choses en démontrant l’implication directe de l’Algérie, entre contraintes du
respect du bon voisinage et essais rigoureux fédérateurs et conciliateurs dans
l’esprit de la construction du Grand Maghreb. Evidemment, la panoplie des
bonnes intentions marocaines révèle la dextérité de la vision royale concernant
l’autogestion du Sahara marocain intrinsèquement liée à la régionalisation
avancée. Laquelle est déjà en effectivité de marche, dont le pouvoir algérien
avec ses enragés sbires ne parviennent à en gober ce renouveau stratégique
diplomatique marocain. Particulièrement à l’heure du presque chaos polisarien,
même s’efforçant d’en dissimuler le corollaire de dissidence désormais
enclenchée avec détermination en plein jour dans les camps de la honte. De par la
correspondance et arrivage d’informations avérées et établies avec une
sensation du début de sortie du joug algéro-polisarien, caractérisant les
prémices d’un proche retour en masse vers Al Wattan le miséricordieux en
l’occurrence le Maroc.
A l’évidence,
c’est ce qui renforce le fait de parler coté marocain de fébrilité du pouvoir
algérien, signant la psychose voire la panique dans les rangs des
propolisariens résiduels de l’intérieur. D’ailleurs que leur reste-t-il, et qu’attendent-ils
pour se rattraper et se faire prévaloir aux yeux de leurs frères ?
N’est-ce pas qu’ils n’ont de choix judicieux que celui là ? Lequel, est
temporellement en phase avec l’air des variantes sociales économiques
culturelles écologiques et surtout politiques que connait le Sahara marocain. En
cela ne peut-on dire que l’ère de la diplomatie marocaine connectée tout azimut
n’est-elle arrivée ? Rien qu’en se laissant tenter par une autre dimension
de suivi des intérêts géostratégiques vitaux du Maroc, avec assiduité et
abnégation partout à l’étranger. En somme, faire émerger un vrai réseau mondial
de diplomates se prévalant des nouveaux paris diplomatiques marocains offensifs
dans tous les domaines. Et ce, en restant dans la ligne tracée par la nouvelle
génération des discours du Roi Mohamed VI, apposant un label marocain à
résonance mondiale, qu’au demeurant ne faudrait-il dare-dare et impérativement le
mettre en évidence. Bien évidemment, sans sortir sous la coupole de quelques diplomates
chevronnés ayant montré une volonté de dépassement des rétropédalages
diplomatiques d’antan. A BON ENTENDEUR SALUT !